Y A T Il Des Vérités Indubitables

Le doute nous libère-t-il de l'ignorance ? « L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit. », Aristote. Depuis toujours les Hommes ont douté. Personne ne peut affirmer n'avoir jamais douté au moins une fois dans sa vie. Mais face à ce doute inévitable dans la vie, la question de sa cause, de ses origines peut être utile, ou encore plus pertinent, la question de son but. Pourquoi, dans quel but doutons-nous ? Le fait de douter nous apporte-t-il ou nous prend-t-il ? Le doute nous

d’abord abordée avant de les comparer à la vision de l’origines des hommes de Rousseau et sa conception sur les bénéfices de la science pour l’homme. Descartes est le fondateur de la philosophie moderne, d’abord à cause de sa conception de l’homme particulière et car il recherche la vérité à travers la rationalité. Ainsi, la première certitude indubitable qu’il ait trouvé est la suivante : «Je pense, donc je suis». Selon lui, dans la nature humaine, il y a deux substances dépendantes: l’étendue

de DESCARTES à travers ce livre de montrer comment il a conduit sa raison. DESCARTES a beaucoup étudié cela a nourrit son doute/lui a fait découvrir son ignorance. Cependant, il reconnaît l’utilité et les bénéfices des diverses matières qu’il a étudié : -Eloquence/poésie : relève du don : selon la capacité de la pensée à se mobiliser pour accomplir la tâche (invention, synthèse d’idée). -Mathématiques : certitude/claire   « Fondement ferme et solide ». -Théologie : Ouvert à tous. DESCARTES

qu’il y a un rapport avec la liberté politique d’expression ! Mais attention ce n’est pas le point central de ce sujet. Être maître de nos paroles ne signifie pas exclusivement avoir la liberté d’expression. Qu’est ce qui est donc plus central concernant ce sujet ? La qualité de notre parole. Il faut considérer cette qualité en sachant que la parole est émise par un émetteur et reçue ou non par un récepteur. Du point de vue de l’émetteur :   Quand on envoie un message à quelqu’un, il y a un récepteur

que nous pensons. Spécificité du moi > la conscience 3 spécificités: -UNITÉ Le moi est un. Cela signifie qu’il est indivisible, ne comporte pas de parties. -IDENTITÉ Malgré tout les changements qui peuvent survenir, le moi est et ce sent identique à lui même. -CAUSALITÉ Nous savons que c’est notre personne qui cause nos actions. Nous pouvons voir l’action quelques fois sortir de notre volonté par exemple. 1 On distingue deux types de conscience: La conscience Spontanée: Sentiment intérieur immédiat

et qui subsiste malgré la connaissance que l’on a de ce leurre. Par exemple, j’ai beau savoir que la Terre évolue dans l’espace à grande vitesse et en révolution par rapport au soleil, j’ai l’illusion par les sens que notre planète est immobile, parce que mes perceptions sont assez limitées quant à mon environnement. Quant à l’illusion au sens figuré, il s’agit d’un leurre spirituel et qui a tendance à subsister malgré la connaissance que l’on en a . La vie de l’esprit génère t-elle en l’être humain

théâtre du XIIIe siècle. Nous sommes presque à la fin du premier acte et dans cette scène le spectateur assiste pour la première fois à l’habileté de Dubois en matière de manipulation des sentiments. Dubois, ancien valet de Dorante jeune homme ruiné, maintenant au service d’Araminte veuve fortunée, va tout faire pour que celle-ci tombe amoureuse de Dorante malgré l’obstacle majeur: l’argent. Par quel stratagème Dubois va-t-il pousser Araminte à aimer Dorante? Nous analyserons d’abord la manière

qui est certain, assuré, indubitable. Elle est la conviction, l’assurance pleine et entière que l’on a de la vérité de quelque chose. » On est certain d’une chose lorsque l’on porte un jugement qui exclut le doute et la crainte de l’erreur. Il est important de constater que c’est un état qui touche chacun de nous dans le rapport que nous entretenons avec la réalité. Certaines expressions telles que « j’en mettrai ma main à couper », « j’en mettrai ma main au feu », « il n’y a aucun doute là-dessus »

parfaitement libre, remarquait Descartes, d'adhérer ou non à une idée. Personne ne peut me forcer à croire ou non une chose, et d'ailleurs personne ne peut même savoir ce que je pense. On peut donc me forcer à agir (par exemple à adopter les signes extérieurs d'une religion qui n'est pas la mienne, ou à abjurer publiquement mon dieu), mais non à penser telle ou telle chose. La liberté de penser est donc une liberté évidente et indubitable, qui s'éprouve directement. Et pourtant, on peut déjà

dissertation : Peut-on être objectif envers soi-même ? S’interroger sur la possibilité d’un jugement objectif sur soi-même, c’est poser la question de la valeur de vérité de ce jugement. En effet l’objectivité suppose une distance et une neutralité grâce auxquelles la conscience ne transforme pas à sa guise la réalité. L’astronome qui cherche à connaître la position et la distance d’une étoile fait taire sa subjectivité au profit de l’objectivité des calculs mathématiques et des lois de l’astrophysique