Vivre Sans Superstition

Voyez cet arbre ; c’est au luxe de ses branches que vous devez la fraîcheur et l’étendue de ses ombres : vous en jouirez jusqu’à ce que l’hiver vienne le dépouiller de sa chevelure. Plus d’excellence en poésie, en peinture, en musique, lorsque la superstition aura fait sur le tempérament l’ouvrage de la vieillesse. IV. Ce serait donc un bonheur, me dira-t-on, d’avoir les passions fortes. Oui, sans doute, si toutes sont à l’unisson. Établissez entre elles une juste harmonie, et n’en appréhendez point

combat toutes les fictions qui construit l’esprit humain et que l’on nomme les superstitions. Une superstition permet d’avoir l’impression de maîtriser le hasard en échappant aux lois de la nature. Ces superstitions nous emprisonnent et c’est pour cela que les philosophes les combattent. Il ne faut pas oublier que le but de la philosophie est de libérer l’homme de toutes les croyances qui lui sont néfaste. La superstition fait partie de ce que l’ethnologue appel la pensée magique. Cette pensée magique

implique de s'interroger sur toutes formes de croyances et de ne pas s'en tenir au seul aspect religieux. Quelles sont ces formes ? — espérances (cela concerne des choses ou des événements futurs dont on ignore par définition l'issue) — illusions — superstitions — mythes — opinions (avoir une connaissance qui n'est pas certaine, connaissance ou jugement collectif) — religion M a i s avoir des croyances peut aussi désigner un certain état d'esprit : naïveté, crédulité, superstitieux, confiance, optimisme

réflexion et de contestation.Ce siècle a connu les plus grands hommes, les plus grands penseurs, encore très présents aujourd'hui : Voltaire, Rousseau, Diderot, Montesquieu, et tant d'autres! II) Qui sont ils ? Un philosophe est un Homme qui aime vivre, qui a une liberté de penser, et qui aime la société (genre humain).C'est un homme de dialogue par excellence. Il fréquente les salons de discussion (les salons permettaient l’échange des idées entre philosophes.) , lieux d'échanges intellectuels,

didactique : les Lumières revendiquent un état d'esprit et une démarche scientifique, le rationalisme, fondés sur l'expérience, l'analyse des faits et le raisonnement logique. / combattre les préjugés : les Lumières opposent la passion de la vérité aux superstitions et la diffusion des connaissances à la censure exercée par le pouvoir. Remise en question de certaines institutions et croyances au nom de valeurs humanistes ( ex : honnêteté intellectuelle, tolérance, liberté de penser, respect, etc.) / L'H.

non pas en ajoutant un temps * infini, mais en supprimant la soif de l’immortalité /125 /Il n’y a plus rien d’effrayant, en * effet dans la vie, pour celui qui a pleinement compris qu’il n’y a rien d’effrayant dans le * fait de ne pas vivre, (Florilège p.89). Le troisième est la limite de grandeur des plaisirs est * la suppression de la souffrance, cela nous explique que la raison de la souffrance est le * désir puisqu’on pense à notre plaisir.’’ La limite de l’extension des plaisirs

(protection)Pour la vie (Nourriture, sommeil)Simplement naturels :Variation des plaisirs, recherche de l'agréableDésirs Vains :ArtificielsEx : richesse, gloire Irréalisables :Ex : désir d'immortalité Cette classification n'est pas séparable d'un art de vivre, où les désirs sont l'objet d'un calcul en vue d'atteindre le bonheur. Pour le comprendre, il faut se rappeler l'atomisme : plaisir et douleur, dans cette conception, sont des accidents, ils n'existent pas au niveau des atomes, mais seulement au niveau

L'homme n'a rien à attendre des dieux car ceux-ci ne se préoccupent pas d'eux : ils ne sont pas de la même nature et n'éprouvent donc ni amour ni haine envers le mortel. Cela n'est pas une théorie impie. Ce qui compte, c'est de balayer toute superstition religieuse. Comment ne pas craindre la mort? La mort n'est jamais là quand nous y sommes : de notre vivant, nous ne pouvons pas la connaître et quand nous mourons, nous ne sommes déjà plus. La douleur disparaît quand on meurt, si elle est

| |definitions | |Superstitions | | |[pic] |La khmissa ou la main de fatma (et| | |par extension le chiffre 5) joue | |

Microsoft Word - Effets et causes de la superstition .docxEffets et causes de la superstition : l’explication sceptique de David Hume Dans un passage célèbre du Traité de la nature humaine, Hume (1711-1776) met en scène son hésitation de philosophe à poursuivre l’entreprise exigeante d’une meilleure compréhension des choses, au détriment de laquelle une pratique insouciante de la vie peut être préférable. Ne pourrions-nous simplement « vivre, parler et agir » ? Cela n’est pas possible pour