Thrombus

|Prévenir et dépister l’apparition de |des dates de péremption, respect de l’hygiène… |Prise effective du traitement | | |phlébite (due à un thrombus au niveau |préparation et administration des traitements per os : L’Amiodarone, le Tahor et le |Résultats du TP et de l’INR mensuels  | | |des veines des membres inférieurs) |Previscan

contrôle intensif. On peut observer aussi des complications thrombotiques. En fait, la thrombose se caractérise par la formation d’un caillot de sang, aussi, appelé le thrombus, au sein d’un vaisseau sanguin, ce qui conduit a une obstruction, voire à une occlusion du vaisseau concerné. C’est très dangereux car, lorsqu’un thrombus se détache, il risque de provoquer une embolie pulmonaire pouvant être mortelle. Il arrive aussi que des complications liées au cathéter se produisent. Tout d’abord,

la pose d'un stent (un dispositif médical métallique utilisé pour maintenir ouvert une cavité de l’organisme) une pose de stent est généralement associée à la prise quotidienne d'un antiagrégant plaquettaires afin notament d'éviter la formation de thrombus au niveau du dispositif, dans notre cas il s'agit du kardégic. Antécédents chirurgicaux : -appendicectomie: L'appendicectomie est pratiquée en cas d'appendicite pour prévenir la rupture de l'appendice enflammé, qui provoquerait une péritonite ou

de la corde » ; voir cours sur les manifestations neurologiques du Behçet ), mais parfois, il peut être normal , d’où l’intérêt de l’imagerie par résonance magnétique ( IRM ), ou à défaut d’une artériographie cérébrale pour mettre en évidence le thrombus. *Une hypertension intracrânienne bénigne : Lorsque la neuroimagerie est normale ( IRM ou artériographie ). Une ponction lombaire avec mesure de la pression du LCR doit être effectuée. Une élévation de la pression au dessus de 20 cm d’eau, avec une

positionner le patient en position de Trendelenburg c'est-à-dire en décubitus dorsal, en déclive de 20°, sans oreiller, avec les membres inférieurs surélevés[9]. Cette manœuvre permet d’augmenter la pression veineuse centrale et d’obstruer le chenal par un thrombus. Pour ma part, j'ai bien positionné le patient en décubitus dorsal et à plat mais je ne lui ai pas relevé les jambes, ce qui est une erreur de ma part faisant suite à un défaut de connaissance. Cette analyse m'en a fait prendre conscience et, désormais

dans le temps, et comme l’image en miroir est transitoire (signe le caractère récent) on ne la retrouve jamais. Reflexe : Si St+ sans image en miroir avec complication thromboembolique on pense à un anévrysme du VG compliqué par la formation d’un thrombus intra-mural qui a migré.  Collapsus = PAS < 90mmHg. Choc

l’appui.  Le traitement anticoagulant est systématique. Il existe des protocoles différents suivant les services.  La phlébite ou thrombose veineuse.  C’est une oblitération plus ou moins complète et étendue de la lumière d’une veine par un thrombus (caillot sanguin).  Etiologie.  Post opératoire.  Signes.  Douleur au mollet: gène dans le mollet.  Chaleur du mollet.  Œdème discret de la jambe.  Température à 38°C.  Tachycardie.  Dissociation entre les pulsations et la température

Fasciculation ou fibrillation : Contraction involontaire des faisceaux musculaires. • Fibrine : Agent important de la coagulation, la fibrine est une protéine formée à partir du fibrinogène sous l'action de la thrombine Le caillot de thrombine (thrombus ) arrête les saignements Désigne le taux de glucose (sucre) dans le sang. (Normale entre 0,8 et 1,1 gramme par litre) Hypoglycémie : quand le taux est en dessous des valeurs normales. Etat caractérisé par une sensation de faiblesse avec sueurs et

constante (*)  Insulatard, sous cutané, 8 unités, 1 fois à 18h.  Héparine, intraveineux, 17500 unités par 24h, administré à 3h. Il s’agit d’un antithrombotique. Elle le reçoit en traitement de sa fibrillation auriculaire qui peut provoquer des thrombus.  Perfusalgan, intraveineux, 1g, si nécessaire. Il s’agit antipyrétique, qu’elle reçoit pour diminuer sa température. d’un  Tazocin, intraveineux, 4g, 4 fois à 8h, 14h, 20h et 2h. Il s’agit d’un antibactérien, qu’elle reçoit pour traiter son

Démarche cliniqueSituation clinique de Mme GUE 3.1 S2 1. CONTEXTEMme G est prise en charge dans l’unité de traumatologie. La traumatologie est la spécialité qui couvre les lésions acquises de façon accidentelle de l’appareil locomoteur (fracture, luxations, entorses, plaies, lésions d’éléments nobles). Les patients traumatisés sont admis majoritairement après un passage aux urgences. 2. RECUEIL DE DONNÉESMotif d’entrée : Mme G est