Vivre Au Sens Biologique

Devoir Maison de Philosophie “Phénoménologie de la perception“ de Maurice Merleau-Ponty 1) Selon le texte de Maurice Merleau-Ponty le mot naturel signifie tout ce qui nous constituent en tant qu’Homme, (ligne 10 “’l’être simplement biologique“) c’est-à-dire nos parties vitales et cette partie nous rapproche des animaux car comme eux nous sommes naturels (ligne11 “à la simplicité de la vie animal“). Donc le naturel chez l’Homme correspond aux caractéristiques que nous avons eues à la

La culture doit alors faire un certain travail sur cette nature, sur ce potentiel agressif pour permettre la coopération sociale et donc la survie de l’espèce humaine. Ce travail se retrouve dans l’appareil psychique de Freud. La culture, au sens ethnologique du terme, pour permettre la coopération sociale, doit installer dans les individus des interdits, des modèles identificatoires, et des savoirs pour équiper le Moi. L’Homme doit se socialiser, effectuer le processus de l’acculturation pour

réussit pas à percer le mystère de son être. Cependant, il découvre certaines réponses aux questions qu’il se pose. C’est ainsi qu’il a réussi à savoir ce qui le différencie proprement de l’animal, l’être vivant qui lui est le plus proche. C’est dans ce sens que pour certains, c’est la raison, pour d’autres, c’est le langage représentatif, pour d’autres encore ce sont les relations avec son milieu naturel, ses semblables, et surtout avec le transcendant…, qui le définissent proprement et le met à part

l’universel, c’est l’art africain qui a été la source de l’art moderne, très précisément, de la peinture et sculpture de l’Ecole de Paris […]. Si j’ai apporté quelque chose à la civilisation africaine du XXe siècle, je le dois à mon double métissage biologique et culturel »[1][1]. Après ces propos préliminaires, nous avouons qu’il nous est agréable de manifester notre reconnaissance et notre infinie gratitude aux autorités administratives et au Professeur Texier F. Recteur de l’Université Senghor pour

LE TRANSSEXUALISME LE TRANSSEXUALISME Le transsexualisme est-il un phénomène biologique/génétique ou bien relève-t-il du délire psychotique ? Le transsexualisme est-il un phénomène biologique/génétique ou bien relève-t-il du délire psychotique ? INTRODUCTION Définitions Selon W. Geisendorf et W. Casini, « la transsexualité se définit comme un sentiment d'appartenir à l'autre sexe, en dépit d'une conformation physique sans ambiguïté » C’est, selon Jean-Marc ALBY, directeur du centre de l’ethnopsychologie

Explication Locke Dans cet extrait de Essai sur l'entendement humain, Locke essaie de nous précisez c'est qu'est notre identité personnelle. En effet la question d'identité en très présente dans notre façon de vivre. On peut donc soulever le problème « Que suis-je ? Qui suis-je ? Qu'est ce qui qualifie mon identité ? ». Mais alors notre identité est elle la même tout le temps ? Suis-je réellement moi même a l'instant présent ? La conscience fait-elle notre identité ? Si je suis conscient

nuire, les plaisirs sont nécessaires à la vie, et concourent à la rendre heureuse. Si certains plaisirs sont immoraux, si d’autres nous plongent dans une dépendance pathologique, certains plaisirs ne sont-ils pas nécessaires à la vie biologique, d’autres ne peuvent-ils nous aider à mener une vie meilleure ? En somme, tout plaisir doit-il être bannit ? En premier lieu, le plaisir tel que nous nous le représentons semble être un état essentiellement affectif, particulièrement positif

double intérêt en ce sens qu’elle sous-tend d’une part toute réflexion sur l’existence humaine, et d’autre part elle est un paradigme qui permet de comprendre et d’expliquer la géopolitique actuelle. Mais qu’est-ce que la nature, qu’est-ce que la culture ? I. Définition des notions Nature et culture sont employés dans des contextes différents qui rendent compte de leur ambiguïté et leur complexité. I.1. La notion de nature Le terme de nature peut recouvrir plusieurs sens selon le contexte par

heureuses • Nietzsche, Généalogie de la morale Analyse la morale d’un pov historique. Pour lui, l’éducation morale n’est qu’une expression de « cruauté, de tyrannie, de stupidité et d’idiotie » allant à l’encontre de ce qu’est l’être humain. Le sens de la morale n’a été inculqué à l’être humain que par la peur de la punition, nous avons appris à avoir qql chose à nous reprocher; éducation est un conditionnement traumatisant mais aussi une ouverture permettant à chacun de créer ses propres valeurs

personnel, l’espace entre lui et les autres et celui qu’il construit autour de lui, source des divers comportements sociaux et culturels remarqués à travers le monde. L’homme, comme les animaux, est du début à la fin, prisonnier de son organisme biologique. La lecture de cet ouvrage amène à une réflexion profonde sur l’interculturalité, et apporte des connaissances nouvelles qui permettent de comprendre des faits. Etant étudiante dans une école de commerce internationale, je me trouve moi-même en