Tragédie Exposé

menant très souvent à la mort. On distingue donc différents genres théâtraux : La tragédie qui est un genre classique et noble au XVIIème siècle. Elle met en scène des personnages appartenant à l'aristocratie ou à la mythologie. Elle montre la fatalité, le pouvoir des dieux (ou des hommes) contre lesquels le héros ne peut rien, ou un conflit entre l'amour et le devoir. La tragédie classique, liée à la tragédie grecque, veut inspirer la terreur ou la pitié pour purifier le spectateur (effet de "catharsis")

lieu) ( « Que le lieu de la scène y soit fixe et marqué »v10). La règle des trois unités et approfondit au v17 (« Qu'en un lieu, en un jour, un seul fait accompli ») ou il la pressente comme une contrainte qui le distingue lui et les écrivaines de tragédie classique, par rapport au théâtre espagnol qui n’obéit pas au règle des trois unité (« Un rimeur, sans péril, delà les Pyrénées »). La scène d'exposition d’oie aussi présentée une histoire vraisemblable et a la fois être une situation or du commun

WILLIAM SHAKESPEARE, ROMEO ET JULIETTE : RESUME SCENE PAR SCENE Prologue Le choeur expose le sujet de la pièce : deux familles ennemies de Vérone voient deux de leurs enfants se sacrifier par amour. Acte I Scène I Les deux familles rivales de Vérone, les Capulet et les Montaigu, ne cesse de s'affronter par de violentes rixes. Irrité, le prince Escalus tente de mettre un terme à cette inimitié qui plonge la ville dans le chaos. Le prince procède au jugement de familles ennemies. Mais le

prive souvent de la possibilité de vivre longtemps Corneille 17 siècle pièce de théâtre Le Cid monologue de Don Diègue « O rage ! Ô désespoir ! Ô vieillesse ennemie! N'ai je donc tant vécu que pour cette infamie » vieillesse perçu comme une tragédie Corneille 17 siècle Standes à la Marquise « Le temps aux plus belles choses Se plaît à faire un affront: Il saura faner vos roses Comme il a ridé mon front » la vieillesse comme une marque du temps qui passe vieillesse comme fin de

-différence également dans le traitement de la monstruosité au théâtre : les Grecs commencent à chercher la responsabilité des actes des hommes (voir phrase très éclairante de Walter Nestle : « La tragédie prend naissance quand on commence à regarder le mythe avec l'oeil d'un citoyen ». Dans le cas de RZ = tragédie de l'irresponsabilité. RS (celui du fait divers) ne semble pas du tout responsable de ses actes et c'est cela qui semble avoir fasciné Koltès. RZ symbolise une particularité propre à l'homme

Horace, Pierre Corneille. Lucas Delcambre Horace est une tragédie en cinq actes, écrite par Corneille en 1640 au XVIIème Siècle, il s’inspire d’une légende rapporté par un auteur Latin, Tite-live. La pièce raconte l’histoire de deux familles, la famille Horace et la famille Curiace, et plus particulièrement un conflit entre les 3 frères romains Horaces et Les 3 frères Albains Curiaces. Ils se seraient battus dans un combat singulier pour sceller la fin de la guerre entre Rome et Albe, qui commençait

exemple. Molière , dans Le malade imaginaire , critique les médecins de l’époque qu’il considère comme des charlatans , à travers cette pièce comique , il expose des idées . Plus tard, Feydeau va blâmer l’hypocrisie, la superficialité des gens dans le milieu mondain à travers des Vaudevilles hilarants. On retrouve le même phénomène dans la tragédie, avec la catharsis, le spectateur, terrifié par la situation, peut être touché par la cause que défend le dramaturge. Dans La putain respectueuse Jean-Paul

exemple dans le Cid de Pierre Corneille. Exposer des sujets difficiles et très sensibles à l'époque par le biais du théâtre, et qui plus est, de la comédie, permet de détourner la condamnation des paroles. C'est une façon très astucieuse de dévier la censure. Lorsque l'on compare avec d'autres genres théâtraux, on remarque que la comédie se distingue en certains points . Notamment par le fait qu elle a pour but principal de faire rire le lecteur. La tragédie, par exemple, un autre genre théâtral

Commentaire d’œuvre Autoportrait dit en Ravenswood ou en Hamlet Par Eugène Delacroix Il s’agit d’un autoportrait exécuté en 1821, c’est une huile sur toile mesurant 41cm sur 33cm, et est exposé au musée Delacroix à Paris. Nous débuterons dans un premier temps par une description de l’œuvre puis nous la remettrons dans son contexte d’origine et enfin nous terminerons ce commentaire par son iconographie. Il s’agit d’un portrait en pied, étiré en hauteur. Un jeune homme au cheveux longs

Paris, PUF, 1992. Les pages synthétiques sur le contexte du Cid proposées par Alain Couprie dans Pierre Corneille, « Le Cid » (Paris, PUF, coll. « Études littéraires », 1989) sont également très éclairantes. Pour éviter de proposer aux élèves un exposé purement magistral, voici quelques propositions de mise en activité pour cette introduction contextuelle. Étude d’un corpus de textes – Molière, Dom Juan (livre de l'élève, p. 176). – La Rochefoucauld, Maximes, maxime 215 (livre de l'élève, p. 177)