Tribunal ecclésiastique

cette intimité du chancelier et de la personne royale. Le caractère ecclésiastique des chancelier jusqu’au XVI étant des hommes d’églises, les chanceliers sont soucieux de la dimension miséricordieuse de la justice royales => l’équiti dans sa première version est un peu l’expression de ce devoir de miséricorde, de la vertu de justice idéologique chrétienne de la justice. B) Une juridiction efficace: Établissement d’un tribunal à juge unique. Justice qui connait un succès. Cette juridiction efficace

caractéristiques de la “common law” a) Continuité historique _ Pas de fracture dans la common law depuis sa création. _ Il n’y a jamais eu de codification, même si sous l’impulsion de Bentham, cela a été discuté mais jamais mis en oeuvre. _ Il arrive que les tribunaux citent de la jurisprudence du XVIIe ou XVIIIe siècle. b) Indépendance du droit romain CHAPTER 1. LES FAMILLES JURIDIQUES 6 _ Son évolution est indépendante du droit romain. La common law n a pas subi l’influence du droit romain car elle s’est érigée

les juridictions royales (émanation de l’Etat), des juridictions seigneuriales et des juridictions ecclésiastiques. Les derniers siècles de l’Ancien régime on permis l’effacement des autres juridictions et qui ont permet à la juridiction étatique d’être la seule forme de juridiction. A partir de 1789 il n’y a que des juridictions étatiques. L’Etat a le monopole de la justice, car seul les tribunaux et les cours d’appel légalement institués sont les seuls à pouvoir rendre la justice au moyen de décision

Juridictions répressives ou pénales B. Juridictions de l'ordre administratif C. Juridictions spécialisées échappant au dualisme des ordres de juridiction 1. Conseil constitutionnel 2. Tribunal des conflits 3. Haute Cour 4. Cour de justice de la République D. Juridictions internationales 1. Juridictions de l'Union européenne a. Tribunal de l'Union européenne b. Cour de justice de l'Union européenne 2. Cour européenne des droits de l'homme § 2 Les gens de justice A. Les magistrats B. Les auxiliaires de justice

différents: Les tribunaux sont des juridictions du fond de 1ère instance et rendent des jugements. Les Cours sont soit des juridictions du fond de 2nde instance devant lesquelles on fait appel, soit des Cours suprêmes couronnant un ordre juridictionnel (Cour de cassation) et rendent des arrêts. Les Conseils (Conseil des prud’hommes, Conseil de la concurrence) sont des juridictions du 1er degré à l’exception du Conseil d’État. (ordre alpha conseils, cours, tribunaux, retenir : premier

Conseil d'Etat qui est à l’origine la seule juridiction administrative. On trouve comme complément des décisions du tribunal des conflits : décisions qui ont déterminé le domaine du droit administratif. A l’origine, le tribunal des Conflits résolvait les différences de compétences juridictionnelles et disait qui était compétent pour apporter une solution aux litiges. Le Tribunal des Conflits détermine le droit applicable aux litiges en question. Plus récemment, d’autres grands principes ont été

largement... Partout, vraiment partout, il y a des juges. Concernant les religions : corpus qui répondent à nos interrogation sur le sens ultime de notre existence. Le premier commandement que Dieu demanda à Noé = établir la justice en créant des tribunaux. La philosophie : procès à un rapport ac cette matière, il permet de penser des concepts fondamentaux comme la raison, la justice, la vérité : cf au procès de Platon. Exemple plus récent : Habermas. Philosophe allemand qui essaye de penser la raison

italien, le droit se dit « Diritto », en espagnol «  derecho », en allemands « recht » et en anglais «  right ». En latin, le droit se dit jus/ius : juridique (rapport au droit), judiciaire (qui se rapporte justice), jugement, juste, juridiction (tribunal). Il existe un lien étroit entre droit et justice. On dit que le juge a la dictio iuris (dire le droit) le terme juger est iudicare. Des définitions divergentes 1787, Kant écrit « La critique de la raison pure » Les juristes cherchent encore une

devient un service publique mais ce service publique ne met pas fin à ce que l'on pourrait appeler les justices privées rendues par les grands propriétaires sur leur territoire. Il s'ajoute une justice ecclésiastique rendu par le diocèse. Il existe une justice royale; seigneuriale et ecclésiastique. D'où une justice publique morcelée. Mode de preuve , totalement irrationnelle et fait intervenir la divinité (c'est dieu qui l'a voulu). §2: l'affermissement de la justice royale: L'unification

monopole signifie que seul le souverain peut exercer la justice (le roi durant l'Ancien Régime, le peuple aujourd'hui). La solution définitivement rendue par les tribunaux, une fois les recours exercés ne sauraient être remises en cause → il ne peut y avoir de nouveaux litiges portés devant d'autres juges pour un litige déjà trancher par un tribunal étatique. La force exécutoire signifie que la force publique pourra être requise pour que la décision doit exécutée par la partie condamnée (conséquence du