Valet Miroir Maitre

préparer à prendre le mari que je dis. TOINETTE. - Et moi, je lui défends absolument d’en faire rien. ARGAN. - Où est-ce donc que nous sommes ? Et quelle audace estce là, à une coquine de servante, de parler de la sorte devant son maître ? TOINETTE. - Quand un maître ne songe pas à ce qu’il fait, une servante bien sensée est en droit de le redresser. ARGAN court après Toinette. - Ah ! Insolente, il faut que je t’assomme ! TOINETTE se sauve de lui. - Il est de mon devoir de m’opposer aux choses

identitaire des deux sœurs et la difficulté d’être soi . Quand Claire ne joue plus Madame, elle semble n’être plus rien - (v.245) – « avec lassitude » . Elle semble ne plus être elle-même et avoir du mal à le redevenir - Elle à besoin de se regarder dans le miroir pour se retrouver elle-même (v.256) - Solange lui dis « Allons, redeviens ma sœur » . Solange prend l’identité de sa sœur, dans la cérémonie, elle doit l’assassiner. . Elle semble incarner les 2 bonnes à elle (v.215) ; (v.248) « nous » . On sent que

aristocratiques telles que le courage, la fierté ou la générosité. C’est également un impie, mais pas athée, qui demandera le pardon de ses fautes juste avant de mourir. Cette pièce contient déjà une partie du thème fantastique : Don Juan envoie son valet invité la statue du commandeur, ici père de l’une des ses victimes, qui acceptera son invitation et l’invitera à son tour ; Don Juan sera précipité aux enfers quand il viendra dans son tombeau. Néanmoins, ces pièces n’auront pas d’influence directe

multiples perceptions du comique au sein d’une même société justifient effectivement la difficulté de la comédie à durer. Il paraît donc évident que les farces du Moyen-âge et les comédies de Molière ne sont pas destinées au même public. La Farce de maître Pathelin s’adressera davantage au peuple, sensible aux calembours et coups de bâton, tandis que Le Bourgeois gentilhomme, de Molière contentera surtout la noblesse et la cour du roi, flattées d’appartenir à une classe raffinée et élitiste à laquelle

est bien une comédie : confusion des sentiments, échanges des rôles entre maîtres et valets, aspect comique du personnage d’Arlequin. La fin de la pièce n’est en fait que le retour au début de l’histoire, ce qui est le propre de la comédie. Lecture du texte IPHICRATE : Esclave insolent ! ARLEQUIN, riant : Ah ! ah ! vous parlez la langue d'Athènes ; mauvais jargon que je n'entends plus. IPHICRATE : Méconnais-tu ton maître, et n'es-tu plus mon esclave ? ARLEQUIN, se reculant d'un air sérieux : Je

mœurs de son époque à travers la comédie, et le personnage libertin de Dom Juan. Dans cet extrait Sganarelle, valet de Dom Juan, s’entretient avec Gusman, l’écuyer de Done Elvire. On apprend que la jeune femme, après avoir été enlevée d’un couvent puis épousée par Dom Juan, vient d’être abandonnée par ce dernier. Sganarelle, en confidence avec Gusman, lui ôte tout espoir du retour de son maître à Done Elvire. A cette occasion, Sganarelle dresse son propre portrait. PB : Qu’est ce qui nous permet de

l'impossibilité de dénouer un conflit indéfiniment recommencé ou désespérément vain, comme l'illustrent les dernières répliques de Huis clos de Sratre : « et nous sommes ensemble pour toujours » / « et bien continuons. » Le théâtre est un miroir grossissant des différentes formes de conflits humains on peut rendre compte de la plupart des intrigues de théâtre par un « schéma actantiel » fondé sur une quête, un désir qui anime un ou plusieurs personnages et qui répartit les autres en « adjuvants »

Dans quelle mesure peut-on affirmer, comme Eugène Ionesco, que le théâtre « rejoignant une vérité universelle », « me renvoie mon image » et qu'il est « miroir » ? Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur le corpus (textes et annexe) et sur votre culture personnelle en tenant compte de la dimension proprement théâtrale des œuvres. IntroductionTout art, qu'il s'agisse des arts picturaux ou de la littérature, pose la question importante de son rapport au monde et de sa fidélité par

petite défaillance dans l'entretien quotidien se tradui-25 sait en vingt-quatre heures par un désordre que la bienfaisante présence des arbres et des jardins si proches rendait plus insupportable encore. Le provisoire, le statu quo5 régnaient en maîtres absolus. Ils n'attendaient plus qu'un miracle. Ils auraient fait venir les architectes, les entrepreneurs, les maçons, les plombiers, les tapissiers, les peintres. Ils seraient partis en croisière et auraient trouvé, 30

de la comédie (chercher à instruire et à plaire, les différents procédés comiques, le miroir de la société). Puis dans une seconde partie nous parlerons de la tragédie avec ses buts et ses moyens pour convaincre le lecteur (chercher à toucher, inspirer la terreur et/ou la pitié). Et pour finir nous parlerons des deux genres qui sont si différents mais qui ont la même force pour convaincre. Le théâtre miroir de la société. Pour plusieurs auteurs de différents siècles, le but est de faire passer