Charte de la langue française

Qu'est-ce que la Francophonie? On entend par francophonie (avec une minuscule initiale) l'ensemble des peuples ou des groupes de locuteurs qui utilisent la langue française entièrement (langue maternelle), partiellement (langue officielle ou administrative) ou épisodiquement (langue d'enseignement), dans leur vie quotidienne ou leurs communications. Le terme Francophonie (avec une lettre majuscule initiale) désigne plutôt l'ensemble des gouvernements, pays ou instances officielles qui ont en commun

Länder (unifiés depuis Bismarck en 1871). L’Allemagne a une tradition politique forte concernant les régions à haut degré d’autonomie par rapport à l’autorité centrale. Cette tradition allemande remonte au Moyen-âge. En revanche, dans la tradition française, la région ou plus exactement la province, comme cela était le cas dans la France de l’ancien régime, dispose certes de prérogatives fortes mais l’autorité suprême de la province reste le pouvoir central (royal) par l’intermédiaire d’un intendant

de Langue Française (UIJPLF). 1960 Des personnalités comme Hamani Diori, Habib Bourguiba et Léopold Sédar Senghor proposent de regrouper les pays nouvellement indépendants, désireux de poursuivre avec la France des relations fondées sur des affinités culturelles et linguistiques. 1960-69 Création de différentes institutions comme la Conférence des ministres de l’éducation nationale des pays francophones (CONFEMEN), l’Association des Universités Partiellement ou Entièrement de Langue Française

fort (quête de maitrise des grands seigneurs, achevée par Louis XIV). Durant l’Ancien Régime, le pouvoir fonction est accordé par Dieu : le monarque doit rendre des comptes à Dieu qui lui a confier le pouvoir (providence divine). A la Révolution française, le pouvoir va venir de la nation qui désigne ses représentants par l’élection. Le pouvoir n’appartient plus à ceux qui l’exercent et ils doivent l’exercer dans l’optique du bien commun (intérêt national). B ) La forme moderne du pouvoir politique

de Langue Française (UIJPLF). 1960. Des personnalités comme Hamani Diori, Habib Bourguiba et Léopold Sédar Senghor proposent de regrouper les pays nouvellement indépendants, désireux de poursuivre avec la France des relations fondées sur des affinités culturelles et linguistiques. 1960-69 Création de différentes institutions comme la Conférence des ministres de l’éducation nationale des pays francophones (CONFEMEN), l’Association des Universités Partiellement ou Entièrement de Langue Française

sortir (par exemple, le Conseil français du culte musulman (CFCM), sous la pression de l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), refuse d’accepter le droit à changer de religion pour les musulmans, et préfère que ne soit cité dans la charte, que la référence aux droits de l'Homme et non à la seule liberté de changer de religion car cela accréditerait l'idée qu'il y ait quelque chose en islam qui limite cette liberté4). Mais la confrontation des différences entre ces communautés pose

l’extérieur d’un nouvel état indépendant. Aussi père Arès affirme que la cause principale de la situation francophone hors Québec est la Confédération. Il a cherché d’alerter les décideurs politiques qui, selon lui, doivent rendre justice à la population française parce que si elle disparaît, aussi la Confédération sera destinée à disparaître. Dans cet essai, j’ai remarqué l’usage d’un langage sociolinguistique et parfois politique, avec des accents fortement pessimistes, qui l’auteur utilise pour souligner

Mauritius. Commercial Use and distribution of this material is strictly prohibited.   ii   LA FRANCOPHONIE   Unité 1 : Qu’est-ce que la F/francophonie ?   Unité 2 : Quelques repères sur l’origine et l’évolution historique de la langue française en France Unité 3 : Expansion du français hors de France et présence du français dans le monde aujourd’hui Unité 4: La Francophonie géopolitique et institutionnelle Unité 5 : Francophonies, plurilinguisme et enjeux culturels Unité 6 : La francophonie

BARONTINI Alexandrine, « Valorisation des langues vivantes en France : Le cas de l’arabe maghrébin », de français aujourd’hui, 2007/3 n°158, p.20-27 Alexandrine BARONTINI a eu son doctorat en langues maghrébine à l’INALCO Le message que veut faire passer Alexandrine BARONTINI dans cet article est que la langue arabe maghrébine n’est pas assez valorisée en France mais aussi dans les pays maghrébin. Elle explique que le mot arabe pour qualifier les langues parler dans le monde arabe n’est pas bien

monde moderne et la sphère de l’entreprise. En effet on peut le constater à travers les références de professionnels de renoms comme Jacques Lacan, célèbre psychanalyste Français, Aristote, David Ogilvy, et les références à de grandes instances Françaises tel que le comité de simplification du langage administratif (COSLA). Le thème général de cette réflexion s'organise autour du concept de la place du langage dans les entreprises et plus particulièrement du langage comme un outil et une arme