Visée Morale

certitude. Le philosophe est seulement le pèlerin de la vérité. Aujourd'hui, où la science constitue tout notre savoir et la technique, tout notre pouvoir, la philosophie apparaît comme une discipline réflexive. A partir du savoir scientifique, la visée philosophique se révèle comme réflexion critique sur les fondements de ce savoir. A partir du pouvoir technique, la sagesse, au sens moderne se présente comme une réflexion critique sur les conditions de ce pouvoir. * inutile : Sans raison d'être

de façon moins explicite, ce même thème pour le condamner également. Les héroines sont décrites comme un "peu trop fière" au vers 1 de "la Fille" et "assez belle" à la ligne 2 du Bal de Sceaux. Ainsi, nos quatres textes ont en commun une même visée morale : dénoncer ce vice. En revanche, cette dénonciation ne se fait pas sur le même mode. Les auteurs utilisent différentes formes argumentatives. La Rochefoucauld et Pascal ont recours à l'essai. Ils proposent en effet des textes théoriques sur

renouvelle le genre de la fable en mettant au service de la morale les grands traits de la comédie. I - Une réécriture plaisante II - La portée morale et satirique de la fable I - Une réécriture plaisante: Il s'agit certes pour La Fontaine de contribuer à l'édification morale du lecteur et de lui offrir un enseignement, mais il s'agit aussi de le distraire, de le ravir. Ceci afin de faciliter son adhésion à la réflexion morale. A - Le récit et l'art de la dramatisation: La Fontaine

sujet). Ensuite, dans le second paragraphe, vient la fable proprement dite. Le passage entre le présent et l’imparfait renforce cette séparation dans le texte. Les trois derniers vers peuvent être séparés du reste de la fable, en ce qu’ils composent la morale : ils tirent un enseignement général, du moins à valeur universelle, de l’anecdote précédemment rapportée. Nous avons ici une structure archétypale des fables. B/ L’épopée burlesque Cette fable met en jeu une dispute entre la folie et l’amour. Cette

conduites humaines ; elles ont une valeur générale (« Nous avons tous », « Tout le monde », « nous ») ; elles ont toutes une visée dénonciatrice. • La première porte sur le courage que l’homme affiche. Quand un autre que nous éprouve une douleur, nous avons l’impression que nous aurions le courage de la supporter si nous devions la subir. Nous sommes donc persuadés de notre force morale. La maxime sous-entend qu’il n’en est rien et que notre détermination s’effacera sans doute quand nous devrons nous-mêmes

l’acte d’écrire en situation de travail. Ethique et morale : ca fait référence aux mœurs. La morale est associée à la notion d’obligation, de norme qui dicte la conduite des hommes (qu’est ce qui est permis, qu’elle est le bien, le mal ?). L’éthique est un art de vivre : on vit selon une certaine éthique, une façon d’être qui fait qu’on dirige sa conduite en fct de valeur propre, qu’on choisit. L’éthique fait référence à la liberté alors que la morale c’est l’obligation. Ms pour vivre, on a besoin des

les Fables qui font sa renommée. Le premier recueil qui correspond aux livres I à VI des éditions actuelles est publié en 1668, le deuxième (livres VII à XI) en 1678, et le dernier (livre XII actuel) est daté de 1694. Le brillant maniement des vers et la visée morale des textes, parfois plus complexes qu'il n'y paraît à la première lecture, ont déterminé le succès de cette œuvre à part et les Fables de La Fontaine sont toujours considérées comme un des plus grands chefs-d’œuvre de la littérature française.

didactique et éthique (analyse bien/mal), elle appartient donc au genre argumentatif puisqu’elle fait passer un message, on l’appelle alors apologue. Une fable peut être écrite en vers ou en prose et se sert des animaux pour faire passer un enseignement moral. « Le Coq et le Renard » est écrit en vers, c’est un poème composé d’alexandrins et d’octosyllabes. Nous avons aussi des variantes avec une rupture de la structure des vers 17 et 27 en décasyllabes. Nous notons ainsi une liberté de la construction

qui est en autre Jean de la Fontaine, c'est un homme civil qui goûte les plaisirs de la vie. On aboutit bien à deux conceptions opposées du bonheur . Cette fable nous livrent une réflexion contraire sur la vie et le bonheur , et elle fini sur une morale explicite . La Fontaine nous expose, à un récit allégorique , une rencontre dans un univers fantastique entre deux personnages qui s’opposent de par leur caractère et leur façon d’interpréter le bonheur et le sens de la vie. Il semble incarner

mouvement sont relier par la versification : ours/singe par «  irrité » « dégouté » « sévérité » vers 33-36 : moralité explicite. On passe du récit au discourt du fabuliste • Le passage de la morale se présente comme un élément conclus « ceci » = cet exemple → ainsi le conseil est universel. La morale est isolée du récit par un blanc typographique ce qui valorise tout comme sa structure en quatrain. B) Procédés d'animation rendent le récit vivant • Le rythme est en adéquation avec l'idée