Vertus cardinales

dénoncé « Ne voyez-vous pas que le Saint Esprit nous éclaire? Cela est heureux car de la manière dont vous en avez parlé je reconnais que vous avez un grand besoin d'être éclairé ». De plus il énonce la condition des prêtres « des prêtres (…) une vertu dont il ne résulte rien », « gens avares qui prennent toujours et ne rendent jamais » (lettre 117). En outre il condamne l’intolérance religieuse «Ce n'est point la multiplicité des religions qui a produit les guerres, c'est l'esprit d'intolérance

se jetant à ses pieds, jusqu'à ce que passant toujours outre dans la ville, il aperçut trois gentilshommes français, qui d'une hardiesse incroyable soutenaient seuls l'effort de son armée victorieuse. La considération et le respect d'une si notable vertu reboucha a premièrement la pointe de sa colère ; et commença par ces trois, à faire miséricorde à tous les autres habitants de la ville. Scanderberch, prince de l’Épire, suivant un soldat des siens pour le tuer, et ce soldat ayant essayé, par toute

dans le voisinage de notre bonne ville de Québec. Les fortifications s'écroulent, mais les barrières restent debout. Fouette cocher; mon récit s'attarde trop. Il était discret, notre cocher. Au reste sa discrétion lui rapportait de jolis deniers. Une vertu intéressée est peut-être moins belle, mais elle est plus sûre. Sur la route large et dure les roues produisaient un grondement sonore et monotone, qui nous aurait endormis comme une berceuse, si l'acte audacieux que nous accomplissions ne nous eût

+ arguments aussi ridicules : montre les liens cause-conséquence mais ces liens sont faux, dimension morale du tabac  « instruit et purge » associe le tabac à la morale alors que cela n’a rien à voir « le tabac inspire des sentiments d’honneur, de vertu » Faire l’Eloge du tabac est provocateur car condamné par l’Eglise et vente interdite par Louis XIV. Sg prône donc contre l’Eglise -> IMITATION DU MAÎTRE MAIS il prône un plaisir sans méchanceté, théorie pus généreuse que Dom Juan, libertinage

Résumé de Criton Introduction Argumentation de Criton Criton soutient que Socrate doit fuir afin de sauver sa vie. Premièrement, Criton se soucie de l’opinion des gens. Il argumente donc en disant que si Socrate meurt, des gens estimeront que son ami aurait pu le sauver si il avait consenti à payer ce qu’il fallait et ils diront donc qu’il a négligé de le faire. Pour Criton, rien n’est plus honteux que d’avoir la réputation de paraître attacher plus d’importance à l’argent qu’à ses amis.

cycle qui pour une race mortelle sera porteur de mort. Ce n'est pas un démon qui vous tirera au sort, mais c'est vous qui choisirez un démon. Que le premier à être tiré au sort choisisse le premier la vie à laquelle il sera lié par la nécessité. De la vertu, personne n'est le maître ; chacun, selon qu'il l'honorera ou la méprisera, en recevra une part plus ou moins grande. La responsabilité appartient à celui qui choisit. Le dieu, quant à lui, n'est pas coupable. » 2.2- Le processus du choix de modèle

La Jalousie dans le théâtre de Molière – Yannic Wau ters 68 5. LE MISANTHROPE Alceste et Célimène constituent les personnages cen traux du Misanthrope . Par le pessimisme d’Alceste et la frivolité de Célimène, ils sont à l ’opposé l’un de l’autre. Mais malgré leurs différences, Alceste tombe amoureux de Célimène. La jeune fille paraît aussi amoureuse de lui mais elle continue à voir d’autres hommes, ce q ui inquiète Alceste. Il n’est pas le seul à être amoureux de la jeune veuve. Oronte

La Jalousie dans le théâtre de Molière – Yannic Wau ters 68 5. LE MISANTHROPE Alceste et Célimène constituent les personnages cen traux du Misanthrope . Par le pessimisme d’Alceste et la frivolité de Célimène, ils sont à l ’opposé l’un de l’autre. Mais malgré leurs différences, Alceste tombe amoureux de Célimène. La jeune fille paraît aussi amoureuse de lui mais elle continue à voir d’autres hommes, ce q ui inquiète Alceste. Il n’est pas le seul à être amoureux de la jeune veuve. Oronte

Socrate et la vertu D’un côté nous avons la philosophie Épicurienne qui parle surtout de la recherche du bonheur. Philosophie qui soutien que pour atteindre le bonheur total il y a certains désirs qui doivent être assouvis et d’autres ignorés. Épicure croit que le plaisir est un besoin fondamental recherché inlassablement par l’homme. Il croit que Bonheur, plaisir et désir sont inévitablement liés. De l’autre côté, nous avons Socrate qui pense que bonheur se doit de rimer avec vertu et non avec

Clèves, elle veut rester une femme vertueuse et ne pas salir la mémoire de son mari. Comme nous le voyons dans la citation « dans une retraite et dans des occupations plus saintes que celles de couvents les plus austères (…) laissa des exemples de vertu inimitables » (l.33 à 35). De même pour Adolphe, le personnage principal a une liaison amoureuse avec une femme plus âgée ce qui est contraire a la société, ce n’est pas dans la norme, ça ne plait donc pas. On le voit ici « Ellénore que vous ne pouvez