Argument d'autorité

pense pas que nous pouvons nous passer de toute cette technologie qui envahit tous les domaines… Ensuite il utilise un argument d’autorité pour appuyer ces paroles, l’évocation d’un philosophe, Socrate, qui avait choisi lui également (au même titre que Rousseau a un moment de sa vie) de vivre sans luxe dans un confort plus que minimaliste mais suffisant pour vivre. Donc cet argument a un certain poids pour Rousseau. Dans la dernière phrase qui compose ce texte, Rousseau dis que le « premier homme

présenter un projet de réforme. Ce passage est donc destiné à convaincre par un certain nombre de procédés I – UNE REMISE EN CAUSE DES PREJUGES PAR DES ARGUMENTS VISANT A CONVAINCRE a- l'auteur aborde le sujet en mettant en évidence ses opinions sur le rapport entre politique/humanité. Il commence son argumentation par un argument d'autorité : une maxime « La politique se rapproche bien entendue plus communément qu'on ne le croit de l'humanité qui réfléchit ». Autrement dit il ne peut y avoir

l'indépendance obtenue grâce à l'étude >< à l'aliénation de l'ambition qui entraîne la dépendance. Les Arguments : - L'amour de l'étude permet : - l'indépendance l.14 "par cette raison d'indépendance" - la gloire l.18 "une passion dont une âme élevée n'est jamais entièrement exempte" - une consolation l.43 "ressource sûre contre les malheurs" --> Argument d'autorité : cite Cicéron l.44-47 En affirmant son pdv sur la nécessité de l'étude, l'auteure, qui en fait une

(l.81-82), « Bien sur mon petit. Mais pas à elles » (l.84) -Ornifle se réfère à des auteurs et des œuvres connues « Jules Verne » (l.59) et « Bérénice » (l.39) qui est le nom d’une tragédie de Jean Racine. La référence à Jules Verne est un argument d’autorité prouvant qu’Ornifle utilise le registre didactique pour instruire une fois de plus Fabrice. II) Ornifle, un épicurien manipulateur 1) Un homme de plaisirs - Ornifle n’a jamais réellement connu l’amour « Je n’en parle que par ouï-dire » (l

peine de mort 2) Victor Hugo , comme argument emploie entre autre la remise en cause des infrastructures des prisons ce qui provoque une certaine "touche" sur l'égo de la société "s'il ne s'agissait que de cela,la prison perpétuelle suffirait. A quoi bon la mort? Vous objectez que l'on peut s'échapper de vos prisons?" "Si vous ne croyez pas a la solidité des barreaux de fers, comment osez vous avoir des ménageries?"cet argument est un argument d'autorité car il s'appuie sur une affirmation en se

réponse, d’impliquer le lecteur et de l’attirer de son côté. L’hyperbole présente à la ligne 9 « si j’en avais dix mille, je les donnerais tous » est une exagération qui frappe aussi le lecteur. La comparaison « Et comme Alexandre » est un argument d’autorité qui n’est pas contestable. Dans l’extrait de Vendredi ou les Limbes du Pacifique, faisant l’éloge de la vénalité. L’auteur emploie des procédés persuasifs tels que l’antithèse pour la « vénalité est une vertu cardinale » il défend, donc,

d'arguments : l'argument logique (qui fait appel à la raison de l'interlocuteur) l'argument d'expérience (« l'expérience montre que...») l'argument d'autorité qui s'appuie sur une personne célèbre ou reconnue (ex. : « Aristote dit que... », « le journal Le Monde écrit que... », etc.) l'argument ad hominem qui met en cause la vie privée de l'interlocuteur. Argument par la cause Il s'appuie sur la ou les causes d'un phénomène. Parmi les causes possibles, l'argumentateur sélectionne celles qui s'accordent

l’effet de persuasion. Avec sa publication de 1984 : Le dire et le dit, Oswald DUCROT, parvient à élargir cette notion d’autorité, dans une perspective sémantique et structurale, en partant du postulat qu’elle intervient non seulement au niveau rhétorique - on le sait depuis l’antiquité -, mais aussi au niveau sémantique de la langue. Pour Ducrot on utilise un argument d’autorité lorsque : 1. D’une part, on indique que P a déjà été, est actuellement, ou pourrait être l’objet d’une assertion, 2. D’autre

répète puis sa position -1° paragraphe= thèse avec laquelle elle n'est pas d'accord -2nd paragraphe= sa propre thèse ( arguments = expérience → Margaret Mead= tribu Tchombouli dans laquelle les rôles hommes/femmes sont inversés ) -3° et 4° paragraphe= conclusion = idée de nature féminine ne tient pas -Connecteurs logiques 3.Arguments d'autorité inversé -Argument d'autorité= justifier une thèse en s'appuyant sur propos d'une autorité (qqn de connu ) -2 autorités philosophiques ( Platon et

idées à défendre. Convaincre Quand un auteur fait appel à la raison et aux capacités de réflexion de son lecteur, il cherche à le convaincre. Il utilise alors des arguments raisonnés qui s'enchaînent de façon logique. La force de conviction réside dans : des arguments qui justifient une thèse (la défendent). Ces arguments peuvent réfuter une thèse première dans le but de mieux montrer l'intérêt de la thèse défendue par l'auteur. des connecteurs logiques rendant visible les étapes du raisonnement