Vertus théologales

l’âme (noùs, thumos, épithumia) est une structure à laquelle correspondent trois vertus (respectivement, la sagesse, le courage et la tempérance). L’identité de structure entre la tripartition de l’âme et de la Cité se présente comme une analogie des rapports d’où se dégagent les fonctions des hommes dans la Cité. Les philosophes- Rois gouvernent la Cité et ont la science du politique car leur nature est telle que la vertu de sagesse domine les autres parties de leur âme. Les gardiens et hoplites assurent

est différente selon les penseurs. Dans un sens « ordinaire », le terme éthique est synonyme de morale, et désigne une pratique ayant pour objectif de déterminer une manière de vivre conforme aux fins de la vie humaine (recherche du bonheur ou de la vertu). Une distinction courante consiste à entendre par : Morale : l'ensemble des normes propres à un groupe social ou à un peuple à un moment précis de son histoire et à appeler Ethique : la recherche du bien par une conscience. pour qualifier des

l’idée que si la justice est un idéal ( ce qui devrait être ), l’injustice est souvent réelle ( c’est un fait ) et exige sans doute que nous fassions œuvre de résistance aux injustices établies. La justice désigne donc une vertu personnelle, c’est l’une des quatre vertus cardinales, celle qui respecte la légalité et l’égalité, les droits des individus et le droit de la cité. ( un juste, c’est une personne qui observe tous ses devoirs, sans compromission, ni défaillance, quelqu’un de droit, de

satisfaire » ; il faut même « mille efforts de courage », d’autant que la vertu se présente d’emblée sous « mille formes effrayantes », telle « le Protée de la fable » ; et au demeurant, même si on fait partie de « ceux qui n’ont point lâché prise », le plaisir de bien faire n’est rien moins que facile à savourer, puisqu’il faut déjà le connaître pour être capable d’en goûter le prix :  « Rien n’est plus aimable que la vertu ; mais il en faut jouir pour la trouver telle. » On comprend dès lors que

Définissons l’Etat comme l’autorité souveraine, personne juridique et morale, à laquelle sont assujettis ses citoyens. La vertu quant à elle, généralement opposée au vice, est une tendance, une disposition habituelle, qui amène le sujet à accomplir volontairement des actions « bonnes » ou à être « bon », à faire le bien. Nous nous demandons donc si l’Etat doit accorder une importance à la vertu – ou aux vices – de ses citoyens. On peut aussi comprendre le verbe « se soucier » comme synonyme au verbe « se préoccuper »

lui est propre et le distingue des animaux, c'est-à-dire sa raison : la recherche de la vie heureuse ne peut se comprendre chez Aristote que par l'exercice de cette vertu proprement humaine qu'est l'aptitude à la vie raisonnable. Mais encore faut-il distinguer les vertus " dianoétiques ", issues de l'activité rationnelle, des vertus " éthiques ", dues aux mœurs et à l'habitude ; alors que les premières, comme la science, l'art, la prudence, l'intellect et la sagesse, caractérisent les habitudes de

pour cela qu’on ne peut pas dire qu’ils font le mal car ce serait le vouloir. Pourtant ils savent lorsqu’ils font le mal qu’ils le font. Rousseau nomme conscience ce sentiment du bien et du mal qui est universel, ce « principe inné de justice et de vertu ». La générosité par exemple est louée dans et par tous les peuples – Macbeth et sa femme offre des repas à leurs hôtes. Lady Macbeth demande à son mari la courtoisie à la fête à la scène 4 de l’acte III. Si donc les hommes savent ce qui est bien,

romanesque idéalisée Plan Une beauté incomparable Un effet d'attente Idéalisation de sa beauté Idéalisation de sa personnalité Du portrait à une réflexion sur les dangers de l'amour Un discours moraliste Vertu de l'Amour Critique de la société Développement Une beauté incomparable Une effet d'attente au début de l'extrait : auteur ne donne pas le nom de l'héroïne imprécision derrière l'expression « il parut »

La goutte d’or Ce roman nous raconte l’histoire d’Idriss, un jeune saharien du village algérien de Tabelbala, dont la vie typique de berger nord-africain est interrompue par l’apparition d’une Land Rover dans le paysage désertique. Une jeune femme blonde platine, symbole de la femme occidentale, en descend et prend Idriss en photographie. Ce dernier croit tout d’abord qu’elle lui enverra le cliché mais il se rend compte qu’il ne reverra plus cette image. Il se sent volé de sa propre identité. Quelques

humaine, il faut bien admettre une part de contingence. Si la nécessité n’est pas absolue, il faut bien reconnaître l’existence de la fortune. Si le bonheur et le malheur sont des nécessités, alors pourquoi vouloir éviter la douleur ? Le bien et la vertu dépendent de l’homme et sont presque indépendants des circonstances extérieures. De ce point de vue l’analyse des désirs apparaît de nouveau comme capitale puisqu’elle permet de comprendre la dépendance naturelle (comme pour les besoins vitaux) et