Vue Champ Lexical

d’abord, l’accueil d’Adrien n’est pas ordinaire, comme nous le montre l’unique didascalie de l’extrait « Entre Adrien, en haut de l’escalier. ». Cette didascalie nous prouve qu’Adrien ne prend pas la peine de descendre saluer sa sœur qu’il n’a pas vue depuis quinze ans. Il est en hauteur, dans l’escalier Mathilde est dans l’entrée, Adrien se considère supérieur. On remarque qu’Adrien est sceptique quant aux intentions de sa sœur, citons « Es-tu venue avec de bonnes intentions ? »(L.1à2) cette litote

qui en résultent et qui placerait l'observateur " préssé" dans un ridicule semblable à celui du Saturnien . Figures de styles ( à trouver ) : - Verbes d'actions , péripéties, verbes de paroles - Champ lexical du voyage et de la petitesse - Indices spatio-temporels - Repérage des 5 sens ( surtout la vue et le toucher) - Modalisateurs d'incertitudes - Présent vértité générale - Connecteurs logiques - Repérage des négations et disproportions - Comique de situations / gestes + répétitons .

point de vue interne. Celui-ci retrace la pensée du héros, et nous montre qu’il ne cesse de réfléchir, et de se remettre en doute (« Il songeait » l.1). Dans cette partie, on voit bien que Bel-Ami remet son plan en question. D’un côté, il se remémore comment il a manipulé Suzanne et l’a poussé à l’aimer (l.1-3), ce qui est d’ailleurs souligné par l’utilisation du champ lexical de la séduction : « irrésistible » ; « tendresse » ; « séduisait » ; « captivait » (l.2) ; « aimer » (l.3), du champ lexical

Du Roy C'est le lexique et plus exactement les champs lexicaux qui nous renseignent : " Je suis content, ça fait plaisir, l'amour inné du pays " et la manifestation du plaisir par le verbe " riait ". L'abondance également du champ lexical de la mémoire : " Il les connaissait toutes, tous les souvenirs retrouvés, toutes les choses d'autrefois revues " montre que le narrateur lui accorde une importance particulière. Le champ lexical de l'odorat est aussi présent : " Les odeurs du sol, le

de la masse, l’avancée du peuple révolté. - le champ lexical de la violence : "gorges gonflées de guerrières" (hyperbole) l.10, « vengeance », « brandissaient des bâtons », « hérissement des barres de fer » l.19 « couperet de guillotine » l22. « une hache passa »l19. Le peuple a une grande volonté, il semble invincible, il est armé et veut sa vengeance, de plus l’évocation de la guillotine est une référence à la révolution de 1789. Ce champ lexical s’associe à celui du sang avec les mots « rouge »

aérée ». Centre + peuplé, + encombré « la masse de la ville », métaphore « éjectait des buildings » * Centre comporte cafés, boutiques & terrasses fréquentés essentiellement le soir * Quartier caractérisé par le calme la propreté & le luxe (champ lexical de ces trois thèmes) * Rapprochement avec le distique Invitation au voyage de Baudelaire : « Là, tout n'est qu'ordre & beauté Luxe, calme & volupté » * Quartier exemple d'ordre & de beauté « trottoirs séparés en par des gazons & des parterres

personnel indéfini « on » et trois fois dans le discours direct. On ne sait pas qui parle, ce « on » désigne une personne, ou un groupe de personne mais celle-ci est anonyme. On est donc ici dans une focalisation interne où le narrateur adopte le point de vue d'un personnage dont on ne connaît pas l'identité. On voit la scène à travers les yeux de ce personnage qui rapporte sa version de la mort de Gervaise et porte un jugement, on le voit grâce aux modalisateur « apparemment » et « joliment  saoul ». On

l'auteur de «Germinal», un roman faisant partit de la série des Rougon-Macquart. Il a été paru pour la première fois en 1885 sous forme de livre après avoir été un feuilleton. «Germinal» a pour thème principal le travail dans les mines sous le point de vue de Étienne Lantier, le personnage principal. L’extrait étudié, La découverte du Voreux, est donc tiré du début de «Germinal», c'est un texte à la fois réaliste et naturaliste qui décrit la perception de la mine et la descente dans le puits par rapport

sur un parallélisme entre guerre et paix, construit sur une double image antithétique : la guerre est une maladie (la guerre est associée au champ lexical de la maladie : »dépeuple », « terres… incultes et abandonnées », « perte », « plaies profondes ») , tandis que la paix, elle, est le garant de la santé de la nation (la paix est associée au champ lexical de la santé : »vigueur », « force… nécessaire », « bonheur », « guérir »). 1. Ce corpus est composé de trois textes : l’extrait d’un essai

opposé au matérialisme sont présents. En effet, Diderot qualifie les hommes civilisés de " méchants " (l.8). Il utilise un champ lexical fort pour souligner cette cruauté avec des verbes comme " enchaîner ", " égorger ", " assujettir ", " se haïr ", " asservir "… Ce champ lexical renforce l'attitude des Européens envers les Tahitiens et Diderot développe le champ lexical de la violence : " funeste avenir ", " fureurs inconnues ", " folles ", " féroces ", " esclaves " et " teintes de sang ". Les