Y A T Il Des Violences Légitimes

L’Homme qui vit en société est soumis à un certain nombre de contraintes qui permettent d’organiser la société dans laquelle il a pris place. Cependant dans quelques cas, certaines situations peuvent être vécues comme des injustices. Comment doit se comporter l’Homme face à ces situations délicates ? Doit-il se révolter ou se résigner ? Au-delà de cette question l’Homme libre peut-il être soumis à des limites ? La liberté de l’Homme peut-elle aller jusqu’à la révolte ou au contraire dans une

Le 09/04/08 | |Atelier de Recherche en Histoire. | |Université du Québec à Montréal. | |

Typologie de la violence. Les formes de violences existantes sont vastes. De prime abord, on constate deux formes : - violences naturelles. Il s’agit des catastrophes naturelles telles que les tremblements de terre, inondations, incendies, etc. Nous pouvons étendre cette perception aux dangers liés aux animaux. - violences entre individus. Elle peut se manifester verbalement, physiquement, sexuellement ou psychologiquement. Mais après quelques recherches, il apparaît que la violence peut se

logiques et les dynamiques du passage à la violence politique ? Plan : I. Une notion complexe impliquant différentes formes * 1) Définition et historique de la notion de violence politique. * 2) Typologie. * 3) Trois formes de violence politique. II. Les différentes logiques de la violence politiques * 1) Construction et affirmation identitaire par la violence. * 2) Rôle et conséquences de la violence dans l’échange, la négociation.

question politique. Cet article est tiré de l'Encyclopédie dans lequel Diderot dénonce l'abus de pouvoir et l'oppression de ceux qui l'exercent. Cet article conteste et interroge sur la notion d'autorité. En décrivant le pouvoir politique, il s'attaque à l'absolutisme tout en jouant de l'ambiguïté de l'article encyclopédique. L'idée fondamentale du texte Thèse de Diderot : « C'est au peuple que l'autorité appartient » Cet article pose la question des régimes politiques. Montesquieu, lui en distingue

Première STMG EVALUATION N° 1 – DROIT - Corrigé Référence : Chapitres 1 à 3 manuel de droit Rappelez les trois caractères de la règle de droit. La règle de droit est légitime La règle de droit est légitime parce qu’elle émane d’une autorité compétente qui est elle-même légitime, c’est-à-dire une autorité qui a le pouvoir de l’adopter, et qui respecte une procédure définie. La règle de droit a un caractère général, c’est-à-dire qu’elle doit s’appliquer égalitairement entre les hommes. Mais cela

SOCIOLOGIE POLITIQUE fabrice.colomb@gmail.com I- La sociologie de l’Etat : Marx, Durkeim et Weber. A) L’Etat chez Marx, un produit du capitalisme. Le point de départ de l’analyse est de dire de que l’Etat est un mythe, une illusion. L’Etat comme représentant d’intérêt général est une image tronquée de la rréalité. Pour Marx, l’Etat ne défend jamais l’intérêt général. L’intérêt général est de dire que l’Etat agit au bénéfice de tout le monde de manière égale. Pour Marx, c’est un mythe

mesure neutre, mais de la vision qu’on en a, l’argent n’a jamais manqué de traduire et d’exprimer certains penchants humains, tels que l’égoïsme, ou encore l’agressivité. Jérôme Monod tire au clair cette caractéristique de l’argent, lorsqu’il affirme, dans son livre Les Vagues du temps : «L’argent est intimement lié à la violence». L’emploi de la forme passive, ainsi que de l’auxiliaire être, au présent gnomique, souligne que le lien entre l’argent et la violence est loin d’être momentané ou accidentel

Introdution à la Science politique La science politique nait du besoin de renouveler la formation des élites suite à la défaite de 1870. C’est une discipline qui a pour objet la politique et peut utiliser des outils de toutes sortes (sociologiques, historiques, économiques…). C’est donc son objet et non sa méthode qui la distingue des autres disciplines. Elle a donc des implications politiques : « Désenchanter » la politique Mettre au jour les contraintes normatives de l’action politique

d’universalité : à savoir si nous appliquons les mêmes normes qu’aux autres. Ces deux principes sont aussi les fondements de la guerre juste. Selon un manuel de l’armée de terre des États-Unis, le terrorisme est « l’usage de la violence ou de la menace de la violence pour l’atteinte d’objectifs de nature politique, religieuse ou idéologique, par l’intimidation ou en inspirant la peur ». Celle de l’État Britannique est aussi très semblable. Les définitions du terrorisme sont pratiquement impossibles à distinguer