Walras équilibre Général

diversité et de cette opposition, nous exposerons brièvement le surgissement historique de ces divers points de vue. 1- Les grandes questions de la Science économique, de la théorie économique. 11- La définition de l'économie. 111- Les définitions générales. Il existe une multitude de définitions que vous pourrez découvrir en parcourant à la bibliothèque universitaire ou dans une librairie les ouvrages d'économie. Nous en retiendrons 2: - « l'étude de l'humanité dans les affaires ordinaires de la vie

capitaliste fermée. On a une expansion du capital, parce que c’est la révolution industrielle. Elle se traduit par une baisse de la productivité du travail sur la terre marginal, les salaires vont reste inchangé, cette baisse va entraine une baisse du taux générale du profit. Il y aura un accroissement de la rente foncière. Le mécanisme: une population donnée, va commencer par exploite les meilleurs terre, on est en pleine révolution industrielle, il y a une augmentation de la population, cela conduit a exploité

n'a pas de rôle actif, ce n'est qu' »un voile » qui facilite les échanges. B. LES CONCEPTS ET LES MECANISMES DE REFERENCES • Analyse MICRO-ECONOMIQUE : c'est-à-dire au niveau des unités économiques. La somme des intérêts privés mène à l’intérêt général et explique les phénomènes au niveau macro-économiques. • C’est l’analyse du fonctionnement des MARCHES qui permet de comprendre l’économie. La loi de l’OFFRE et de la DEMANDE est donc fondamentale. C’est elle qui détermine automatiquement (main

production (capital, travail), et la libre entrée et sortie sur le marché) sont réunies, chaque marché composant l’économie est en équilibre. Les principaux fondateurs de cette école sont le Français Léon Walras (1834-1910), l’anglais Stanley Jevons (1835-1882), l’autrichien Carl Menger (1840-1921) et l’Italien Vilfredo Pareto (1848-1923). =modèle de l’équilibre général de la concurrence pure et parfaite (CPP) : atomicité du marché, homogénéité des produits, l’information parfaite, libre circulation

rajoute la monnaie (qui n’est pas sélectionné parmi les 100 biens). On arrive à un système de 100 prix monétaires Pour 1000 biens, il y a 466 500 prix relatifs. → Si on rajoute la monnaie (1000 biens + la monnaie) il y a 1000 prix monétaires. En général, on passe de n(n-1)/2 prix relatifs à n prix monétaires : n étant le nombre de biens. L’étalon de valeur peut-être fictif ou immatériel. 1.2 Une définition institutionnelle de la monnaie Pour les économistes, les institutions sont des règles

l’harmonie et de l’équilibre assurés par le marché. Smith et Walras sont à la base de cette théorie. Cependant ces deux auteurs ne sont pas complètement libéraux, vont théoriser un rôle de l’Etat. ▪ Les « années d’or » de la politique économique, des années 1930 aux années 1970, voient Keynes, puis la synthèse néoclassique, triompher. La synthèse néoclassique est l’intégration des thèses keynésiennes dans les grands équilibres. Tout au long de ces années, l’intervention de l’Etat est très

conduits par une main invisible et par les lois du marché permet la réalisation de l'intérêt général. La fonction de l’entrepreneur s'inscrit dans la logique d'un système mathématique : il combine des facteurs de production de façon la plus rationnelle possible. Léon WALRAS (1834-1910) a démontré mathématiquement que la flexibilité des prix et la concurrence pure et parfaite sont les conditions d'un équilibre général des marchés. Si tous les marchés fonctionnent selon la logique du modèle walrassien, les

Fiche de lecture : La pensée économique depuis Keynes : Dostaler et Beaud point économie 1. Keynes et la théorie générale De l’éthique à la politique John Maynard Keynes est né à Cambridge le 5 juin 1883. Son père, John Neville, y enseignait l’économie politique et adhérait aux idéaux de l’Angleterre victorienne, comme son ami Alfred Marshall. John Maynard s’éloigna rapidement de cette influence de par son éducation à Eton (18971902) et à Cambridge (1902-1906). A partir de 1906 il prépare une

classique de l'équilibre global. Ce modèle classique de l'équilibre global nous allons le présenter en trois étapes. Chapitre 1 : présentation du modèle classique de l'équilibre global : Global (on se réfère a la macroéconomie) a la différence de Général (on se réfère a la microéconomie). La macroéconomie n'a pas de spécificité propre. Les phénomènes macroéconomiques reflètent les résultats individuels des agents dans un contexte de rareté. Ils ne sont que la somme des comportements individuels.

le capitaliste comme un coût et qui va essayer de réduire ce coût. Le rôle du marché est de se faire rencontrer l’offre et la demande. On est en équilibre quand l’offre est égal à la demande. Mais cette théorie sera évoquée plus tard. La main invisible : sans le savoir, tous les comportements individuels contribuent à la société, au bien-être général. ( appelé individualisme méthodologique. Cela contribue à ce que sur le marché, l’offre et la demande s’équilibrent. B - Karl Marx Il s’intéresse