Vivre Sans Superstition

relations fondées sur un accord réciproque (société civile). ... La société a des règles non instituées, comme la bienséance ou le savoir-vivre…et comme finalement notre définition de la laïcité… Notre société actuelle est fondée sur les lumières, où les valeurs humanistes plaçaient les connaissances intellectuelles et scientifiques au-dessus des croyances et superstitions imposées par le Clergé.Ce mouvement souvent incarné par Diderot a engendré un siècle plus tard la célèbre citation de Nietzch “Dieu

eux-mêmes comme envers autrui, en même temps qu’il marque les limites de leur puissance, est la seule façon d’observer les commandements divins. Selon Kant ce que l’histoire nous rapporte c’est l’abus de la vie monastique et contemplative, des superstitions grossières, du despotisme de la hiérarchie ecclésiastique, des querelles théologiques. Selon lui les mystiques loin de s’accorder entre eux s’opposent fortement. La religion n’est-elle pas à l’origine de guerre civile ? L’origine de l’illusion

géomètre », « l′horloger » de l′univers. Et les lois de Dieu rendent nos vies plus faciles et sont comme ça utiles à la société. Le déisme13 voltairien Voltaire déteste les religions révelées. Elles sont pleines d′invraisemblances, d′absurdités et de superstitions primitives. Selon lui, il existe deux esprits religieux : D′un côté, les « fripons » ; ce sont ceux qui regardent la religion comme moyen de domination et de l′autre, les « imbéciles », ceux qui deviennent fanatique.Culte de l′être suprême En

présent et la jouissance de vivre. On peut ainsi étendre le libertinage jusqu’à désigner, de façon plus floue, des comportements de débauche et de frivolité. Certes, Dom Juan est soumis dans la scène d’exposition à un portrait peu flatteur. En effet, Sganarelle fait de lui une description où il apparaît sous trois aspects essentiels : impie, débauché et grand seigneur scélérat. Sganarelle est d’abord choqué par l’impiété de son maître. Dom Juan n’a ni religion ni superstition, il ne « croit ni Ciel

paysan, un membre du village ou un porte parole du groupe. Il regarde les faits d’un regard subjectif et objectif à la fois. Entre ces deux extrêmes, on trouve toute une gamme des situations intermédiaires, ’’Il faut comprendre qu’on n’a guère ici pour vivre que le bétail. ’’Page 77. L a voie narrative de ce roman est donc intérieur mais sans être incarnée a un personnage de roman. L’emploi fréquent des pronoms, on et nous, désigne le narrateur comme un membre de collectivité villageoise

• Orgueil démesuré Ce qui importe à la marquise, c’est de rester maîtresse de sa vie, de garder son autonomie et son indépendance. III. Puissance et faiblesse de l’héroïne → Elle affirme sa puissance, elle se donne les moyens de vivre la vie de libertine qu’elle a choisie. Elle se sert de son intelligence pour manipuler les autres, elle se présente comme une intellectuelle et prétend d’avoir une démarche scientifique qui l’abrite des erreurs (confère la philosophie de lumière qui

peut prier 1 saint pour un « souhait » B/ Comportements → respecter l'obligation de la confession et communion au moins 1fois/an à Pâques → pénitence → pèlerinages C/ Une Église contestée, une christianisation imparfaite -persistance des superstitions → présence matérielle du Diable -développement des hérésies - tribunal de l'inquisition III- L’église cherche à unifier et à étendre la chrétienté A/ Unifier - imposer même croyance → orthodoxie - tribunal religieux : inquisition ex : sorcière

l’alexandrin + césure à l’hémistiche + chiasme sémantique et rythmique 4/2//2/4 ( Le narrateur insiste sur le caractère implacable du fléau. ( Aux vers 8, 10, 11, 14, on peut noter une abondance de négations : les animaux n’ont même plus le goût de vivre, de manger, de chasser, d’aimer, ils vivent dans la « terreur » (v.1). Du vers 10 à 14, on a d’ailleurs une série de 5 octosyllabes qui accentue l’impression d’accablement écrasant les animaux. Les vers eux-mêmes semblent ne plus pouvoir se déployer

l'incrédulité, ni sur le goût de la dissipation. Si elle hait le couvent, ce n'est pas parce qu'une passion le lui rend odieux, c'est parce qu'il répugne à sa raison; ce n'est pas qu'elle soit sans piété, c'est qu'elle est sans superstition; ce n'est pas qu'elle veuille vivre dans la licence, c'est parce qu'elle ne veut pas mourir dans l'esclavage. On remarque chaque auteur a mis dans chaque texte de la description. C'est dire que c'est trois textes décrivent la guerre et son horreur. C'est trois

: conseil (problème de volonté) Prise de conscience → liberté, sous-entendu qu'il faudra se battre pour être libre. Conclusion de la Boétie : Penser que l'on peut être libre, vivre libre dans sa tête est déjà un grand pas vers la liberté (exhortation) Texte 4 : Voltaire, Fanatisme Le fanatisme est de la superstition, celui qui soutient sa folie par le meurtre est un meurtri par le fanatisme. C'est donc un blâme du fanatisme. Voltaire nous amène à réfléchir par nous-même grâce à des phrases