Toute Inégalité Est Elle Forcément Injuste

unité des méthodes et synthèses statistiques 203 L’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes est au cœur des valeurs et des missions de la fonction publique. Toutefois, l’égalité salariale de « droits » entre les deux sexes n’est pas forcément une égalité de « faits ». En 2015, dans le secteur public, une enseignante titulaire perçoit en moyenne un salaire net inférieur de 14 % à celui d’un enseignant. Alors que les règles de recrutement, d’emploi et de rémunération ne font intervenir

politiques et qu’une stabilité politique, sociale et économique était nécessaire préalablement à tout projet d’uniformisation du droit. Ainsi, selon lui : « ... un bon code civil pouvait-il naître au milieu des crises politiques qui agitaient la France ? Toute révolution est une conquête... On est emporté par le besoin de rompre toutes les habitudes, d’affaiblir tous les liens, d’écarter tous les mécontents... Tout devient droit public. »[1] ; et force est de constater que cette citation prend tout son sens

côté de cela, son métier est diversement interprété et mal apprécié. Cette mauvaise appréciation influe négativement sur sa gestion en entreprise, ce qui se traduit par une classification qu’elle trouve injuste par rapport à celle des autres travailleurs de son niveau d’études. Les inégalités constatées dans sa gestion, le blocage de son évolution professionnelle et les jugements parfois acerbes portés à son endroit sont autant de preuves qui justifient ses souffrances et ses plaintes. En traitant

du peuple, le gouvernement « par le peuple et pour le peuple », si l’on reprend la définition d’Abraham Lincoln. Elle s’oppose entre autre à un régime aristocratique où le pouvoir n’est détenu que par une élite. Il est commun de penser que toute démocratie repose sur des principes libéraux, si l’on considère que le libéralisme repose sur l’idée que tous les Hommes possèdent des droits fondamentaux inviolables par quiconque. En effet, si l’on prend cette définition du libéralisme, la volonté

dernier va se retrouver dans la connaissance. L’ Encyclopédie de Diderot et D’Alembert se fait le réservoir des connaissances de cette époque, il y a une période de remise en cause, on critique une société qui est perçue comme injuste, inégale, on commence à remettre en cause les privilèges. Cette société d’ordre est vouée par dieu, les gens sont persuadés que c’est une représentation de l’ordre divin donc ils ne souhaitent pas renoncer à leur ordre. Problématiques :·

(connaissance du monde, décrire, règles de l’environnement etc.) -La morale (quelles sont les règles, théories de l’action, que peut-on faire en se basant sur la théorie ?) -Le salut (question du sens, le but du jeu, en philosophie il n’y a pas forcément de sens, on s’appuie sur ca pour vaincre ses peurs) Philo et religion peuvent être tout à fait comparables sur ces 3 axes ! La philo est mère de toutes sciences car elle pose des questions sans s’enfermer dans des dogmes et des pensées religieuses

DROIT FISCAL Manque 2 premières heures. Notion d’imposition de toute nature. 1er distinction : imposition de tout nature / Taxe parafiscale. Aujourd’hui cette distinction a disparu : disparition de la notion de taxe parafiscale vs au libre consentement de l’impôt (décret au lieu de voie règlementaire) et transformation en taxe de tt nature : LOLF 2001. Taxe parafiscale défini par l’art 4 de l’ordonnance de 59: des prélèvements perçus ds un int éco ou social au profit d’une pers morale de

du groupe sur les points de moralité privée n’ont guère d’importance. Pour certains penseurs la philosophie politique est le reflet de la philosophie morale. Ce discours semble critiquable puisque mener une vie privée exemplaire ne signifie pas forcément être un bon citoyen. L’homme politique et stratège grec Périclès affirmait que celui qui ne s’occupait que de ses propres affaires sans se préoccuper clairement des intérêts de la cité n’était pas un vrai citoyen. Le libéralisme : éléments centraux

est sans doute vrai dans toutes les sociétés, c'est l'une des principales caractéristiques de notre civilisation cependant ils appliquent pas toujours la même logique. Toutes les circulations de biens et services entre les personnes ne sont pas forcément marchand. M.Mauss (début 20e) a montré que ce qu'on avait cru comme des échanges ds les civilisation primitive comme le troc n'était pas des échanges marchands. Qu'est ce qui caractérise les échanges marchands ? La logique de maximiser les bénéfices

l’aristocratie vers la cours du roi qui conduit à l’abandon de la violence comme mode d’action légitime > disparition du couteau. Les normes comportementales de l’aristocratie deviennent celles de la bourgeoisie inféodé a la cours puis celles de la société toute entière. A travers l’ex de la fourchette, Elias montre que les règles se diffusent vers le bas de la société. 3°) Un monde de ressources rares * Peut-on vraiment parler de rareté dans nos sociétés riches ? * Le cas des sociétés primitives