Ulpien

spécialité reliées entre elles avec parfois des liens de filiations. 1. Distinction Droit privé/droit public C’est une summa divisio : fondamentale Cirécon (106 – 43 av.JC) : … Dans le droit écrit, il y a deux domaines : un privé et l’autre public Ulpien (vers 150 – 224 ap JC) dira sensiblement la même chose, mais ajoute que le public est l’état qui concerne de la chose publique romaine (intérêt général du citoyen) et le privé qui concerne l’utilité particulière (intérêt singulier, les individus en

célèbres, il suffit de citer Julien, contemporain de l’Empereur Hadrien, rédacteur de l’édit perpétuel. A la génération suivante, Gaius, puis à l’époque des Sévères : Papinien, Paul et Ulpien. Ces derniers sont non seulement de très grands juristes, mais aussi des auxiliaires proches des Empereurs. Papinien et Ulpien sont ainsi des préfets du prétoire4, adjoints direct de l’Empereur. Leur œuvre est abondante et multiforme. A côté des classiques recueils de consultations (quaestiones), ils composent

autres. En D, distinction classique entre D privé qui régît rapport entre indiv (relation interpersonnelle) et D public qui prend en compte structure sociale dans son ensemble, c’est ce D qui org D adm et D po de la société, héritée du D romain (Ulpien) D public concerne état de la République et D privé concerne l’utilité des partis. Cette distinction n’est plus autant tranchée, car + de distinction (comme D anglo-saxon). Limite entre ces 2 D n’est pas fixe, elle évolue en f° type de po mise

des questions juridiques ou administratives que lui adressent des particuliers ou des fonctionnaires) Ces constitutions permettent de centraliser et d’uniformiser le droit. Apartir du 3ème siècle après JC, on estime elles ont force de loi et ainsi Ulpien déclarait :  « ce qui a paru convenable au prince a force de loi » 2°) L’apogée de la jurisprudence : A la fin du principat, entre les premiers et 3ème après JC, on assiste à un véritable âge d’or de la jurisprudence. Les auteurs de doctrine sont

cette oeuvre reprend les écrits des grands jurisconsultes ( penseur du droit ) . Et le but c'était de redonner sa grandeur au droit classique romain . Dans ce livre premier du Digeste , on trouve au tout début un passage d'un juriste du nom de Ulpien . Le droit est l'art du bon et de l'équitable. Il y a une assimilation chez les juristes romains entre les concepts de justice et de droit ( jus ou ius ) . En Grèce aussi on trouve cette assimilation entre les termes justice et droit, la notion

problème, quelle justice ? Est-ce qu’on peut définir la justice d’une manière générale et objective ? La philosophie grecque s’est efforcée de définir la justice et les juristes romains en ont retiré une définition : la justice, c’est, comme l’écrivait Ulpien, attribuer à chacun ce qui lui revient, Sum quique tribuere. A chacun selon son dû laisse intacte le problème de déterminer ce qui revient à chacun. Donner à chacun ce qui lui revient suppose un choix préalable. Celui-ci est celui qui nous amène à

« technos » comme une technique et alors le droit devient selon les anciens, il devient une pratique, c’est un savoir-faire et il va y avoir une définition qui va rassemblé plusieurs juristes qui a été donné par Ulpien « jus est ars boni et aequi » (le droit est l’art du bon et du juste) et Ulpien va compléter cette définition en disant « les préceptes du droit sont les suivants : vivre honnêtement ne pas laiser autrui, attribuer à chacun son dû » (Juris praecepta sunt haec honeste videre, alterum non

les codifications antérieures. C’est un recueil officiel qui remplace les codifications antérieures et fait foi devant les tribunaux. Digeste date de 533 = compilation d’œuvres de jurisconsultes classiques; dont 4 cités ; Papinien, Paul, Gaius et Ulpien. C’est le reflet du droit romain classique, apogée du droit romain qui n’était plus adapté à l’époque de Justinien. Donc pas un texte vraiment utilisé à l’époque de Justinien mais importance pour la science juridique car grâce à ce texte on a connaissance

travers les jurisconsultes vont s'inspirer de cette doctrine stoïcienne , on la retrouve grâce à 3 jurisconsultes : Ciceron qui nous dit qu'il existe des lois supérieures « NON SCRIPTA SED NATA LEX » des lois non écrite qui en dépasse d'autres ? ULPIEN : SUUM CUIQUE TRIBURE= a chacun selon son dû . (chacun a ce qui lui revient ) Paul ! Il se réfère a JUS NATURALE par la suite , Les théologiens catholiques dont Saint Thomas d'Aquin (13 ème siècle) vont distinguer plusieurs type de lois (x) -les

1589 par un moine catholique, assassinat de Henri IV en 1610 → entrée en pratique des théories monarchiques. Section 2 : Les théories absolutistes des XVI et XVIIe siècles (de Bodin à Bossuet) Ce concept vient de la phrase latine, attribué à Ulpien. Il est en rapport direct avec le concept de souveraineté qui est véritablement opérationnel au XVI° : la souveraineté revoit au latin, c'est des superlatifs, c'est la puissance publique, l'autorité suprême. Jean Bodin : auteur du XVIe → Les 6