Toutes Les Opinions Ont La Même Valeur

persuader, convaincre Persuader, convaincre « Personne n’ignore qu’il y a deux entrées par où les opinions sont reçues dans l’âme, qui sont ses deux principales puissances, l’entendement et la volonté. La plus naturelle est celle de l’entendement, car on ne devrait jamais consentir qu’aux vérités démontrées ; mais la plus ordinaire, quoique contre la nature, est celle de la volonté ; car tout ce qu’il y a d’hommes sont presque toujours emportés à croire non pas par la preuve, mais par l’agrément

concorda entre elle est l’état. La philosophie en France remplace l’enseignement religieux, elle donne des principes de vie et de moral. La philosophie n’est pas la pour remplir la tête de choses, mais pour penser par soi-même. La culture doit nous aider à penser par soi-même. En philosophie on ne fait pas de l’Histoire de la philosophie . l’histoire de la philosophie est enseigner à la fac de philo ( c’est une affaire de spécialitée), en termniale c’est une formation pour apprendre à former des

Fanny Fontaine TS1 Dissertation de Philosophie _Peut-on défendre une opinion?________________________________ __________________________________________________________ Introduction L’opinion est, par définition, une prise de position consciente, un jugement personnel, qui est en partie raisonné. Elle est influencée par notre vécu mais aussi par l’opinion de notre milieu social. Certains pourtant se démarquent de l’opinion générale et pensent différemment. Ainsi, c’est lorsqu’il y a

• opinion : Idée sans contenu démontré par la raison. L'opinion s'oppose, dans la philosophie platonicienne, à l'Idée. L'opinion renvoie au particulier, l'Idée à l'universel. Un jugement de goût relève de l'opinion. Définir ce qu'est l'essence de la beauté relève de l'Idée. OPINION DROITE: Selon Platon, c'est une connaissance vraie mais non justifiée ni fondée pour celui qui l'émet. • recherche : Quête, conquête. • vérité : La vérité concerne l'ordre du discours, et il faut en cela la distinguer

On peut les comparer voire les opposer. Toute comparaison suppose un certain point commun. L'opinion est une connaissance imparfaite. On peut même s'étonner de l'emploi du mot connaissance à propos de l'opinion. Quand je donne mon opinion, je ne donne pas une connaissance. J'expose ma façon de voir les choses. Explicitons : donner son opinion, c'est dire comment nous percevons les choses. Il s'agit d'une représentation dans laquelle ma subjectivité entre pour une part importante. L'opinion

« La liberté des opinions ne peut être sans limites. Je vois qu'on la revendique comme un droit tantôt pour une propagande, tantôt pour une autre. Or, on comprend pourtant bien qu'il n'y a pas de droit sans limites; cela n'est pas possible, à moins que l'on ne se place dans l'état de liberté et de guerre, où l'on peut bien dire que l'on se donne tous les droits, mais où, aussi, l'on ne possède que ceux que l'on peut maintenir par sa propre force. Mais dès que l'on fait société avec d'autres, les

de convaincre quelqu'un de son point de vue, de justifier une opinion ou d'en démontrer la valeur. Plusieurs types d'arguments peuvent être utilisés tels que la référence à des faits, à des valeurs, à des enquêtes et à des études ; l'observation de besoins ou de comportements d'individus ou, encore, l'appel à des sentiments et le recours à la tradition, à l'histoire ou à des événements. Il y a plusieurs façons de défendre une opinion. Par exemple, on peut s'appliquer: à démolir les objections

encore parler de vérité? La vérité est-elle relative à chacun de nous? L'idée même de vérité ne suppose-t-elle pas l'universalité et l'objectivité d'un savoir? Si est vraie une affirmation en accord avec le réel, elle ne peut être l'expression d'un point de vue subjectif, elle doit au contraire avoir une forme absolue, ne dépendant ni de l'histoire des connaissances humaines, ni de la diversité des opinions. Mais une telle vérité une et universelle est-elle possible? L'enjeu est double ;

st-il vrai que toutes les opinions se valent? On a coutume de présenter l'opinion comme étant un préjugé s'opposant à la vérité scientifique. Nous somme alors tentés de toutes les considérercomme fausses, et donc toutes égales de part leur non-fondement. Mais dans notre société, nous somme constamment forcés de donner notre opinion sur tel ou tel sujet, et elle nous permet tout simplementde nous exprimer et de nous affirmer. De sorte que s'exprimer, se prononcer sur de nombreux sujets, c'est accepter

l’entendement » qui fait que le sujet refuse de s’emparer de la faculté de penser qu’il porte en lui.o       D’autre part, le phénomène de la rumeur (E . Morin) nous montre que le préjugé est souvent incontrôlable, car c’est un phénomène collectif, qui même dépourvu de sens ou de fondement, a ses lois de fonctionnement propres. La rumeur naît, se développe puis décline sans que l’on sache réellement qui en est l’initiateur. C’est ce qui fait la force de ce préjugé, racial, antisémite ou sexiste : il n’a