Tocqueville Despotisme Liberté Egalité

LIBERTES PUBLIQUES Plan du cours : L’introduction comprend des repères terminologiques, elle se terminera pas une réflexion prospective, à quoi correspond un cours de libertés publiques ? Réflexion de type sociétale, les libertés publiques sont un héritage, il est important de bien les connaître, car bien connaître ses droits c'est bien les défendre. Il faut êtres des experts précis de libertés publiques, important pour ceux qui veulent devenir avocat ou qui veulent passer des concours administratif

l'attaquer : s'ils étaient a la mode de chez nous, sous l'autorité d'un seul, ils pourraient.... ». Hérodote propose la vision des perses soumis a un despote et les grecs soumis volontairement dont la loi est a la fois complément et le garant de la liberté qui se définit comme l'obéissance volontaire aux lois.   b). De la loi de Dieu à la loi des Hommes, l’expérience de la royauté   On vise une période précise : 1050 – 750 avant JC. Homère l’a décrite dans l’Odyssée et l’Iliade. On parle

plus largement possible, elle a changé de régime politique mais aussi modifié l'ensemble des institutions politiques, sociales, administrative, économique ou encore religieuse. La révolution a balayé en 10 ans la société de l'ancien régime. De Tocqueville s'exprime à ce sujet: " Aucun peuple n'a opéré volontairement dans sa propre histoire une coupure aussi radicale que celle qui sépare la France de l'ancien régime celle d'avant 1789, de la France du régime moderne, celle d'après 1789". Le peuple

Très peu de monde ne souhaite un régime autre que la monarchie. Robespierre est l'un des seuls à envisager le renversement de la monarchie; personne ne souhaite que la monarchie ne devienne l'Ancien Régime (expression popularisée par Alexis de Tocqueville). AR → expression très vaste, pas seulement ancien régime politique, mais ancienne société: la Révolution est une révolution sociale, morale: la société de l'AR est inégalitaire: corporatiste, les ordres sociaux... On renverse tout cela pour instituer

n’est soumis à aucun autre ; ce qu’on pourrait appeler la face obscure. Mais il y a aussi une face claire ; cette face claire est la liberté que procure cette puissance. On peut aussi considérer la souveraineté vis à vis de l’intérieur et vis à vis de l’extérieur. Cette puissance suprême qui s’applique sur l’état et ses collectivités mais sur l’extérieur c’est cette liberté qui fait qu’on est libre. Elle est liée au concept qu’est l’État, réalité sociologique. Elle s’exprime à l’intérieur de la hiérarchie

différents et inégaux. Ces droits que l’on attribue c’est ce qu’on appelle à l’époque des privilèges (ou droits particuliers). En conséquence, l’idéal individualiste et des révolutionnaires sera au contraire d’aspirer à l’égalité des lois (à l’époque « égalité des droits » signifiait en même temps « uniformité des lois »), c’est-à-dire à l’uniformité des corps. Ex : La « société globale » est divisée en trois grands corps fondamentaux, qu’on appelle des « ordres » ou des « États ». Ces « ordres » ou

a, entre divers actes possibles, un choix beaucoup plus étendu que l’animal. Il y a déjà là pour lui une liberté relative, car il devient indépendant de la contrainte immédiate des objets présents, à l’action desquels la volonté de l’animal est absolument soumise. L’homme, au contraire, se détermine indépendamment des objets présents, d’après des idées, qui sont ses motifs à lui. Cette liberté relative n’est en réalité pas autre chose que le libre arbitre tel que l’entendent des personnes instruites

de cohésion sociale, d’autre part. Stratification sociale et inégalités (durée indicative : 5 semaines) Programme La dynamique de la stratification sociale Notions essentielles Inégalités, professions et catégories sociopropressionnelles (PCS) Égalité/inégalité des chances, mobilité/ immobilité, reproduction Notions complémentaires Patrimoine, revenu, moyennisation/ polarisation Destinée, recrutement, mobilité structurelle/nette, capital économique/ culturel/social Incitations, méritocratie, exploitation

CHAPITRE 3 : LE REGIME REPRESENTATIF 22 SECTION 1 : Les origines anglaises du régime représentant. 24 § 1 : Les libéraux anglais au XIIIème siècle, la magna carta. 24 § 2 : Les droits du parlement anglais. 25 § 3 : Le despotisme monarchique anglais du XVIème siècle. 26 § 4 : L’instauration du gouvernement représentatif. 26 SECTION 2 : Les fondements français du régime représentatif. 28 § 1 : L’expérience de l’ancien régime. 28 § 2 : L’expérience

existe un principe d’égalité juridique des Etats quelque soit leur puissance. La souveraineté internationale signifie qu’un Etat n’est souverain que s’il est totalement indépendant des souverains étrangers ; les colonies ne le sont donc pas. Cette égalité n’est qu’une fiction juridique, de multiples manifestations d’impérialisme économique et politique sont constatées (ex : Doctrine Monröe des Etats-Unis à l’égard des pays d’Amérique latine qui justifie l’intervention au Panama en 1989, Doctrine Brejnev