Ville Modernité

début vanté puis critiqué par les Italiens car ne se rattachant pas à la culture antique. I) La singularité florentine  Florence est une ville très touchée durant la Peste Noire. Elle est une république oligarchique marchande et puise sa richesse dans la banque. Ville fondée par les romains elle se revendique de ce passée. C'est dans cette ville que se développe l'humanisme. Cela passe par la sculpture. Ce style est en rupture avec le gothique international. Il y a ici les signes avant coureur

des changements inédits dans l’histoire de l’humanité. L’uniformisation des façons d’agir et de penser, autre visage de ce qu’il est convenu d’appeler la mondialisation, l’universalisation d’un corpus de valeurs et de droits humains propre à la modernité, voire à la postmodernité, inquiète les sociétés humaines qui recherchent dans la nature et la culture des éléments qui confortent ce qu’elles tiennent pour leur identité propre. Ajouter à cela le caractère consumériste de l’exploitation des ressources

vers les villes durables. Aujourd’hui une comparaison radicale ville/campagne a perdu de sa pertinence. On a souvent considéré la ville comme lieu de modernité, et la campagne comme la tradition. Cette distinction n’est pas figée, et on le remarque de plus en plus à l’heure actuelle, où il est préférable de parler de différences entre ville et campagne plutôt que d’oppositions. L’autre difficulté demeure dans la définition de la ville qui varie parfois d’un pays à l’autre, et l’histoire prouve de

Héros fourbe chez Stendhal, ou hypocrisie, politique, séduction, amour dans le beylisme, Paris, SEDES, coll. « Littérature », 1986. —, Stendhal : la politique, l’éros, l’esthétique, Paris, Eurédit, 2003. —, Stendhal et l’Amérique : l’Amérique et la modernité, Paris, de Fallois, 2008. —, Regards de Stendhal sur le monde moderne, Paris, Kimé, 2010. —, Stendhal et le désenchantement du monde, Paris, Classiques Garnier, coll. « Études romantiques et dix-neuviémistes », 2011. DEL LITTO, Victor, La Vie intellectuelle

performance sans limite, persuadés de la légitimité du combat perpétuel, de la juste domination du vainqueur couvert d’or et de prestige, de la soumission du faible au fort, de l’exploit et de la réussite individuelle“.Le hooliganisme entre genèse et modernité AuteursDominique Bodin du même auteur et al. L’étude du spectacle sportif, et en l’occurrence ici du hooliganisme, permet une réflexion de nature historique et sociologique, tant sur la structuration des identités de groupe que sur l’âge

* 2007, la croissance se poursuit dans les centres-villes, banlieues et espaces périurbains. * Urbanisation > armature urbaine très spécifique : * Macrocéphalie parisienne (12m) : situation à l’échelle des régions DOM (30% dans la ville principale) * Les autres aires métropolitaines les plus peuplées restent néanmoins loin (1,6m Lyon, 1,5 Marseille) * Les villes moyennes (20 000 > 500 000) très nombreuses jouent un rôle important dans l’encadrement du territoire >

nouveaux espaces sportifs paraît désormais « inscrite dans une perméabilité où les notions de multi-appartenance, de multiactivité et de multi-territorialité se renforcent » (J.-P. Augustin). Le monde des certitudes localisables et circonscrites de la modernité tend ainsi à s’estomper face à l’accélération des mobilités en tout genre –résidentielles, professionnelles, récréatives… qu’elles soient physiques ou virtuelles. Ce mouvement est évidemment porteur d’incertitudes et potentiellement de crises. Dans

des espaces urbanisés bouleversant les paysages. Ce débordement de la ville, qui s'effectue au détriment des campagnes avoisinantes, se nomment peri-urbanisation... Les périphéries tentaculaires de la ville regroupe des quartiers résidentiels, y compris des bidons-villes dans les PED, des espaces de loisirs et de hautes technologies. Cette évolution conduit aussi à augmenter la ségrégation sociale... II ) Jakarta, Modernité et Précarité dans une Mégalopole. 1°) Une Mégalopole à la croissance rapide

1987 correspond à l’évidence au fil conducteur de sa carrière sociologique. Son idée principale, largement développée dans nombre de ses ouvrages, héritée de la sociologie d’Alain Touraine, est le déclin des institutions. Pour François DUBET, la modernité avait crée des institutions stables et harmonieuses de principes et de valeurs sociales, qui ont aujourd’hui perdu leur cohérence, tout autant que leur propension à normer les conduites sociales. S’inscrivant dans le courant contemporain de la sociologie

La ville. Résumé Le citadin s’éloigne des relations concrètes qui qualifient la vie dans les villages car la ville apporte une indépendance, contrairement aux relations contraignantes des villageois doués de curiosité. La ville amène une autonomie favorable au développement de chacun, tant elle apporte la diversité nécessaire dans les échanges. Les contacts nés des marchés d’antan soulèvent la nostalgie remplacée par les échanges ponctuels qui forment l’esprit citadin. La vie urbaine