Valet Miroir Maitre

entré en scène, on voit Don Juan face à une femme abandonnée : Elvire. -Dans cette scène de tension dramatique qui oppose une héroïne tragique et pathétique à un libertin en action, Molière parvient à introduire le comique, par l'intermédiaire du valet Sganarelle. -Problématiques possible: Comment DE incarne-t-elle la figure de l’héroïne tragique? De quelle facon le personnage de DE amène une tonalité tragique? Qu'est ce qui, dans cette scène, met en évidence son appartenance au genre baroque ? En

renversement des situations sociales entre les maîtres et les valets. Quand : on assiste ici à une sorte de brouillage temporel (à l’éloignement dans l’espace correspond l’indétermination dans le temps). En effet la référence à Athènes peut nous projeter dans l’époque de la Grèce Antique, mais en même temps Arlequin est un personnage qui correspond au monde contemporain des spectateurs, renvoyant à la comédie italienne. La manière dont il appelle son maître : « mon patron » correspond plus au langage

Liaisons Dangereuses, on constate qu'il n'y a aucune ou du moins presque pas d'allusions ni aux décors, ni à l'apparence physique des personnages. Pourtant, devinant que l'histoire du roman se situe aux XVIII ème siècle ( présence des valets, des servantes, des maîtres ainsi que le mode de vie spécifique à ce siècle), l'auteur ne semble pas prêter attention à ce qui est caractéristique de l'époque, les apparences... Frears, un des adaptateurs du roman, contrairement à Laclos, a était contraint et forcé

fera plaisir à voir, il n'y a qu'à le promener hardiment, il est en état, il n'y a rien à craindre. Trivelin, à Euphrosine : Elle développe assez bien cela. | 5 | Cléanthis : Madame, au contraire, a-t-elle mal reposé ? Ah ! qu'on m'apporte un miroir ! comme me voilà faite ! que je suis mal bâtie ! Cependant on se mire, on éprouve son visage de toutes les façons, rien ne réussit ; des yeux battus, un teint fatigué ; voilà qui est fini, il faut envelopper ce visage-là, nous n'aurons que du négligé

défauts (goinfre, paresseux..), intrigue = A. service 2 maîtres = profit tt en évitant démasqué Texte : Acte II, 2, concours circonstances = 2 maîtres mm hôtel mm h. dîner = A servir 2 ss puce oreille autre + se régaler mm tps (annonce plan prof) I. Commande croquettes et dilemme A. (1-11)1.1commande annoncé par garçon (1-11)arrivée plat : impéra. « tenez » + « portez » = ordre condition A. = valet (obéir sur champ), dimension visuelle accentué par démonstra

de l’illusion théâtrale ? Tout d’abord Matamore nous est présenté comme un être superficiel, personnage du paraître qui n’existe que parce qu’il raconte. De plus cette illusion est renforcée par le comportement de Clindor qui en réalité domine son Maître. I – MATAMORE, UN PERSONNAGE DU PARAÎTRE 1 Matamore fait son propre éloge énonciation : pronoms et adjectif à la 1er personne = tournure anaphorique : égocentrisme mis en avant. Champ lexical du pouvoir et de la destruction

demandé la même chose. Les deux jeunes gens vont donc se rencontrer sous l'habit d'un valet et d'une soubrette, à leur insu, sous l'oeil attentif de Mario, frère de Silvia, mit dans le secret et Mr.Orgon son père. De ce fait, tout au long de la pièce va se dérouler une comédie a plusieurs niveaux avec d'une part un couple d'acteur-spectateur : Mr.Orgon-Mario et d'autre part deux couples : Lisette-Arlequin miroir du couple Silvia-Dorante. La scène 6 de l'acte III que nous allons étudier est un dialogue

Groupement de textes : La mise en scène des relations maîtres et valets du XVIIe à nos jours Texte 1 : ACTE I, Scène première SGANARELLE, GUSMAN. SGANARELLE, tenant une tabatière: Quoi que puisse dire Aristote et toute la philosophie, il n'est rien d'égal au tabac: c'est la passion des honnêtes gens, et qui vit sans tabac n'est pas digne de vivre. Non seulement il réjouit et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la vertu, et l'on apprend avec lui à devenir honnête homme

femmes tour à tour. Une seconde étape, plus courte, pendant laquelle il s’adresse à elles ensemble. Une troisième qui marque la déliaison de la structure en miroir : Dom Juan revient à l’alternance des répliques, mais sort, rentre, tandis que Sganarelle est en train de dire pis que pendre de lui. Ce troisième temps reproduit néanmoins le jeu de miroir du premier, mais c’est Sganarelle qui affirme et doit se contredire aussitôt, comme faisait Dom Juan avec chacune des femmes. 2. La dimension comique

la scène 2 de l’acte I dans Le Barbier de Séville de Beaumarchais, lorsque Figaro dit au comte Almaviva « Aux vertus qu'on exige dans un domestique, Votre Excellence connaît-elle beaucoup de maîtres qui fussent dignes d'être valets ? », Molière critique les nobles qui se croient plus importants que les valets alors que les nobles ne sont pas forcement capable de faire ce qu’ils font. D’un autre côté, dans la scène 5 de l’acte I de Tartuffe, Molière critique férocement les faux dévots et il les oppose