Augustin d'Hippone

sainte. Lorsqu'un peuple entre en guerre, c'est au nom d'une certaine vision de la justice, une conception personnelle, que le peuple partage seul, parce qu'il s'agit au fond de ses intérêts, de ce à quoi il estime avoir droit. Comme le disait Saint Augustin de la paix c'est la justice qui justifie toutes les guerres. Personne ne fait la guerre pour la guerre, mais pour la paix qu'il espère en tirer. Le contexte est le même dans ce texte d'Alain, l'homme dangereux n'est pas celui qui ne veut pas la paix

dire que, m’interrogeant sur la conscience vraie du temps, puisque tel est mon propos, j’essaierai de savoir ce qu’est le temps lui-même, pour autant du moins que la conscience puisse le connaître ou s’en faire une idée. On peut partir de saint Augustin, puisque personne, sur le temps de la conscience, n’a mieux dit l’essentiel. La difficulté du sujet, d’abord, et c’est l’interrogation fameuse ou le constat dubitatif : « Qu’est-ce donc que le temps ? Si personne ne me le demande, je le sais ; mais

Au 18eme siècle et comme en tout temps, l'injustice cours le monde. C'est dans ce but que Voltaire va se moquer de cette justice corrompu et absurde. Nous pouvons voir des les première linges, comment Voltaire dissocie les classe social entre le Hero Zadig et la haute société avec des superlatifs constant comme « Le grand veneur »  « Le premier »l.1 « du grand Desterham »l.3.. Le héro quant a lui est accusé d'avoir soit disant volé la chienne et le cheval du roi, dénoncée par le grand veneur et

très nombreuses œuvres : sur le baptême, sur la pudicité, le mariage, l’exhortation à la chasteté, les spectacles, et sur la manteau. Commentaire du Notre-Père..., écrits polémique et doctrinaux dirigé contre les hérésies gnostique. Saint Augustin tire un double enseignement, spirituel et doctrinal. En mettant surtout l’accent sur la charité, il montre qu’elle s’origine en Dieu, dans la relation entre les trois personnes de la Trinité, et dans l’amour de Dieu pour l’homme, manifesté par l’Incarnation

Aristote : Aristote rompt définitivement avec la représentation du monde donnée par la mythologie. Il rompt aussi avec l'idéalisme de Platon, qu'il remplace par une observation scrupuleuse du réel. Il est ainsi l'un des deux grands fondateurs de la philosophie occidentale. juste : Qui est conforme au droit et à l'égalité des personnes. Ce texte, extrait du livre V de l'Ethique à Nicomaque, auquel il sert de conclusion, analyse les rapports de la justice et de l'équité. La question porte sur

Le génie est-il un bienfaiteur ou un monstre? C’est sur ce point que débattent Didrot et Rameau. Didrot défend la thèse spéculant que le génie fait plus de bien que de mal, alors que Rameau, de son coté, affirme le contraire. La différence entre leur point de vue est dût au fait qu’ils ne voient pas les choses de la même façon. Je crois qu’il est impératif que je me demande si le génie est un être moral. Être moral, c’est avoir une façon de vivre jugée approprié par la société. Pour cela, il

"Il s'avère qu'en cette année de sinistre mémoire [1937], Andreï Ianouarévitch […] Vychinski [1] fit un exposé devenu célèbre dans les cercles spécialisés : dans l'esprit de la dialectique la plus souple (que nous ne permettons ni aux sujets de l'État, ni maintenant aux machines électroniques, car pour celles-ci un oui est un oui, un non est un non), il rappela qu'en ce qui concernait les hommes, il n'était jamais possible d'établir de vérité absolue, mais seulement relative. À partir de là, il fit

réflexion ou exercice de la liberté, la nature ait déterminé, sous la forme d’un irrépressible désir, l’essence de cette fin. « Nous sommes tous enflammés du désir d’être heureux », affirmait Cicéron, Des fins des biens et des maux. Et Pascal après St Augustin lui fait écho : « Tous les hommes recherchent d’être heureux ; cela est sans exception ; quelques différents moyens qu’ils y emploient, ils tendent tous à ce but. Ce qui fait que les uns vont à la guerre, et que les autres n’y vont pas, est ce

J'ai toujours eu envie d'écrire une nouvelle, mais je n'ai jamais trouver réélement l'occasion de le faire et l'idée me paraissait compliquée. Les septs péchés capitaux c'est un thème qui m'inspire car, sans en avoir wvéritablement conscience nous nous y confrontons tous les jours. J'ai toujours eu personnellement ce besoin de comprendre ce que je ressens moi-même lorsque je suis confrontée à un vice ou autres. Je me suis toujours profondément interrogée sur notre manière de fonctionner, pourquoi

Proust à Heidegger. Le projet de se peindre soi-même pour instruire le lecteur est original : « Je n’ai d’autre objet que de me peindre moi-même. » (cf. introspection). « Ce ne sont pas mes actes que je décris, c’est moi, c’est mon essence. » Saint Augustin dans les Confessions retraçait l'itinéraire d'une âme passée des erreurs de la jeunesse à la dévotion ; Rousseau cherchera à se justifier devant ses contemporains ; Stendhal cultive l'égotisme. Montaigne n'a d'autre ambition que de « se faire connaître