Thrasymaque

comme leur mère et leur nourrice et la défendre si on l’attaque, et réfléchir au fait que les  autres citoyens sont comme leurs frères, sortis eux du sein de la terre. 414e    Quand tu dis, répondis­je, que je m’instruis auprès des autres, tu dis vrai, Thrasymaque, mais  quand tu affirmes que je ne suis pas reconnaissant, tu ne dis pas la vérité. Je paie dans la  mesure de mes moyens, et cela je ne peux le faire qu’en formulant des éloges. Car des biens  matériels, je n’en ai pas. [338b]  3) Suffit­il d’être heureux pour être vertueux

Plaçant ce débat en Perse il place ce débat d’un point de vue universel : les H ne savent cmt faire pour arriver à un bon régime. Platon, La République (politeia) Livre I, 338d-339a, on retrouve 3 types de régime mais ici aucun critère axiologique : Thrasymaque : « … tout gouvernement (archè) institue les lois selon son intérêt propre, la démocratie institue des lois démocratiques, la tyrannie des lois tyranniques, et ainsi pour les autres régimes pô. Une fois les lois instituées ils proclament juste pour

principe. Le monde humain, puisqu'il n'est pas régulé par les lois de la nécessité naturelle, a besoin de s'en fixer d'autres auxquelles les hommes accepteront de se soumettre. V - DES REFERENCES POSSIBLES SOPHOCLE, AntigonePLATON, République Livre I, Thrasymaque y soutient qu'aucune loi humainen'est absolument respectable, toutes dérivant d'interêts masqués.ROUSSEAU, Discours sur l'origine de l'inégalité , Contrat social ,pour ladistinction entre les lois positives établies sur l'injustice et la natured'une

conduire les âmes par le truchement de la parole, porte-t-elle sur tous les sujets et s’adresse-t-elle à tous ou bien se limite-t-elle aux procès et aux assemblées politiques ? (« Socrate : La rhétorique ne serait-elle donc pas (…) Phèdre : (…) ou de Thrasymaque ou de Théodore une sorte d’Ulysse. » 261a-c, p.273-274) 2) La rhétorique est l’art du débat contradictoire, c’est-à-dire l’art de faire apparaître les mêmes choses avec des propriétés opposées. (« Socrate : Peut-être. (…) Phèdre : Tout à fait

regard des autres. Si un individu est seul, il obéira qu'aux lois de la nature, sa nature. Pas de volonté révolutionnaire. Juste une observation. 2) Sophistes de la seconde génération : Cette fois-ci remise en cause des lois de la Cité. -Thrasymaque : La justice ne profite qu'au plus fort, donc aux gouvernements, et ceux qui sont à la tête du gouvernement. Les lois sont établis selon lui dans son propre intérêt. Si quelqu'un transgresse, il les punit comme violateur. Alors que si c'est eux

org/wiki/D%C3%A9mocratie_ath%C3%A9nienne 14 La conception classique de la vie politique est annoncée par Thrasymaque dans les toutes premières pages de la République. Thrasymaque affirme en effet que « tout gouvernement institue les lois selon son intérêt propre, la démocratie institue des lois démocratiques, la tyrannie, des lois tyranniques, et ainsi pour tous les autres régimes politiques ». La pensée de Thrasymaque témoigne du caractère simple, pour ne pas dire simpliste, de sa conception de la vie politique

? Et qu’est-ce que faire du bien ? Ici affleure déjà l’idée qu’une définition doit reposer sur des notions solides : il faut donc remonter à l’essence du concept et non se contenter de fausses apparences. Une deuxième définition, donnée par Thrasymaque, est la suivante : «La justice est l’obéissance à l’intérêt du plus fort». Mais selon Socrate, la justice est bonne à la fois dans ses moyens et dans sa fin et ne peut donc exiger la soumission en tant que moyen. Selon Socrate, la justice est

Trois types de biens: 1.Biens à rechercher pour leurs conséquences positives 2.Biens à rechercher en soi 3.Biens à rechercher en soi et pour leurs conséquences positives Deux autres conceptions que Platon tente de rejeter: 1.Thrasymaque: La justice est l’intérêt du plus fort 2.Glaucon: La justice comme compromis bâtard, une série de conventions - Légitime et arbitraire ex l'esclavage ( bon à une époque, mais pas dans un autre) -Référence à l'anneau de Gygèse : Un homme n'utilisera

un point de repère transcendant et absolu face au devenir flottant et inconstant des affaires humaines. Platon veut à tout prix éviter le scepticisme et le fatalisme de l’opinion, représenté à la fin du Livre I de La République par les propos de Thrasymaque, pour qui le juste n’est que le droit du plus fort, aussi longtemps que celui-ci le demeure, selon ce qu’on appelle « le conventionnalisme ». Pour Platon, en réponse à cette dérive © relativiste, seule la science du juste, fondée sur l’intuition

environ 40 ans. Affirmation d’une science du politique 2. La Kaipolis Est-ce un problème de morale individuelle? Chapitre premier: Définition de la justice. Polémarque: la justice consiste à faire du bien à ses amis et du mal à ses ennemis. Thrasymaque: La justice est l’intérêt du plus fort (l’autorité). Il emploi la posture du positiviste (le seul droit est celui qui est dicté par l’Etat-Kelsen, le positivisme juridique). La justice consiste en l’obéissance aux lois. Socrate dit que la justice