Théorie Socio économique

réflexion contemporaine sur les interactions entre l'homme et l'environnement. Selon la théorie de la sélection naturelle de Darwin, la capacité d'un groupe à survivre dans la nature dépendait fortement de sa composition sociale. Les concepts de l'évolution, notamment l'adaptation, servent de microcosme à l'écologie humaine, même s'ils sont normalement considérés au niveau micro. Les liens entre les théories de la sélection naturelle de Darwin, la sociologie écologique humaine et la sociologie environnementale

l'exploration des applications de la théorie des systèmes à l'ensemble des phénomènes psychologiques et sociaux. L'analyse systémique assimile l'organisation à un système (ensemble des parties interdépendantes agencées en fonction d'un but) complexe, finalisé, hiérarchisé, commandé et ouvert sur son environnement que l'on définit comme l'ensemble des éléments extérieurs à l'entreprise quant une influence sur elle et qu'elle peut influencer en retour. En effet, cette théorie repose sur l'idée que pour bien

secteur entraine d’autres créations d’emploi dans d’autres secteurs Les voies d’avenir : Développer une « base productive » : Nécessité d’activités économiques qui créent des « produits » Lorsqu’il y a une impossibilité d’une économie d’autosubsistance ça créé une spécialisation international adaptée. La théorie de la spé internationale : Théorie des avantages relatifs de David Ricardo : -chaque pays se spécialise dans ce qu’il sait mieux faire Exemple du drap en Angleterre et du vin au Portugal

d'analyse construite sur ses éléments constitutifs. La GRH entre modèles productifs et théories managériales En tant que pratique d'entreprise, la GRH est largement déterminée par les modèles productifs au service desquels elle est supposée se mettre. Son évolution au cours des années 1970/1980 en témoigne. Mais la GRH, constituée comme discipline académique, évolue aussi en fonction des idées et théories managériales qui véhiculent une "bonne" manière de gérer le travail. GRH et modèles productifs

rapport au corpus régulationniste, à son analyse du fordisme et de son entrée en crise. C'est en effet la théorie de la régulation qui le plus a cherché à comprendre les ressorts de cette entrée en crise et à en identifier les facteurs endogènes. Mais la lecture des travaux régulationnistes laisse, au lecteur intéressé par les questions environnementales, une impression de grande absence. La théorie de la régulation s'est en effet fondée sur l'hypothèse que ces facteurs ne relevaient justement pas du

point de départ la distinction qu'a faite Weber entre trois dimensions de la société : la classe comme dimension économique, le statut ou état (Stand) comme dimension sociale et le pouvoir comme dimension politique, pour affirmer que la société comprend trois systèmes de stratification bien distincts, correspondant à chacune de ces dimensions. La classe, basée sur la dimension économique, ne serait qu'un aspect en train de perdre, selon T. H. Marshall , de son impor¬tance dans la société moderne au

-Sujet : Les dynamiques économiques depuis deux siècles SCANNELLA Anaïs CI1 Le facteur travail est responsable directement de la dynamique économique des nations. En effet c’est lui qui crée de la richesse. Cette richesse qui ne cesse d’augmenter dans le temps de manière spectaculaire. Cette richesse et également mal répartie dans le monde. C’est pourquoi nous nous interrogeons à propose de cette dynamique économique créatrice de richesse dans le monde. La croissance économique depuis deux siècles

généralement situé en centre-ville pour cibler une clientèle jeune et active (La Fnac, Virgin) ou en zone commerciale pour cibler la famille (boulanger). * Critère Socio-économique : Il s’agit principalement de consommateur cadre avec un revenu confortable dans la classe socio-professionnelle supérieure. Les critères comportementaux, socio-culturels et psychologiques sont quant à eux des critères personnels propres à chaque consommateur mais le magasin et notamment le vendeur doit être capable de

Théories sociologiques (pluralités des courants sociologiques) A) « Sociologie » de l’organisation sociale 1) Les théories « vénérables » 2) L’historicité des formes de l’organisation sociale 3) Comment une société est-elle possible ? B) Les sociologies de l’action 1) Les déterminants sociaux de l’action 2) Les logiques de l’action 3) Sciences cognitives versus lectures culturalistes C) Sociologie de « l’identité » 1) L’Ecole de Chicago 2) L’ethnométhodologie 3) L’interactionnisme

scientifique, le progrès individuel et collectif, le développement, la croissance économique pour le progrès…D’autre part, un désir de retour à la « nature », d’alimentation « naturelle » ou bio, une volonté d’être « belle au naturel ». Nature, progrès, mais aussi par extension, développement durable pour protéger la nature, et de manière concomitante bien que paradoxale, le progrès pour poursuivre la croissance économique. On ne cesse aujourd’hui d’utiliser ces termes en France, en Europe, et dans tous