Volonté générale

principes de la volonté générale et de la volonté particulière, d’autre part celle des lois, du paternalisme et les principes d’égalité, et de liberté. Il est intéressant de se poser la question, aujourd’hui, en commençant la lecture du livre « Du Contrat social » quel contrat social lie les citoyens ? Nous, moniteurs éducateurs, avons un contrat social qui pourrait faire référence à la loi du 02 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale. Principe de la volonté générale, volonté particulière

s’engage à faire partie de la société (aliénation volontaire ; engagement envers soi-même) ; ■chacun s’engage envers le tout formé par l’ensemble des associés (volonté générale) et chacun se place sous l’autorité de cette même volonté générale. Le Peuple est l’unité des individus associés par le pacte social. La volonté générale est la volonté du peuple. Ce que le pacte social fonde, c’est la République ou l’État : « […] cet acte d’association [prend maintenant le nom] de République ou de corps politique

contractuelle de l’Etat est apparue au XVIème siècle, et est devenue dominante au XVIIIème siècle, notamment en France et en Angleterre. Ce courant de pensée voit la naissance de l’Etat non comme une résultante de la volonté divine, mais plutôt comme relevant d’un contrat conclu entre des volontés humaines afin de sortir d’un état appelé « état de nature ». Cet état de nature est l’état des hommes n’ayant entre eux d’autre lien que leur qualité commune d’être des êtres humains, chacun étant libre et égal

Acte III, scène 3 (Musset): Tu me demandes pourquoi...le tribunal de ma volonté Zoom scène : Partie du théâtre où les auteurs jouent. Partie de la pièce qui commence à l'entrée ou à la sortie d'un acteur. Musset : Poète, auteur dramatique, lié avec Hugo, Lamartine, Vigny. Il participe activement au mouvement romantique. Il peint les passions violentes et fait son propre portrait à travers ses héros torturés et complexes, déchirés entre l'aspiration à l'idéal et la pratique du vice, victimes

il est apparu une nécessité de sortir de cet état de nature. Pour Hobbes, il s'agit de sortir d'un état d'insécurité générale ou chacun est en guerre contre chacun. Pour Locke, il faut apporter une réglementation pour garantir la propriété de chaque individu et pour Rousseau il faut garantir les droits fondamentaux tels que l'égalité et la liberté en vue que seul la volonté générale, en somme le peuple soit souverain. Le contrat social légitime la souveraineté. Le souverain crée du contrat social

Selon ce philosophe, les individus qui prétendent le contraire, confondent le concept de liberté avec celui de l’indépendance. Le premier ne signifie pas que l’on doit agir selon notre volonté, mais bien plutôt qu’il ne faut pas imposer notre volonté personnelle aux autres. Ainsi, personne n’est soumis à la volonté d’autrui. Le second fait référence à l’état de l’homme qui agit selon ses penchants égoïstes, comme bon lui semble et sans penser aux autres. Donc, l’indépendance s’oppose à la liberté

est la volonté individuelle de tous . Pour garantir la liberté il faut empêcher que les hommes soient soumis à la volonté particulière d’un homme , ainsi il faut faire en sorte que le principe de l’obéissance soit neutre. Ce qui correspond à la loi. Grace aux règles imposées par la volonté générale ,les hommes sont égaux . En obéissant à la loi, ils ne se soumettent pas à un homme mais obéissent à la volonté générale et donc à leur volonté. Cependant la loi créée par la volonté général se compose

Rousseau explicite l’engagement du peuple à abandonner son intérêt personnel pour suivre l’intérêt général. L’Etat est donc crée pour rompre avec l’état de nature, en chargeant la communauté des humains de son propre bien-être. Le contrat social rousseauiste charge les citoyens eux-mêmes de la sauvegarde de la vie ou de la liberté et de la propriété de chacun par le principe de la volonté générale. C’est un pacte d’essence démocrate, dans lequel le contrat social n’institue pas un quelconque monarque

homme peut être libre, et forcé de se conformer à des volontés qui ne sont pas les siennes. Comment les opposants sont-ils libres et soumis à des lois auxquelles ils n’ont pas consenti ? Je réponds que la question est mal posée. Le Citoyen consent à toutes les lois, même à celles qu’on passe malgré lui, et même à celles qui le punissent quand il ose en violer quelqu’une. La volonté constante de tous les membres de l’Etat est la volonté générale ; c’est par elle qu’ils sont citoyens libres. Quand on

est lié à la notion de souveraineté populaire définie par Rousseau qui préconise la démocratie directe : "La souveraineté ne peut être représentée par la même raison qu'elle ne peut être aliénée ; elle consiste essentiellement dans la volonté générale, et la volonté ne se représente point. [...] Les députés du peuple ne sont donc ni ne peuvent être ses représentants, ils ne sont que ses commissaires ; ils ne peuvent rien conclure définitivement." Chaque citoyen membre du corps politique, a le droit