Visée Morale

et qui a connu une forte évolution. Par choix et parce que cela paraît particulièrement éclairant et pertinent pour le travail social, l’auteur se réfère essentiellement à Paul Ricœur, « la visée de la vie bonne avec et pour autrui dans des institutions justes », décrivant ainsi trois moments forts de la visée éthique : 1. Celui de la relation à soi-même : c’est la croyance dans la liberté, c’est opposer l’initiative de la liberté à la résignation, aux déterminismes naturels et sociaux. 2. Celui

bourgeois poussifs ». Dans les textes A et D, la présence de la figure du poète en première personne (« je ne saurais regarder d’un bon œil... » texte A / « Moi, j e suis... » texte D) explicite la visée critique des poèmes. Dans le texte B, la dénonciati on se fait plus implicite (cf. absence de morale dans la fable de La Fontaine), mais demeure tout aussi claire. Chez Verlaine, la première personne s’implique dans la critique que d éveloppe le sonnet. -La critique, dans les quatre poèmes, apparaît

forme d’apologue (récit de fiction ayant une visée argumentative). En principe écrit en vers, met souvent en scène des animaux pour illustrer les travers de la société humaine. Dénonce les inégalités sociales, défaut et vices des individus pour donner une leçon de sagesse et de tolérance. Construction : récit court et plaisant, structure simple avec 2 ou 3 personnages avec caractère rapidement identifiable, le récit permet au fabuliste d’en tirer une morale pour instruire le lecteur. IV-Le conte philosophique

sanglot, et entrainera le héros a sa perte. Mais il y a des exceptions. Action dramatique : -l’exposition : entière, courte et intéressante (vraisemblable) Nœud de l’action : problème rencontré (dilemme) Buts :- plaire et toucher -visée morale : toucher et instruire Une tragédie n’est pas systématiquement tragique a la fin. -Effet sur les spectateurs -pitié pour les personnages qui souffrent -terreur devant la monstruosité des actes des personnes. -admiration devant la force exceptionnelle

harmonie avec les dieux et la nature sont présentes. C’est ainsi que le poète grec Hésiode avec le mythe de l’âge d’or où l’évocation du jardin d’Eden, récit biblique. Les humanistes à travers leurs récits, trouvent un support idéal à la réflexion morale et politique qu’ils mènent. Ce fut le cas de Montaigne, auteur du 16ème siècle qui à travers le texte « Des Cannibales » extrait des Essais, véhicule un message de tolérance dont le but premier est d’amener le lecteur à réfléchir et à s’interroger

peut-être la visée morale de cette fable ? Quel est le point de vue du fabuliste ? 1 Le chêne se distingue par un discours prétentieux et dominateur - Le discours établit une hiérarchie : le chêne pointe l’extrême faiblesse du roseau par les disproportions (« roitelet / pesant fardeau », la place du groupe « pour vous », le superlatif « le moindre », « vous oblige », le glissement lexical qui va de « rider » à « baisser la tête ». De faiblesse physique on passe à faiblesse morale «  vous oblige »

l’un des deux ressorts de la tragédie. Les lamentations de madame de Volanges prennent donc, dans cet extrait, un tour tragique. III.Une lettre a visée morale ? Au vu de la place de la lettre 175, on ne peut s’empêcher de s’interroger sur les intentions de Laclos. Au travers du portrait accusateur de la marquise, qui est condamné ? Quelle morale, quel enseignement se dégagent de ces lignes ? a)Le blâme des libertins ? Tout au long de ces dernières lignes, la condamnation sans appel de madame

avec les spectateurs, des exagérations, des répétitions, des accumulations… Si bien que Molière met en œuvre la devise de la comédie classique castigat ridendo mores (elle châtie les mœurs en faisant rire, en les rendant ridicules) avec une visée morale : la passion est ridiculisée parce qu'elle est destructrice. Cherches-en les traces. Personnification de l'argent : mon cher argent... sens pour illustrer son obsession, son vice Hyperbole lignes 2 à 8 (8x) extraordinaire, met de plus en

s’arrête à un sentiment de soi) 2) Conscience morale= capacité propre à l'homme de pouvoir distinguer le bien du mal (= »principe de justice »), qui, si elle est susceptible de nous faire éprouver du remords et de la mauvaise conscience, fait pourtant notre dignité. =(Hegel) : « La conscience morale effective est une conscience agissante ; c’est en cela justement que consiste l’effectivité de sa moralité » =(Alain) : « Toute conscience est d’ordre moral, puisqu’elle oppose toujours ce qui devrait

Les Obsèques de la Lionne Jean de La Fontaine ( 1668-1694 ) Fables, VIII, 14 Intro Apologue : court récit à visée didactique La Fontaine, amuseur du roi, représente la cour grâce à des personnages-animaux qui sont des représentations des courtisans. LF montre dans les obsèques de la Lionne la comédie de la cour à l’occasion de la mort de la lionne, et le numéro du cerf qui impose à la cour et au roi un autre discours. Comment le cerf participe-t-il à son propre compte à la comédie royale