Vengeance Morale

possède plusieurs interprétations différentes, selon que l’on considère l’Humanité comme l’ensemble des être humains, ou l’humanité en tant que caractère bienveillant et compréhensif prêté à l’Homme. Ce dernier sens semble presque définir une sorte de morale. Nous nous intéresserons à la notion de progrès, et notamment à la manière dont nous le définissons. Nous nous demanderons ensuite dans quelles mesures le progrès technique est confondu avec celui de l’Humanité, et les raisons de cet amalgame. Enfin

le Renard un jour chez elle et lui offre de la viande coupée en petits morceaux et servie en un vase à long col, de sorte que le Renard ne peut pas en manger avec son large museau. 4. Quelle moralité nous donne la fable ? D’après la leçon de morale de la fable, si on trompe quelqu’un, on aura assurément sa récompense, ou la revanche, de la part de celui qui a été trompé. La Fontaine la présente à la fin de la fable : « Trompeurs, c’est pour vous que j’écris : Attendez-vous à la pareille ».

maudit animal" déterminant démonstratif. L’âne est dénigré et rejeté unanimement. Vers 59 est une antithèse entre "peccadille" et "cas pendable". Elle met en évidence l’injustice de la condamnation et de l’injustice de la justice. Cela débouche sur la morale de la Fable car la justice est injuste quelque sois le pêché commis et que c’est forcement le plus faible qui est sacrifié. La Fontaine fait une virulente dénonciation de la justice de Louis XIV. LES OBSEQUES DE LA LIONNE (1694) Vocabulaire

apparaitre dans les textes que l’on écrit ? Nous étudierons d’abord pourquoi il est tout à fait légitime d’être violent en littérature, puis pourquoi cela n’est absolument pas légitime, peu importe la cause défendue. La violence est une vengeance. Elle est souvent utilisée par son auteur pour défendre sa cause, et attaquer en retour ceux qui l’ont attaqué en premier, comme dans le cas de D’Aubigné, en parlant du massacre de la Saint-Barthélemy, et critique violemment le roi Charles IX :

idéalise le modèle blanc. III.La position  du narrateur a.Evolution  du ton - Evolution de l’anaphore :  « mon frère »  (V.1/2) → « mon pauvre frère »  (V.4) : ton de pitié ? le plaint-il ? « Pauvre ≠  or ; smoking »=> richesse matérielle  /  misère morale - »Tu nous fais pitié »(V.6) montre le mépris Vers court, cinglant = mis en relief (interruption du bavardage creux des  salons  – cf. vers précédent) Passage du  « je » (mon frère) au  « nous »  => déception de  toute la communauté africaine -Condamnation

QU'EST-CE QUE LE DROIT ? L'image du droit - Droit, Morale et religion - Droit, sociologie et politique L'image du droit Ou plus exactement les images du droit car, en raison de sa complexité, ce phénomène social ne saurait se réduire à une seule et unique représentation. La polysémie du mot et le chatoiement de la réalité qu'il traduit impliquent la multiplicité des figures censées refléter ce qu'est le droit. C'est comme si une image morcelée du droit nous était renvoyée par un miroir brisé

sujet). Ensuite, dans le second paragraphe, vient la fable proprement dite. Le passage entre le présent et l’imparfait renforce cette séparation dans le texte. Les trois derniers vers peuvent être séparés du reste de la fable, en ce qu’ils composent la morale : ils tirent un enseignement général, du moins à valeur universelle, de l’anecdote précédemment rapportée. Nous avons ici une structure archétypale des fables. B/ L’épopée burlesque Cette fable met en jeu une dispute entre la folie et l’amour. Cette

dénonciatrice. • La première porte sur le courage que l’homme affiche. Quand un autre que nous éprouve une douleur, nous avons l’impression que nous aurions le courage de la supporter si nous devions la subir. Nous sommes donc persuadés de notre force morale. La maxime sous-entend qu’il n’en est rien et que notre détermination s’effacera sans doute quand nous devrons nous-mêmes affronter l’épreuve. • La deuxième maxime porte sur les jugements que nous formulons à l’égard des autres hommes. Nous leur

le loup s’appuie sur un préjugé et justifie son acte par la vengeance donc ses arguments sont nuls. -Nous pouvons constater que même si l’agneau use d’arguments rationnels, le loup malgré son acte qui reste injustifié, la force l’emporte toujours. La fable démontre non seulement que les forts l’emportent inévitablement sur les faibles mais ils veulent en outre donner un semblant de justifications. -La morale nous montre donc dès le début que le loup l’emportera sur l’agneau

Crozat Saline. L1 Droit. G9 DISSERTATION La règle de droit et la morale. Introduction. Accroche : « La morale n'est légitime qu'à la première personne. La morale ne vaut que pour soi ; pour les autres, la miséricorde et le droit suffisent ». [André Comte-Sponville, écrivain et professeur de philosophie français né en 1952] Extrait de Pensées sur la morale. Définition et contenu du sujet : Une société est régie par un certain nombre de règles. Il y a des règles religieuses que l’on