Université pontificale grégorienne

spirituel sur le pouvoir temporel, mais ne doit pas avoir de subordination. v Doctrine Gélasienne Le pape Gélase écrit une lettre à l’empereur de Bisance, Alastase. Il proclame que le monde est régi par le pouvoir royale et par le pouvoir pontifical. Ces deux juridictions, sont indépendantes et ceux qui les exercent tiennent leur pouvoir de Dieu : - Rois = fils de Dieu - Pontifes = Subordonnés aux Princes ð Collaboration pour permettre l’accomplissement de l’œuvre de Dieu. Les deux pouvoirs

derniers carolingiens, la collaboration va tourner au profit de l’Eglise et elle prépare la prédominance du pape dans la direction de la chrétienté à partir de la fin du XIe siècle jusqu’à la fin du XIIIe siècle ; on parlera alors de théocratie pontificale. Conséquences : c’est une véritable rupture avec la tradition mérovingienne de la patrimonialité du pouvoir. La royauté n’est plus patrimoniale, elle n’appartient plus au roi. C’est une fonction qui s’exerce dans l’intérêt général. La doctrine

politique) met fin au jugement de Dieu en faisant rechercher des preuves par des enquêtes et des auditions de témoins Philippe IV le Bel (1285 – 1314) Son règne est marqué par un accroissement de l'autorité royale, un affranchissement de l'autorité pontificale, un développement de l'administration et une extension du domaine sous contrôle royal. Conflits avec la papauté, au nom de l'indépendance de l'Eglise de France. La victoire de Philippe le Bel confirme l’indépendance absolue des rois chrétiens à

juriste occidental, à la fin du Ve ou au début du VIe siècle, connue sous le nom de « Consultatio veteris cuiusdam iurisconsulti », ne cite aucun jurisconsulte classique ; elle n'allègue que les « Sentences de Paul » ( vers 320/328 ), les codes Grégorien ( vers 291/292 ), Hermogénien ( vers 295/314 ) et Théodosien ( vers 439 ). Aussi, pour pallier la dispersion du droit, Justinien ordonna-t-il la rédaction d'une série de compilations ( § 1 ), dans un but à la fois politique, pratique et scientifique

christianisme a sublimé l’amour de Dieu (monothéisme) et l’a exprimé au Moyen Âge par ses églises romanes et ses cathédrales gothiques. Les mœurs se sont adoucies, des nations se sont formées ; dans le secret des monastères ou dans les premières universités, un minutieux travail de recherche historique, littéraire, philosophique, scientifique, a donné naissance à des progrès, tels que l’imprimerie, la pharmacie, la rotation des cultures. L’humanisme et la Renaissance, en se penchant sur le « mieux-être

confession, puis enfin grégoire 1Er née en 540 et mort en 604. on peut parler également de St-jérome qui a traduit la bible en latin. Ce droit canon était complété par des canons concillaire et il pouvait etre complété par d'autre source « decrétal pontifical » source du pape. On reunissait parfois des conciles quand des questions doctrinales se posait à l'église. Et le pape pouvait être à l'origine de sons droit. Ses décrétales avait une porté général et avait pour vocation de s'appliquer à l'ensemble

de son voisin de gauche : la solidarité défensive au combat est ainsi une des marques de la solidarité entre citoyens. C) Documentation – Bibliographie Un petit ouvrage de base : ● Mossé Claude, Le citoyen dans la Grèce antique, « Nathan Université », coll. 128. Les textes fondamentaux : ● Hérodote, L’Enquête, trad. Barguet, 2 tomes, « Folio ». ● Thucydide, Histoire de la guerre du Péloponnèse, trad. Voilquin, éd. GF Flammarion. Pour approfondir : ● Amouretti M.-Cl. & Ruzé F., Le monde

Blanche de Castille, qui assume le pouvoir au cours de son enfance ou lors de ses expéditions en Terre sainte. Le programme de prestige de la capitale est poursuivi avec la construction de la Sainte Chapelle et surtout de la Sorbonne, première université française. Le règne de Saint Louis constitue un tournant pour la monarchie des Capétiens car, par sa stature, le souverain a su s’imposer à ses vassaux. Sa piété amène le respect de tous. Il est d’ailleurs canonisé en 1297 et devient, pour l’histoire

privée. En l’an 843, Louis le Pieux, par le traité de Verdun, le divisa en trois : Louis le Germanique reçut la Germanie à l’est du Rhin ; Lothaire, les pays situés entre la mer du Nord et Rome (où le pape avait obtenu un État, embryon des États pontificaux qui dureront jusqu’en 1870) ; et Charles le Chauve, à l’ouest de la Meuse, de la Saône et du Rhône, la région qui s’appela ensuite la France, le traité de Verdun en étant l’acte de naissance officiel. Ces Carolingiens n’avaient pas le sens de l’État

règle à ce moment donné, il faut l’observer dans la durée, repérer se fait l’évolution. A quel moment se renforce t-il ou s’atténue t-il ? Tout ne va pas dans le sens du l’humanisation. Cette société est très différente avant et après la réforme Grégorienne (siècle de fer et de plomb). L’universalisme gagne du terrain. 4. La concordia. L’idée était déjà romaine, le concept aussi. Elle prit un sens élargi quand elle eu pour objet toute l’humanité. Pour les juristes se traduit par l’idée que l’amour