Tragique Racinien

tte la nuit la scène qu'il vient de vivre. => Ds cette scène, tt est opposé. On va retrouver cette ambivalence et ces oppositions ds Néron lui mm. II- Une vision obsédante qui trouble Néron: A) Le trouble: On retrouve tt les troubles Racinien classiques: - aveuglement ''ravi d'une si belle vue'' - aphasie ''j'ai voulu lui parler et ma voix s'est perdue'' - paralysie ''immobile, saisi d'un long étonnement'' - insomnie ''mes yeux sans se fermer ont attendu le jour'' - obsession

peut écrire une pièce de théâtre en mélangeant les tons, refusant ainsi qu’il n’y ait que du tragique dans une tragédie, que du comique dans une comédie . - Rejet du moralisme et du théâtre manichéen : il ne veulent plus de drame bourgeois , est pour les romantiques un théâtre moralisateur (le dénouement est toujours moral). Stendhal, Racine et Shakespeare (1823) : Stendhal y compare le théâtre racinien et shakespearien afin de montrer que le théâtre de Shakespeare est supérieur. Stendhal demande

Textes fondateurs du drame romantique Stendhal, Racine et Shakespeare (1823) : Stendhal y compare le théâtre racinien et shakespearien afin de montrer que le théâtre de Shakespeare est supérieur. Stendhal demande aussi aux dramaturges de renoncer à la versification. Hugo, Préface de Cromwell (1827) : Hugo y définit ce que doit être un drame romantique. L’opposition aux règles classiques, le héros romantique Refus de la règle des trois unités : les romantiques veulent se libérer de la forme

l’éthique et la morale de la société contemporaine. Mais pourquoi les auteurs racontent-ils leurs romances irréalisables et pénibles ? Pour répondre à cela, nous verrons dans un premier temps que les amours impossibles sont souvent la base des histoires tragiques. Dans un second temps, nous verrons que ces amours “ à l’eau de rose ” ne reflètent pas la réalité du lecteur et que ces amours impossibles permettent au lecteur de se reconnaitre dans les traits du personnage principal. Quelques soient les époques

pathétique très appuyé : malheur, douleurs, misère, horreur ; mais aussi une certaine ironie comme on le voit dans les antiphrases : je meurs content, pour couronner ma joie. Il est aussi victime de sa propre passion, et rappelle la prédestination tragique : j’étais né pour servir d’exemple à ta colère, mon sort est rempli. Il recherche une dernière alliance avec Hermione et Pyrrhus : Réunissons trois cœurs, qui n’ont pu s’accorder… Nous assistons dans ce dénouement à une escalade de violence qui

situe au point de croisement des trois grandes relations dramatiques qui charpentent la pièce, et pourtant il apparaît faible - c'est le centre toujours menacé de rupture par ta violence des passions écartelantes, si caractéristique de l'univers racinien. [à noter que pour Mauron, le pivot du drame = l'instance du moi. Cf p. 20 : "Dans la situation dramatique d' Andromaque, Pyrrhus nous représentera ce moi. Pourquoi Pyrrhus ? Parce que Pyrrhus se situe au point où toutes (es relations dramatiques

montrent. On peut citer tout d'abord l'existence des vers dans les œuvres classiques. Les alexandrins et les rimes dans Britannicus de Racine ne sont pas naturels. Chacune des répliques de cette œuvre sont un artifice pensé par Racine, le théâtre racinien est avant tout poétique. Dans le théâtre classique, on peut aussi citer la règle des trois unités: l'action doit se dérouler en vingt-quatre heures, en un seul lieu et ne doit être constitué d'une action centrale. Ces règles n'existent pas en réalité

l’essence du tragique racinien c’est que l’action ait cédé la place à la parole : puisque le sort est scellé, il n’y a plus qu’à avouer les crimes et les condamner, par la parole cathartique et expiatoire, à la fois génératrice de crise et source de délivrance. 6) le drame romantique lui semble vouloir échapper, notamment en s’étiquetant de cette façon inédite (comme « drame »), à l’opposition traditionnelle tragédie/comédie). 7) Le théâtre symboliste revient avec Claudel à la notion de tragique, sans

divertissement de la cour. Au 16ème siècle, la tragédie et conçue comme la peinture d’une infortune. Elle est lyrique, le choeur déplorant longuement la catastrophe, mais une véritable action tragique n’est pas présente. La tragédie classique, au contraire, triomphe de l’émotion tragique proprement dite. Le tragique se fonde sur la lutte éternelle entre l’homme et le destin inéluctable. Cependant la tragédie paraît menacée ainsi que la comédie par deux genres intérmediaires : la tragi-comédie et la

cette menace est celle de la guerre. Pourtant, alors que la parole de Cassandre se resserre sur la scène avec la fin surprenante. On a une forme d’allégement de la forme tragique. Cette première scène est fondamentalement ambiguë. On ne peut pas trancher avec Giraudoux, et c’est le cas avec cette première scène qui est comique et tragique. Cette ambigüité on la voix dans la conception de deux personnages : l’humanisme d’Andromaque, contre la fatalité de Cassandre. Cette ambigüité provoque une incertitude