Vérité Indubitable

définir ou caractériser la connaissance scientifique selon trois approches différentes: A: par son fondement: Ce fondement est un principe, et ce principe est celui du déterminisme. a:un principe, en l’occurrence, est une affirmation posée comme indubitable, indémontrable et fondamentale (l’équivalent d’un axiome dans le discours mathématique, remarquera CB lui-même). Pour ce dernier qui introduit ce principe en biologie il s’agit avant tout de faire pièce ou d’obvier aux résurgences ou aux insistances

œuvres est un roman ? Quelles sont ces fameuses règles ? D’où viennent-elles ? Qui les a établies ? En vertu de quel principe, de quelle autorité et de quels raisonnements ? Il semble cependant que ces critiques savent d’une façon certaine, indubitable, ce qui constitue un roman et ce qui le distingue d’un autre, qui n’en est pas un. Cela signifie tout simplement, que, sans être des producteurs, ils sont enrégimentés dans une école, et ils rejettent, à la façon des romanciers eux-mêmes, toutes

est vrai de ce qui ne l’est pas. Pour débuter la recherche de vérité, Descartes affirme que nous devons premièrement remettre en question tous les faits qui nous ont été proposés de notre naissance jusqu'à ce jour. Tout ce que vos proches, vos amis, vos connaissances, le voisin vous ont dit est faux jusqu'à ce que le contraire soit prouvé. Les faits dits vrais seront inévitablement clairs et distincts. Ils doivent aussi être indubitables. Contrairement à Épicure, philosophe du IIIe siècle avant Jésus-Christ

porte des jugements solides et vrais sur tout ce qui se présente à lui. ‘’Si donc on veut sérieusement chercher la vérité, il ne faut pas s’ap­pliquer à une seule science ; elles se tiennent toutes entre elles et dépendent mutuellement l’une de l’autre.’’ 2. Il ne faut nous occuper que des objets dont notre esprit parait capable d’acquérir une connaissance certaine et indubitable. ‘’Il ne reste parmi les sciences faites que la géométrie et l’arithmétique, auxquelles l’observation de notre règle

parfaitement illustré dans la recherche cartésienne de la vérité, qui déboucha sur le cogito. À la fin de la 1ère Méditation Métaphysique, Descartes tombe dans un réel désespoir, car il ne peut s’appuyer sur une seule des certitudes qu’il possédait auparavant. Il a rejeté entre autre l’existence d’autrui, mais il éprouve la sienne au sein de la liberté du doute : « […] Il n’est en mon pouvoir de parvenir à la connaissance d’aucune vérité, à tout le moins il est en ma puissance de suspendre

compte que la seule chose dont il ne peut pas douter, c'est sa pensée, puisque c'est ce avec quoi il doute. Et comme il pense, il sait qu'il existe, d'où son affirmation "je pense donc je suis", ou Cogito ergo Sum. (la conscience est l'expérience indubitable que le sujet pensant fait de lui-même) Pascal : l'homme est un roseau face à l'immensité de l'Univers mais ce qui l'en distingue et qui fait sa force, c'est sa conscience et le fait qu'il pense. L'Homme est donc un roseau, certes, mais pensant.

pensée, c’est le fait de pouvoir penser ce que l’on veut. La libre pensée ou la liberté de penser est donc une liberté évidente et indubitable, qui s'éprouve directement. La libre-pensée n'est pas une doctrine mais une méthode, une manière de conduire sa pensée et son action. C'est-à-dire qu'elle ne serait pas une affirmation de la vérité mais une recherche de la vérité, uniquement par la raison et l'expérience. Face à elle s’oppose l’opinion dominante qui représente ceux qui ont un certain pouvoir

n’a pas la vérité, mais on la cherche. C’est d’ailleurs ce scepticisme qui a rendu possible l’avènement de la science moderne. - Montaigne apparaît comme une figure représentative du scepticisme de son temps. Montaigne - Montaigne est très lucide et scrupuleusement honnête. Il se rend compte que jamais il n’est capable d’arriver à une vérité certaine en quoi que ce soit. Il constate que les coutumes et mœurs sont multiples et se contredisent souvent. - Ne trouvant pas la vérité en observant

17ème siècle Passage du géocentrisme à l'héliocentrisme (A. KOYRE, Du monde clos à l'univers infini) Dans un monde où l'on est contraint de renoncer à toutes les certitudes admisses jusqu'à lors, il faut repartir à zéro pour trouver une première vérité absolument certaine sur laquelle on pourra reconstruire l'ensemble de la connaissance. L'instrument de se projet c'est le doute, il s'agit pour Descartes de rejeter par un acte de la volonté comment faux tout ce qui n'est pas absolument certain jusqu'à

l'incertitude. Du coup s'il y a bien croyance, c'est une croyance qui, parce qu'elle a pour objet une vérité évidente ne serait se confondre avec la croyance populaire. Dom Juan oppose donc à la superstition la science et par conséquent considère qu'il devrait y avoir accord des esprits par opposition aux vérités non établies de la religion telles que l'immortalité de l'âme, le salut ou la damnation. D'où les vérités mathématiques ne nous mettent-elles pas d'accord ? Est ce que c'est la tautologie ou ce sont