Volonté générale

Sujet : Expliquez le texte suivant : Il n'y a que la volonté seule ou la seule liberté du franc arbitre que j'expérimente en moi être si grande que je ne conçois point l'idée d'aucune autre plus ample et plus étendue: en sorte que c'est elle principalement qui me fait connaître que je porte l'image et la ressemblance de Dieu. Car, encore qu'elle soit incomparablement plus grande dans Dieu que dans moi, soit à raison de la connaissance et de la puissance qui se trouvent jointes avec elle

ses matériaux pour réaliser une œuvre plus courante, ou personne n’y voit du génie. 2. Nietzsche énonce trois raisons pour lesquelles, l’opinion ne voit un « génie » que chez l’artiste, l’orateur et le philosophe. Tout d’abord, le génie est en général attribué aux personnes qu’on estiment plus intelligent ou plus visionnaire. 3. « Toute activité de l’homme est une merveille de complication ». Dans cette phrase, Nietzsche écarte l’idée du génie d’une personne dans toutes activités. Lorsque

ENONCE Pensez-vous, que la guerre soit une atteinte à la dignité et au respect de l’homme? Vous développerez votre point de vue en vous appuyant sur des arguments et des exemples précis. ESSAI 1. Distinguer thème et problématique. Le sujet pose la problématique de la moralité de la guerre. Il s’agit de réfléchir sur la question de savoir si la guerre est radicalement immorale et si l’on peut trouver des situations où elle peut bénéficier d’une certaine moralité. On est donc

d’autres entendent par indifférence une faculté positive de se déterminer pour l’un ou l’autre de deux contraires, c’est-à-dire pour poursuivre ou pour fuir, pour affirmer ou pour nier. Cette faculté positive, je n’ai pas nié qu’elle fût dans la volonté. Bien plus, j’estime qu’elle y est, non seulement dans ces actes où elle n’est pas poussée par des raisons évidentes d’un côté plutôt que de l’autre, mais aussi dans tous les autres ; à ce point que, lorsqu’une raison très évidente nous porte d’un

c’est-à-dire qu’elle va de paire avec la nature humaine. Or chez Sartre, le concept de nature humaine est ebsent. Sartre affirme que nous sommes libres que nous le voulions ou non. Il ne peut y avoir d’affirmation de la liberté de volonté. Chez Sartre, la volonté est dépossédée de son pouvoir discrétionnaire. Nous sommes des êtres contingents et injustifiables, c’est-à-dire que nous n’avons pas demander à exister. Cela nous conduit à une vision anxiogène de la liberté (angoisse bien plus forte

"On dit volontiers: ma volonté a été déterminée par ces mobiles, circonstances, excitations et impulsions. Cette formule implique que je me suis comporté de façon passive. Mais, en réalité, mon comportement n’a pas été seulement passif: il a été actif aussi, et de façon essentielle, car c’est ma volonté qui assume telles ou telles circonstances comme mobiles, qui les fait valoir comme mobiles. Il n’y a pas de place ici pour la relation de cause à effet. Les circonstances ne jouent pas le rôle de

Ce monde de fictions pures se distingue très a son désavantage du monde des rêves, puisque celui ci reflète la réalité, tandis que l'autre ne fait que la fausser, la déprécier et la nier. Nietzsche. Le désir n'est pas d'abord ni surtout une relation au monde. Le monde ne paraît ici que comme fond pour des relations explicites avec l'Autre. Ordinairement c'est a l'occasion de la présence de l'autre que le monde se découvre comme monde du désir. Sartre. Le monde de la réalité a des limites; le monde

preuve ultime de notre liberté, la liberté face à notre propre raison. De plus, il y a selon Descartes des actes totalement libres. Par exemple, si je décide de lever mon bras, il n’en dépend que de ma volonté et rien ne peut empêcher ma volonté de désirer lever mon bras dans les airs. Notre volonté peut également nous amener à faire des choix. Ainsi, si dans les deux affirmations, le ciel est bleu ou le ciel est vert, je peux opter pour la deuxième affirmation même si elle est fausse. Descartes nomme

question de la liberté de choix ou de la liberté de la volonté, qu'on peut définir ainsi : Liberté de la volonté : Mon choix est libre si et seulement si je peux vouloir A ou B (A plutôt que B, B plutôt que A, ni A ni ),  autrement dit si je possède le pouvoir de choisir et que mes volontés sont contingentes. Je ne peux pas agir autrement, en ce sens, s'il m'est imposible de vouloir autrement, si je suis dépourvu du pouvoir de choisir ou si mes volontés sont nécessaires. Parfois nous disons que, dans

Descartes dans son Discours de la méthode : "Ma troisième maxime était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune et à changer mes désirs que l'ordre du monde » c) Il faudrait alors s’en tenir au possible. Mais Réduire le désir à une volonté raisonnable ou aux besoins (sagesses antiques épicuriens et stoiciens), ce n’est plus vraiment un désir. III] Cependant, ce que nous appelons impossible l’est rarement dans l’absolu : L’impossible est le possible de demain a) « On commence par