Vertus théologales

contemporain selon sa leçon principale : Le premier actualise le « connais-toi toi-même » socratique pour éviter la griserie et les illusions destructrices du pouvoir et des richesses. Le second restaure le respect dû aux personnes publiques, non en vertu de leurs mérites mais au nom de la fonction10, permettant au débat politique d’y gagner en élévation et en dignité. Le troisième est un appel raisonnable à la modération du désir de s’approprier, de consommer, de détruire des ressources, à l’engagement

est particulièrement vrai pour son anthropologie : la différence spécifique prévaut sur les différences individuelles; l’immobilité est préférable au mouvement, ce qui implique aussi l’Acte comme étant supérieur au changement; le plaisir issu d’une vertu est meilleur que celui venant d’un intérêt individuel; la Mesure (ou la « juste moyenne ») doit prévaloir sur les excès ou le manque; C’est en partant de ce constat qu’il est possible d’effectuer une comparaison valide entre la conception que se

Plusieurs entités sont derrière la fatalité : o Intervention d’une divinité ou d’une puissance. o Emprise d’une passion. o Conscience, obligation morale. 2. Le héros tragique • Grandeur d’âme, sens des valeurs (vertu, honneur, devoir, respect, etc.). • Courage et témérité (ne craint pas d’affronter les dieux ou une hiérarchie quelle qu’elle soit). • Lucidité, devoir moral (mène un combat sans issue en toute conscience). 3. L’expression de la douleur

victimes de leurs propres injustices. De tant de familles, il n'en resta que deux qui échappèrent aux malheurs de la nation. Il y avait dans ce pays deux hommes bien singuliers : ils avaient de l'humanité ; ils connaissaient la justice; ils aimaient la vertu ; autant liés par la droiture de leur coeur que par la corruption de celui des autres, ils voyaient la désolation générale, et ne la ressentaient que par la pitié : c'était le motif d'une union nouvelle. Ils travaillaient avec une sollicitude commune

perspective politique et morale - la vertu : elle est au cœur de la lettre XII. Le mot revient fréquemment, accompagné. d'un registre moral (pitié, indignes, justice, charité, juste, naïve , pudeur, fidèle, obéissance, innocence...) On notera les connotations antiques de ce vocable, qui signale aussi le courage : si la vertu ne doit pas être "une chose qui coûte", Montesquieu souligne néanmoins ce qu'elle suppose d'énergie morale. Parallèlement, il lie l'exercice de cette vertu à une contention des besoins

fin de texte (cheveux, teint) ce qui en fait un personnage stéréotypé, et son nom n’apparait qu’à la ligne 27. D’ailleurs, c’est sous son nom de jeune fille que le lecteur la découvre... Au début, c’est de sa mère dont on parle dont : « le bien, la vertu et le mérite étaient extraordinaires » l.6. On comprend donc que l’héroïne, dont on dit : « cette héritière était alors un des grands partis qu’il y eût en France » l.20, est en âge de se marier. Cela préfigure une intrigue possible. Transition :

l’harmonie de l’individu. Effectivement, la colère qui est une indignation réfléchie devant l’injustice est l’intermédiaire entre le désir passionnel et la raison. Lorsque la faculté colérique de l’homme est justifiée, la justice prend le sens de la vertu complète. De plus, l’homme est corrompu, donc il ne correspond pas à son essence. Dans un dernier temps, Platon oppose cette vision à la vision de Simonide qui pense que la justice rend à chacun ce qui lui est dû. L’idéal de Platon est que la justice

et son ton radouci N'imposent qu'à des gens qui ne sont point d'ici. On sait que ce pied plat, digne qu'on le confonde, Par de sales emplois s'est poussé dans le monde, Et que par eux son sort de splendeur revêtu Fait gronder le mérite et rougir la vertu. Quelques titres honteux qu'en tous lieux on lui donne, Acte I 8 Le Misanthrope Son misérable honneur ne voit pour lui personne ; Nommez−le fourbe, infâme, et scélérat maudit, Tout le monde en convient, et nul n'y contredit. Cependant sa grimace

divines miséricordes » St Bernard. - Avec persévérance : « Toujours prier sans jamais se lasser » NSJC. Pourquoi puisque si on prie bien, ne doit-on pas être immédiatement exaucé ? La persévérance exerce la foi et nous permet de grandir dans cette vertu nécessaire au salut. Sinon on pourrait prendre Dieu pour un distributeur automatique. - Avec résignation : nous conforme à la volonté de Dieu qui connaît mieux que nous ce qui est nécessaire à notre salut éternel. Tout ce qui vient de Dieu est un

de la comédie est de corriger les vices des hommes, je ne vois pas par quelle raison il y en aura de privilégiés. Celui-ci est, dans l’État, d’une conséquence bien plus dangereuse que tous les autres ; et nous avons vu que le théâtre a une grande vertu pour la correction. Les plus beaux traits d’une sérieuse morale sont moins puissants, le plus souvent, que ceux de la satire ; et rien ne reprend mieux la plupart des hommes que la peinture de leurs défauts. C’est une grande atteinte aux vices que