Cognition sociale

résultat = intégration des savoirs + capacité à les utiliser. = comportement de soi en construction 3) nécessité et limites des théories ➢ sujet théorique ( sujet de la pratique : impossible aujourd’hui, sujets psy. et social en interaction avec le monde. ➢ la théorie est nourrie par la pratique et inversement. ➢ théorie = élément de référence qui permet de passer de la pratique à la praxis (construction créatrice). 4) synthèse et questionnement

Définition de la cognition Def générale La cognition est la capacité d'attribuer du sens via le mental et de produire de nouvelles connaissances via l'interprétation. Une communication va être la rencontre de deux cognitions : celle de l'émetteur, pour réaliser la mise en forme de l'information et aboutir à la réalisation d'un message et celle du récepteur, car le message nécesite un présupposé pour qualifier l'information et l'intégrer. L’éthymologie du terme "cognition" est "cognitio"

progressivement ces attributs dans les schémas mentaux que constituent les images des marques. Ceux-ci se créent et se structurent en fonction des interactions avec les objets (Johnson, 1987). Cette approche se situe dans la cadre de «l’embodied cognition» qui postule que la connaissance et les pensées se forment à partir des interactions physiques avec l’environnement (Glenberg, 1997 ; Glenberg et al., 2003). Ainsi, les fonctionnalités liées au design constituent pour certaines marques un avantage

relevant du même niveau d’identification. C) La théorie de Festinger. Pour mieux comprendre les effets cognitifs lors d’un acte problématique nous ferons appel à la théorie de Festinger (1957). Selon lui lorsqu’il y a désaccord entre des cognitions un état de tension se crée et appel une réduction. Cette réduction une fois réussie est gratifiante. Il y a trois spécificités à cette théorie : -Le statut de la motivation. -L’importance

indissociables de la situation c'est-à-dire que les éléments physiques (artefacts) et sociaux sont signifiants pour l’action du sujet. Selon Hauw, « en réaction aux approches cognitivistes traditionnelles, les théories situées mettent en exergue le caractère fortement contextuel de l’activité humaine. Elles repositionnent les actions qui définissent formation, apprentissage ou enseignement en relation avec leurs contingences sociales, historiques, environnementales ou culturelles 179». Définition : ainsi

Autant la sécurité, la joie, le bonheur peuvent favoriser l’épanouissement intellectuel, autant l’insécurité, la tristesse et l’angoisse peuvent la contrarier. Les préoccupations anxieuses et l’insécurité sont responsables de nombreuses inadaptations sociales comme l’échec scolaire. L’affectivité est ambivalente; elle possède plusieurs formes suivant les situations. Elle représente la vie intérieure de l’individu qui fait parfois obstacle aux apprentissages et qui pourtant en est la condition (affects

développement non spécifié. Ces syptômes se situent sur un continuum d’intensité variable selon les individus : légers, sévères, modérés 3 critères diagnostiques : un déficit cliniquement significatf et persistant de la communication et des interactions sociales. (en dessous de la norme habituelle) des modes de comportements d’activité et d’intérêts restreints, stéréotypés et répétitifs avec comportments verbaux, moteurs stéréotypés et adhérence excessive à des routines et comportements ritualisés. Les

marquée par une diminution globale des comportements motivés. Plusieurs termes cliniques correspondent à cette définition, chacun apportant une nuance particulière. L’apathie est généralement définie comme la diminution des comportements et des cognitions orientés vers un but ainsi que des émotions qui les accompagnent habituellement. La diminution des comportements motivés se traduit par un manque d’efforts ou d’énergie pour réaliser les activités de la vie quotidienne et par un manque d’initiative

plupart de la littérature de l’époque sur l’IE1,2ainsi qu’un nombre considérable de recherches supplémentaires sur les émotions et leurs relations avec le cerveau et les comportements sociaux. Il mentionnait également des programmes éducatifs destinés à aider les enfants à développer leurs compétences émotionnelles et sociales. Le livre mettait en exergue des remarques déjà formulées par Mayer & Salovey suivant lesquelles les personnes pourvues d’une grande intelligence émotionnelle pouvaient être plus

organisent nos actions : * régulent le fonctionnement mental et organisent pensées et actions en établissant des priorités * établissent des objectifs vers lesquels les cognitions et les actions s’orientent, faisant de l’affect un déterminant crucial de la conduite humaine émotions déterminent le but finale et la cognition les moyens par lequel le but est atteint. * Le Doux, 1993 : traitement émotionnel initial « très cognitif » et hautement adaptatif nous permet de répondre rapidement sans