Tutelle Administrative

plusieurs offertes par la loi. La fraude à la loi consistera, par exemple, à dresser une contre-lettre qui dissimule une partie du prix, de la vente ou à faire précipitamment une série de contrats avant d’être atteint par la mesure de mise sous tutelle ou sous curatelle, qui va être prise par le juge. Mais, il peut aussi y avoir fraude aux droits du cocontractant, qui sera parfois distincte du dol. Il y a aussi possibilité de fraude aux droits d’un tiers, lorsque l’on s’entend avec son cocontractant

C'est ce que montrent empiriquement les études centrées sur trois groupe-pivots dans l'organisation : les techniciens à France Télécom, dont Céline Dumoulin analyse lapuissance et le déclin corrélatif au passage en société anonyme et à la mise sous tutelle des activités techniques ; les informaticiens de Recherche et Développement, dont Hélène Stevens analyse la perted'autonomie, sur fond de standardisation des langages techniques et d'affirmation d'éditeurs puissants ; les facteurs, devenus des cibles

juridique. 1.1.3.1 La capacité des personnes physiques Si la capacité est de principe, certaines personnes peuvent pourtant être privées de cette capacité. Ces personnes sont dites incapables. Sont incapables : Le mineur non émancipé ; Le majeur sous tutelle ; Le majeur sous curatelle ; La curatelle peut être simple ou renforcée pour l’adapter aux besoins de la personne protégée. Et dans une moindre mesure, le majeur sous sauvegarde de justice. On distingue : L’incapacité de jouissance qui s’entend comme

déclare que certaines personnes sont incapables de faire des actes de commerce, ces personnes sont les majeurs placés sous tutelle ou sous curatelle, et les mineurs, même émancipés. Les sanctions de l’incapacité sont les suivantes :  - Une personne peut se prévaloir de son incapacité pour ne pas se retrouver en liquidation ou en redressement judiciaire.  - Si le jugement de tutelle ou de curatelle a été publié au RCS, l’incapable peut demander la nullité relative des actes de commerce qu’il a passé

liberté de se marier, consacré et encadré. A) La protection de la liberté de se marier B) Les conditions afin d’être libre de se marier (consentement) II- Mais sous certaines conditions de restrictions… A) Les atteintes à la liberté de se marier (tutelle, curatelle, sauvegarde de justice) B) La loi accepte la dissolution du mariage Proposition de plan : I- A)Le mariage protégé par des textes B) Le droit de se marier ou non II- A) Le mariage limité légalement B)Le mariage frauduleux

parents sont d’accord, l’un d’eux (représentant légal) peut passer l’acte de cession. En cas de désaccord : autorisation du JAF. le mineur émancipé : peut valablement accomplir tous les actes de la vie civile le majeur sous tutelle ou curatelle : Tutelle : 505 du Code civil : Seul le tuteur peut céder, mais avec l’autorisation du conseil de famille. Curatelle : 467 du Code civil : Le curatélaire peut céder lui-même ses parts, mais avec l’assistance de son curateur. le

ait déterminé consentement au contrat. De plus cette menace doit être légitime. La menace ne doit pas obligatoirement émaner du co-contractant. III- La capacité à consentir Il y a trois types de personnes incapables : - les majeurs sous tutelle - les majeurs sous curatelle - les mineurs Il existe deux types d’incapacité : Incapacité de jouissance : lorsqu’on interdit à une personne de conclure un acte déterminé car cet acte est dangereux pour elle. Conclure cet accord seule ou par l’intermédiaire

elles seront donc assistées par un curateur qui agira en leur nom. Personnes présentant une altération grave et prolongée des capacités mentales ou physiques et qui les empêche d’effectuer les actes de la vie civile. Ces personnes seront mises sous tutelle, elles seront donc assistées par un tuteur qui les assistera pour tous les actes de la vie civile car ces personnes sont totalement incapables.

GISSEROT, Les droits de l’enfant, Dalloz + connaissance du droit, 2003. F. DEKEUWER – DÉFOSSEZ et L. CHOAIN, L’autorité parentale en question, Droit des personnes et de la famille, Septentrion, Presses universitaires, 2003. BAUER M. et FOSSIER Th. Les tutelles : protection juridique et sociale des enfants et des adultes, 2e éd., ESF, 1996, préface J. HAUSER. L’enfant et la famille, collection Juriscompact, 2003, 1080 p. — Outre ces ouvrages : voy. Les différentes encyclopédies, J. cl. civ., Rép. Dalloz

en mesure d'être des donneurs sont plus nombreuses, le même art ajoute que lorsque cette pers est un mineur ou un majeur en tutelle l'utilisation ultérieure des organes ainsi privés, est subordonnée à l'absence d'opposition des titulaires de l'autorité parentale ou du tuteur qui ont été dûment informés de l'objet de cette utilisation. Le refus du mineur ou du majeur en tutelle fait obstacle à cette utilisation. Également, le don croisé d'organes a été autorisé par la loi de bio 7 janvier 2011, code