Tirade De Théramène

Œuvres principales : Andromaque, Britanious…Au moment ou il écrit et joue Phèdre, il est déjà connu c’est en 1677 Genre littéraire  : pièce de théâtre Une pièce de théâtre est composée de : Dialogue  monologues, tirade, stichomythie (réplique brève coutre), & de didascalies le théâtre est un lieu de La double énonciation  : L’exposition  : les personnages

spectateurs pour leur parler | Effet comique / donne du dynamisme | | La tirade: il s’agit d’une longue réplique. Elle peut s'adresser à un autre personnage ou peut être destinée au public. | elle permet au personnage de développer une argumentation. Les autres personnages sont dans la situation de spectateurs. | Cyrano de Bergerac, d'Edmond Rostandla tirade du nez (54 vers) | Le monologue: réplique ou tirade d'un personnage important et seul sur scène, ou qui se croit seul. le personnage

dis-cerne pas la menace qui pèse sur lui et dont le spectateur est informé). LES DIFFERENTES REPLIQUES - une tirade est une longue réplique; - une stichomythie, quand des répliques brèves s'enchaînent vers à vers; - un récit est une longue tirade rendant compte d'une action que l'on ne peut représenter sur scène (dans Phèdre de Racine, la mort d'Hippo-lyte est l'objet du récit de Théramène). Les formes qui jouent particulièrement sur la double énonciation sont le monologue (dit par un personnage

(Introduction de la scène) Alors que les deux premières scènes de Phèdre ont introduit les personnages d’Hippolyte, Théramène et Oenone, le spectateur attend avec impatience l’arrivée du personnage qui donne son nom à la pièce, Phèdre. La scène 3 de l’acte I est la première scène dans laquelle apparaît Phèdre. Auparavant, ce personnage a été mentionné dans la scène d’exposition où Hippolyte et Théramène rappellent la haine qu’éprouve la belle-mère du jeune homme envers lui. Cette troisième scène propose un

Phèdre: Acte 1 scène 3 Présentation: (/) Situation: La pièce débute avec un dialogue entre Théramène et Hippolyte. Cette scène de l'exposition nous apprend que Thésée, l’époux de Phèdre et le père d’Hippolyte est absent depuis six mois. Hippolyte s’apprête donc a partir a sa recherche. Par la même occasion, il fuira Aricie dont il est amoureux. Cet amour est interdit car il transgresse une règle paternel.; De plus, nous apprenons que Phèdre est en proie a un mal mystérieux. En outre

Comme presque toutes les scènes d'exposition de la tragédie racinienne [3] , la première scène de Phèdre se présente sous la forme d'un dialogue entre un des protagonistes de la pièce, Hippolyte, et un personnage qui joue le rôle de confident, Théramène. La scène se divise en deux grands mouvements. Le premier, qui fera l'objet de notre étude, et qui nous conduit jusqu'à l'aveu que fait Hippolyte de son amour pour Aricie, au vers 56, est de loin le plus important. Racine a accompli là un véritable

tragédie de l’âge classique. Nous allons plus précisément étudier la scène 1 de l’acte I, considéré comme exposition dans l’œuvre ; nous allons nous intéresser à cette scène composée de multiples répliques mais aussi d’une longue tirade qu’entretient Hippolyte envers Théramène. Plan : 1- Phèdre et le contexte épique. 2- Hippolyte, un héros aux contours incertains. 3- La passion amoureuse. 1- Phèdre et le contexte épique. Phèdre n'est évidemment pas la seule pièce de Racine qui se situe dans un contexte

discerne pas la menace qui pèse sur lui et dont le spectateur est informé). LES DIFFERENTES REPLIQUES - une tirade est une longue réplique; - une stichomythie, quand des répliques brèves s'enchaînent vers à vers; - un récit est une longue tirade rendant compte d'une action que l'on ne peut représenter sur scène (dans Phèdre de Racine, la mort d'Hippolyte est l'objet du récit de Théramène). Les formes qui jouent particulièrement sur la double énonciation sont le monologue (dit par un personnage

deuxième personnage principal, c’est le cas de Suzanne dans le Mariage. Ils deviennent donc les types d’ami, de suivante après avoir été des survivances du théâtre antique sous forme de nourrice, c’est le cas d’Oenone ou de gouverneur, c’est le cas de Théramène. Il est à peine nécessaire de souligner l’importance toute particulière d’Oenone dans la progression de l’action.(Phèdre) Non seulement, grâce au confident, le monologue est devenu dialogue, mais le confident est la conscience du héros (cf à cet

aspirent à l’amour d’Hippolyte. Rivales, et différentes : la tirade amoureuse de Phèdre (v. 269-316) se transforme en plainte narcissique sur le passé et la punition de Vénus. Son discours nombriliste fait peu de cas des desiderata d’Hippolyte. Elle ne parle que d’elle-même : « Je sentis tout mon corps et transir, et brûler. Je reconnus Vénus, et ses feux redoutables, D’un sang qu’elle poursuit tourments inévitables. » (v. 276-278). La tirade amoureuse d’Aricie (v. 415-462) est quant à elle orientée