Tocqueville Despotisme Liberté Egalité

libéralisme français à partir de la Révolution I – Benjamin Constant (1767-1830) II – Les doctrinaires et François Guizot (1787-1874) III – Alexis de Tocqueville (1805-1859) A – Biographie B – De la démocratie en Amérique C – L'Ancien Régime et la Révolution Bibliographie du chapitre 2 : MANENT (P.), Tocqueville et la nature de la démocratie, Gallimard, oct. 2006. ROSANVALLON (P.), Le moment Guizot, Gallimard, 1985. Chapitre 3 : Le radicalisme I – Les idées radicales

religion d’Etat = seule religion officielle reconnue dont le culte soit autorisé. Pas de liberté des cultes. Les autres confessions religieuses ne sont pas autorisées : juifs, protestants. Se traduit par l’interdiction de pratiquer le culte, posséder des terres, exclusion (accéder à la fonction publique) ou aussi persécutions. L’Edit de Nantes de 1598 fixe un statut pour les protestants, leur donne une liberté de culte = Edit « de tolérance » (révoqué en 1685 par Louis XIV interdit de culte à nouveau

religion d’Etat = seule religion officielle reconnue dont le culte est autorisé. Pas de liberté des cultes. Les autres confessions religieuses ne sont pas autorisées : juifs, protestants. Ca se traduit par l’interdiction de pratiquer le culte, posséder des terres, exclusion (accéder à la fonction publique) ou aussi persécutions. L’Edit de Nantes de 1598 fixe un statut pour les protestants, leur donne une liberté de culte = Edit « de tolérance » (révoqué en 1685 par Louis XIV interdit de culte à nouveau

révision doit être examiné et voté par les deux assemblées en termes identiques, et définitive après avoir été confirmé par Référendum ou autre procédure le Congrès. Même logique donc que pour les lois organiques, le Sénat dit donc adopté le texte à égalité avec l'Assemblée nationale, il peut donc s'opposer à une révision constitutionnelle (ex: de la règle d'or qui était une volonté de Sarkozy pour répondre à la crise d'inscrire dans la constitution un objectif de réduction budgétaire, une proposition

c’est avant tout savoir questionner, construire un raisonnement, et penser par soi-même… Par une approche originale, L’Apprenti Philosophe vous initie à cette démarche à travers les grands thèmes du programme. Voici donc, pour s’interroger sur la liberté et le déterminisme : ● Des dialogues entre un « maître » et un « apprenti philosophe », qui dégagent les problématiques essentielles et les erreurs à éviter. ● Des citations, un résumé, et les définitions des notions à connaître, après chaque dialogue

positivisme étatique : l’apport de Raymond Carré de Malberg Le positivisme étatique de MALBERG > notion de l’état de droit apparu avant lui avec le contrat social. DE BEZE et CALVIN considèrent qu’on peut tuer un dirigent des lors qu’il porte atteinte aux libertés. Allemagne au XIXe siècle > oppose l’état du droit (utilise le droit pour gouverner) a l’état policier MALBERG > « Rechsstaat » traduit par « état de droit ». Apport Carré de Malberg Positiviste étatique s’en tient au texte uniquement la CTGE

terre. Il n'est responsable devant aucune institution humaine, sa seule responsabilité est une responsabilité devant Dieu. Au siècle suivant : siècle des Lumières → retour. Tout ceux qui soutenaient les thèses absolutistes passent au second plan. Despotisme pour Montesquieu : monarchie de Louis XV. Pour Montesquieu la monarchie est un tempérament tempéré à la manière anglaise : le roi voit sa souveraineté limité par toute une série d'organe parmi lesquels se trouvent la chambre haute (rôle de la

l’homme est digne, parce qu’il est un microcosme, un petit monde, résumant en sa nature le ciel et les étoiles. Immortel par son âme et par sa raison, l’homme a le privilège d’être seulement ce qu’il devient et de devenir ce qu’il se fait. C’est cette liberté fondamentale qui garantit sa dignité. L’homme, dans cette belle perspective humaniste, est l’artisan de sa propre destinée. LE DOUBLE VISAGE DE L’HUMANISME L’humaniste, qu’il soit artiste, philosophe ou technicien, veut faire davantage qu’imiter la

la fonction du droit indépendamment de la réflexion des juristes. Alain Renaud s’interroge par exemple dans un texte sur la liberté de se droguer : il ne regarde pas les solutions apportées par les différents états. Il dit juste que le droit sert à l’homme d’être libre. Ensuite, il dit qu’est qu’une drogue : c’est un moyen pour un individu de se priver de liberté, de ne pas être en mesure de mettre à distance les déterminismes. Comme pour Alain Renaud, le droit est destiné à préserver

religieux..." Ainsi en est-il du droit africain qui est sacralisé: l'élément juridique et l'élément religieux sont indissociables. D'autre part, pouvons-nous croire que le droit puisse être indépendant de la politique? Après l'Etat gendarme, gardien des libertés de chacun, l'État providence proclame le droit de chacun à la santé, à l'éducation, au travail etc. Le droit n'est-il pas alors toujours l'instrument d'une politique? A ce sujet, Tunc note: "La politique fixe des objectifs, elle gouverne, elle "fait"