Théorie éthique De Kant

s’appuie sur la philosophie des sciences pour penser les impacts des découvertes scientifi ques sur nos systèmes de signifi cation religieux ou athées, sur les développements technologiques, sur les problèmes écologiques. Il aborde les questions éthiques en lien avec les évolutions scientifi ques. Il analyse l’apport des neurosciences dans notre conception de l’humain comme être libre. La démarche débouche sur le concept de « modernité critique » qui propose une réponse « moderne » à la crise

autour de lui ; ne s’en peut déprendre sans remords, ni s’y appliquer sans applaudissement. ». Le cas des enfants sauvages est ainsi révélateur, il montre bien que la nature humaine n’est rien sans développement culturel. Jean Itard s’inspire des théories de John Locke et d’Étienne Condillac. J.L. réputé empiriste et Condillac sensualiste. J.I. est plus précisément un disciple de Condillac et s’attache dans l’éducation de Victor à développer les sens : l’ouïe, la vue (avec l’association d’objets)

DES DELITS ET DES PEINES, Beccaria LA DOCTRINE DES DROITS, Kant Un retour vers Kant s'effectue dans la philosophie communicationnelle de Habermas. Si ce retour vers Kant doit toujours s'écrire au "conditionnel", tel que toujours tempéré par d'autres inspirations comme celles de Hegel, de Marx, de Parson et d'Austin, il n'empêche que la philosophie kantienne est, depuis l'avènement des Théories de l'agir communicationnel et de ses écrits sur l'éthique, la modernité et le droit, devenue un lieu

par la pensée utilitariste. Effectivement, cette théorie qui a été en bonne partie développée par les économistes depuis le 18e siècle a largement contribué à l’érection de nos différents mécanismes de rapports sociaux. Cette conception a pour principal postulat que l’Homme est avant tout un être de sensations. Elle nous démontre en effet que tous recherchent ce qui leur est agréable et évitent ce qui leur apporte un inconfort. Avec cette théorie, tous les êtres humains tentent, à l’aide de leur

conscience qui rendrait l'homme maître de son existence. Cet inconscient est donc la preuve que l'homme n'a pas une maîtrise total de son être, il passe du maître à l'esclave de son existence. Freud (1856-1939), fondateur de la psychanalyse, a émit la théorie que la conscience était lacunaire par exemple les lapsus (erreur linguistique) montre bien que l'inconscient échappe au contrôle de l'homme, il n'est donc que partiellement maître de ce qu'il dit et de ce qu'il pense. L'homme est donc destitué de

interrogation) 2° : La maïeutique (l’art d’accoucher les esprit) 3. La pensée de Socrate  B. Platon (427 – 347 ACn) 1. Vie et personnalité 2. La philosophie de Platon 1°La théorie des idées 2°La psychologie de Platon 3°L’éthique de Platon 4°L’Etat chez Platon 5°Vers une métaphysique théologique 6° Le Dieu chez Platon C. Aristote

hasard comme objet de la science dans un monde régit par des lois déterministes. L’augmentation de la puissance scientifique se fait au détriment de l’intégrité du hasard. A partir du XVe siècle le monde commence à être vu sous un nouveau jour. Les théories de physiciens et mathématiciens comme Galilée ou Newton changent la vision du monde. Le monde est vu comme régi par un ensemble de lois, que la science tente de reconstruire. Le rôle du hasard se trouve grandement diminué. Pour Newton, l’absence

l'universelle (l'homme est un être rationnel, qui par sa raison accède à l'universel), la morale par la raison est une autre alternative. La démarche pourrait être la suivante, on a tous des petites règles de vie (Kant les appelles les maximes), ex: petit mensonge plutôt que grosses peines. Kant, va nous dire: cette maxime, passons là à l'épreuve de l'universalité (peut-elle être appliquée à tout le monde?). Si c'est le cas, alors la maxime devient une loi morale, elle quitte la sphère de la subjectivité

seule cause de mes choix ou bien est-elle influencer par des motifs qui la conditionnent ? A quoi s'oppose l'autonomie ? L'hétéronomie c'est subir la lois d'un autre, se soumettre a un commandement extérieur. Ces concepts sont introduit par Kant dans Qu'est ce que les lumières ? Avant la révolution l'homme est hétéronome et après la révolution l'homme est autonome. Hétéronomie consiste à payer, croire et obéir. L'homme est responsable de sa propre soumission. Les Lumières sont la sortie

de la morale. Cela étant, la sanction, étant l'élément essentiel de toute règle morale quelle qu'elle soit, devait naturellement constituer le premier objet de notre recherche. C'est pourquoi la première partie de ce cours a été consacrée à une théorie des sanctions. Nous avons distingué les différentes sortes de sanctions : pénales, morales, civiles - cherché leur souche commune et comment, à partir de cette souche, elles avaient été déterminées à se différencier. Cette étude des sanctions a été