Une Langue Universelle Est Elle Possible

s’interrogeant sur les cultures humaines et leurs origines. Si le concept de culture paraît ici se décliner sous différentes formes et représentations propre aux individus, comment peut-on définir et surtout instituer légitimement ce concept de manière universelle ? Ce qui nous amène à nous interroger sur la possibilité de juger objectivement de la valeur d’une culture. La culture, du latin colere (« habituer », « cultiver », ou « honorer), désigne au sens anthropologique, l’ensemble des croyances, connaissances

que les lois : qui permettent une cohabitation de plusieurs individus, qui font régnées l'ordre sur un territoire, qui obligent ou interdisent certaines choses ( vol, etc … ) Il y a aussi une langue officielle par Etat : elle permet la compréhension entre chaques individus d'un même Etat, c'est une langue commune . On parle aussi de communautée : qui regroupe une population sur un même territoire . Mais aussi d'éducation : qui reste propre à l'etat dans lequel elle se situe, De territoire : délimité

obligatoirement par l’intermédiaire de la L1, c´est à dire il « postule la dépendance de la L2 sur la L1 » (Hilton 2002: 5). En ce qui concerne le modèle de « médiation conceptuelle (figure 3), il n’existe aucune interaction directe entre les unités des deux langues; tout contact se fait à travers des représentations conceptuelles (Boulton 1998: 6), donc la L2 et la L1 fonctionnent de manière autonome: Figure 3. La médiation conceptuelle (Kroll & Stewart 1994) (Hilton 2002: 6) Le modéle asymétrique (figure

problématique. En effet, comme le constate Craig Calhoun, le nationalisme est trop divers pour qu’une seule théorie puisse l’expliquer tout entier. Ce point de vue rejoint celui de John Hall selon lequel « aucune théorie unique et universelle du nationalisme n’est possible », et que, de ce fait « nos concepts doivent être aussi divers que l’est l’histoire ». Selon Anthony Smith, un des principes clés du nationalisme est que« la nation est la source de tout pouvoir politique et social » et que« l’appartenance

de réaliser un apprentissage progressif des marchés étrangers. C'est une expression qui se réfère d'abord à une évaluation de la demande au plan mondial : les goûts, les préférences des consommateurs, leur sens du juste prix tendraient à devenir universel. Cette expression se réfère ensuite à l'offre : les produits et les services deviendraient de plus en plus standardisés, et la concurrence à l'intérieur de certains secteurs se ferait à l'échelle du globe. 2. La stratégie d'internationalisation

de montrer, de penser autrement sur l’Homme, par le rire cela fait réfléchir. Rabelais invente une langue avec des nouveaux mots. Il nous présente une image du monde et de la vie avec une image sérieuse de l’Homme Le texte à étudier est un extrait de Pantagruel : Gargantua a envoyé une lettre à son fils Pantagruel afin de l’initier à un programme humaniste. LECTURE DU TEXTE QUESTION POSSIBLE : En quoi cette lettre témoigne de l’idéal humaniste ? ANNONCE DU PLAN : I°- La relation père/fils

littéraire. La langue latine, qui était alors d’un usage universel en Europe, lui permettait de se sentir partout chez lui. Il exerça surtout son activité à Paris, à Louvain, en Angleterre et à Bâle. Son séjour en Angleterre lui permit de nouer des amitiés durables avec les principaux maîtres de la pensée anglaise à cette époque agitée du règne d’Henri VIII : John Colet, Thomas More, Thomas Linacre et William Grocyn ; il séjourna au Queens’ College de Cambridge, où il est même possible qu’il ait été

Nous recherchons donc une définition générale de l’humain, ce qui fait que l’Homme est Homme. L’ : l’article renvoie ici à une caractérisation universelle. Nous ne recherchons pas ce qu’est un homme particulier mais ce qui vaut pour tous les hommes dans leur ensemble. -Homme : La majuscule signale que nous interrogeons l’humain en tant que genre universel. L’homme est un animal qui se distingue des autres espèces par la possession de caractéristiques particulières : *Une configuration anatomique

un projet ? L'engagement se fait sous forme de paroles ou d'actes, les paroles précédent souvent les actes, elles servent à annoncer ce qu'on compte faire, mais aussi à informer fièrement la personne devant laquelle on s'engage. Cependant, il est possible de s'engager envers soi-même, lorsque nous faisons une erreur, nous nous promettons de ne pas recommencer, que l'erreur servira de leçon. Les paroles sont ce qui exprime en premier lieu l'engagement, elles viennent avant les actes, elles sont un

la nature ? Alors que la condition humaine est une, c’est-à-dire fondamentalement culturelle, on observe une grande diversité de cultures dans le temps et l’espace. Mais n’est-on pas prisonnier de la culture à laquelle on appartient ? Est-il possible de rencontrer « l’autre homme » de manière authentique et à quelles conditions ? I. LA CULTURE : UN FAIT HUMAIN ET UNE ACTIVITE SYMBOLIQUE 1. Nature, culture et humanité Se nourrir, quoi de plus naturel ? Ce besoin relève de notre part