Tyrannie De La Majorité

citoyens gouverne directement. C’est le modèle de la citoyenneté athénienne telle que définie au Vème siècle avant Jésus-Christ. - la démocratie représentative : le peuple désigne des représentants pour diriger en son nom. C’est le cas de la grande majorité des démocraties actuelles. La démocratie ne concerne réellement qu’une trentaine de pays dans le monde, et les critères qui peuvent permettre d’affirmer qu’une démocratie se porte bien sont l’indépendance de la presse, l’indépendance de

l’éphébie, c’est-à-dire être capable de défendre la cité. L’éphébie est en effet une formation militaire et civique de deux ans qui permet d’assurer la défense de la cité sans avoir d’armée permanente ; elle prémunit aussi la ville des risques de tyrannie. A l’expiration de ces deux années, ils sont désormais confondus avec les autres citoyens. Cependant à partir de -451, Péricles (influent stratège, orateur et homme d'état athénien) modifie la loi et définit des critères encore plus stricts qui désormais

sachant que le monde des adultes lui est fermé. « Affranchi de l’autorité des adultes, l’enfant n’a donc pas été libéré, mais soumis à une autorité bien plus effrayante et bien plus tyrannique : la tyrannie de la majorité. » Banni du monde des adultes Rejoint le « monde de l’enfant » Livré à la tyrannie du groupe de pairs Livré à lui-même -- Ne peut se révolter -- Ne peut pas en discuter -- Ne peut pas en échapper car le monde des adultes lui est fermé Conformisme Conformisme + Délinquance juvénile

. L'idéal politique grec qu'on va décrire ici c'est essentiellement l'idéal athénien . Ce modèle on le connait bien grâce à la littérature athénienne (poète , discours politique , penseur … ) . L'idéal politique c'est la cité du moins pour la majorité des grecs ; La démocratie c'est surtout athénien mais ce n'est pas qu'athénien . Section 1 : La cité Les grecs raisonnent toujours sur le plan politique dans le cadre de la cité . Quand Platon décrit le régime idéal , il décrit un régime utopique

c’est la constitution Montagnarde, qui déclare les droits de l’Homme et où le peuple a le pouvoir. Les citoyens, c'est-à-dire les hommes de plus de 21 ans, résidant en France et n’étant pas domestiques, votent et élisent une Assemblée qui détient la majorité du pouvoir exécutif et législatif. En effet, il y a un Conseil exécutif de vingt-quatre membres mais celui-ci est dépendant de l’Assemblée et n’a en fait que peu de pouvoirs. Cette constitution est approuvée massivement par le peuple. Mais pour qu’elle

Il faut remarquer d'autre part que la reconnaissance apparaît d’ailleurs d’abord comme une nécessité pour le maître, avant d’être une question pour l’esclave. En effet, le maître n’existe d’abord que dans un rapport de force. L’esclavage et la tyrannie en fournissent des exemples : le maître qui réduit en esclavage ne demande pas aux esclaves leur consentement. Pourtant, au simple fait de maîtriser quelqu’un physiquement s’ajoute la capitulation par laquelle je reconnais que je suis maîtrisé. Il

abstraitement consacrés avec la réalité. Tocqueville écrit en 1840 De la démocratie en Amérique, dans lequel il livre une critique importante de la démocratie. Inspiré par Platon, Tocqueville considère que la démocratie contient en elle-même le germe d’une tyrannie. Elle contient d’une part la liberté des individus, d’autre par l’égalité de ceux-ci ; il évoque ainsi l’obsession de l’égalité entre les hommes. C’est cette obsession qui va conduire à limiter les libertés ; le système est ainsi corrompu par lui-même

extrait, «La valeur de la philosophie» pose le problème, comme son nom l'indique, de la valeur de celle-ci: Comment se définit-elle? Quel est son sens? Pour quelles raisons peut-on être amené à l'étudier? Selon le philosophe Bertrand Russell, la grande majorité des gens pensent que cette discipline n'est que torture de l'esprit et qu'elle n'apporte aucune réelle réponse fondamentale. Or, d'après l'auteur, ce sont les doutes et les questionnements qu'elle laisse qui donnent à la philosophie sa valeur puisqu'elle

qui va mettre en place les droits. Mais après (avec la Révolution) c’est la nature même de l’homme qui créée les droits. Il existe des différences entre droits de l’hommes et citoyens : - accès au droit politique suppose un age minimum ( majorité politique) - Nationalité du pays - Possibilité de perdre la citoyenneté par décision de justice. Mais petit à petit cela se modifie ( condition d’âge même si elle existe toujours n’a pas la même important. On à baisser l’âge de la fonction

législatifs et exécutifs. Si l’exécutif ne peut pas arrêter le législatif, on arrivera à un pouvoir despotique, il doit avoir un droit de véto. L’on donne alors un droit de contrôle du législateur mais il n’est pas juge sinon cela entrainerait une tyrannie. A l’époque on s’est demandé si l’esprit des lois n’est pas un livre qui ne faisait que critiquer le système français. Montesquieu dit en préface qu’il n’est là que pour regarder la situation. Ce texte serait le premier élément qui va contribuer