Vérités Objectives

différentes formes de raisonnements : raisonnements inductifs, déductifs, par l’absurde… |Déduction |Induction | |Modèle emprunté aux mathématiques, une vérité est déduite à |Les sciences physiques partent de l’observation | |titre de conséquences de certains principes évidents, |des phénomènes et en recherchent non pas le | |axiomes* ou postulats. Ce modèle est né chez les Grecs et

Le mouvement artistique naturaliste est une école littéraire et artistique du XIXème siècle qui visait à reproduire la réalité objective. Fortement lié à Emile Zola qui est le théoricien de cette école, le naturalisme est un réel système d’analyse et d’explication de la nature, cherchant et montrant la vérité. Les écrivains veulent alors rivaliser avec la science pour décrire toute la nature humaine. Le corpus abord de ce thème est composé de six textes représentatifs de ce mouvement. On trouve

La science est-elle vraiment, comme elle se le prétend, indépendante de toute croyance ? Nietzsche réfute ici cette conception que nous avons d’elle, en nous montrant qu’elle repose pourtant sur un postulat qui prône l’absolue nécessité de la vérité. Pour se faire, il utilise une logique assez proche du raisonnement par l’absurde : il commence par admettre l’opinion commune qui affirme que les convictions n’ont pas droit de cité dans la science, sauf si elles acceptent de se muer en hypothèses

parce qu’il corrige les erreurs dues à nos sentiments et à notre imagination. Cependant il ne tient pas assez compte de l’expérience des faits et de l’inconscient. Il doit se limiter au monde matériel et visible, car il ne peut rien expliquer des vérités abstraites. Comme le cite Pascal : « La dernière démarche de la raison est de reconnaître qu’il y a une infinité de choses qui la surpassent » a l’inverse de l’intelligence. Notre capacité à réfléchir, à apprendre et à acquérir notre expérience et

LA VERITE, UNE OU MULTIPLE ? « Les convictions sont des ennemis de la vérité plus dangeureux que les mensonges » Faut-il préferer le vrai qui dérange à l'illusion qui rassure ? La philosophie est le long cheminement de la question de la vérité, et dont la réponse par définition ne peut être satisfaisante. Sera philosophe celui qui répondra à cette question : qu'en est-il de la vérité ? Hors de ou dans la philosophie. Personne ne peut être indifférent à la question de la vérité. Chaque homme

scientifiques entendent détenir un accès universel et absolu à la vérité. Ils estiment que la science peut rendre le monde entier intelligible et qu'elle n'a pas de limite. La science est une démarche rationnelle, objective et universelle qui a pour ultime but la connaissance de la vérité. Ainsi tout au long de l'histoire les découvertes ont permis au « monde » de se rapprocher toujours plus de la vérité. Mais cette quêtes de vérité n'accorde t-elle pas trop de pouvoirs à la science ? De nos jours

temps n’ont pas d’existence et ne sont que des illusions, ainsi Septus Empiricus écrit le « temps n’existe pas, il s’agit d’une construction de l’esprit ». Soit, l’existence de ces temps est tellement liée à l’esprit qu’il n’ont pas d’existence objective hors de lui. Saint Augustin s’orientera quant à lui, plutôt, vers cette existence subjective du temps. • Le temps : condition de l’existence humaine ? Le temps semble être une condition de notre existence en effet l’Homme est un être fini, pour

La vérité est-elle libératrice ? Qui peut se permettre de connaitre la vérité. En effet La seule certitude que nous avons, et donc la seul vérité dont nous disposons mis à part la vérité de raison qui consiste en 2+2=4 est qu’un jour nous allons tous mourir. Ce qui est assez limité. Mais pour en revenir aux vérités plus « abordables », pouvons-nous dire qu’elles puissent être contraignantes vis-à-vis de celui qui l’émet (toutes vérités n’est pas forcement bonne à savoir) , qu’elles puissent

qui provient de rien. Ligne 7 à 8 : Description objective Ligne 9 à 10 : Interruption de la description, modalisation «  si « qui permet aux lecteurs de faire une pause dans la découverte de l’infirmité et de justifier le bras plus court. Ligne 10 à 11 : reprise de la description, image positive, attendrissante qui permet toujours d’atténuer le choc. Montaigne nous présente un enfant monstrueux cependant au lieu d’insister sur son objective monstruosité il insiste sur sa part d’humanité.

qu’il n’existe aucune vérité ».  La recherche de la vérité apparait comme un processus difficile, nécessitant une médiatisation. La découverte d’une vérité peut aussi sembler effrayante aux yeux de l’Homme, comme celle concernant la vie après la mort. En cela, les hommes ont préférés croire aux vérités qu’il leurs ont été énoncé ; c’est le cas des religions, qui répondent à notre peur de la mort et du vide lui succédant. Les hommes s’arrêtent alors à ces vérités subjectives, sans opérer