De l'âme

délimitations entre les discipline, cependant, surtout l'étude du vivant, n'étaient pas toujours très claires. N'étaient pas rares ceux qui philosophaient sur des sujets «scientifiques». Descartes, par exemple, opposait l'Homme à l'animal en distinguant l'âme de la matière (res cogitan vs res extensa) et en accordant à l'Homme seul une âme, donc la capacité de penser. Il "prouva" le tout à l'aide de sa méthode rationnelle. Les monistes, pour leur part, considéraient la nature comme étant faite d'une seule

des écrits que j’ai publiés. Car, y ayant deux choses en l’âme humaine, desquelles dépend toute la connaissance que nous pouvons avoir de sa nature, l’une desquelles est qu’elle pense, l’autre, qu’étant unie au corps, elle peut agir et pâtir avec lui ; je n’ai quasi rien dit de cette dernière, et me suis seulement étudié à faire bien entendre la première, à cause que mon principal dessein était de prouver la distinction qui est entre l’âme et le corps ; à quoi celle-ci seulement a pu servir, et l’autre

cité peut donc être comparée à la justice chez l’homme. Les vertus de la cité sont donc aussi présentes dans l’âme des hommes justes en nombre égal : -le principe rationnel de l’âme est ainsi le principe par lequel l’homme raisonne. -le principe dépourvu de raison et désirant est le principe par lequel l’homme désire. Mais la raison et le désir sont deux fonctions qui s’opposent dans l’âme car la raison empêche parfois l’assouvissement de certains désirs, d’où l’importance du dernier principe :

de l’AME5. Discipline6. Sanctions7. Congés et autorisations d’absence8. Prise en charge sanitaire ou assurance santéIV. GESTION PEDAGOGIQUE1. Le temps de travail2. Cahier de charges et relations pédagogiques3. Formation continue de l’AME4. Cas de L’AME polyvalentV. GESTION FINANCIERE 1. Allocation des AME2. Souscription d’une assurance retraite ou cotisation à la CNSSVI. GESTION DES LITIGES1. Cas de rupture de contrat2. Cas de faute grave de l’AMEVII. DISPOSITIONS DIVERSES1. La fin du contratI- INTRODUCTION1

également leur langue propre à ses nouveautés. Pour but d’encadrer le sujet, nous essaierons d’expliquer le principe [arkhè] en décrivant les autres sujets comme la nature [phûsis], la genèse [genesis], le mouvement [kinesis]. Nous traiterons aussi l’âme [psyché] qui est très important chez Aristote, en définissant les mouvements mécaniques des vivants. La plus importante recherche en philosophie grecque, c'est le premier élément [stoikheion] ou les éléments dont dérivent toutes les autres choses

dialogue philosophique. 2. Les idées Le Phèdre présente l’âme humaine comme un char ailé, composé d’un cocher et de deux chevaux: l’un, excellent, tire le char vers le haut, l’autre, médiocre, le tire vers le bas. Lorsque le premier est le plus fort, l’âme devient divine, et ses ailes sont plus développées; lorsque c’est le second qui domine, l’âme reste embourbée dans le corps, et ses ailes sont anémiées. Le lieu le plus élevé que l’âme puisse atteindre, si le cocher sait dompter le mauvais cheval

conception socratique de l’âme. Socrate commence à expliquer que la mort équivaut à la séparation de l’âme et du corps. Le corps était une prison pour l’âme, la mort venant, elle se trouve délivrée de cette prison. Comme la note Socrate, c’est a la mort qu’on connait le mieux. Il montre que certaines connaissances que nous possédons ne peuvent être les résultats de l’expérience sensible d’ailleurs elles viennent d’une expérience intelligible. Si pendant la vie l’activité de l’âme ne dépende pas de celle

bouche car la bouche est l'origine et la source de l'esprit. Ainsi, en amour, le baiser se donne sur la bouche et les deux esprits s'unissent sans qu'il y ait séparation de l'un avec l'autre. A cause de cela, celui qui meurt [sheiotsé neshamato : dont l'âme sort] dans le baiser, unit son esprit à l'esprit du Saint béni soit Il, et il ne se sépare plus de lui. Ceci est ce que l'on appelle le baiser, et si la Communauté d'Israël dit : « Qu'il me baise des baisers de sa bouche », c'est afin que s'unissent

le monde de s’exprimer et la consultation de la population est bon puisqu’il n’y a pas, selon lui, de vérité incontestable. Cependant, Platon ne ressent pas la même chose puisqu’il pense que chaque individu a leur fonction, l’homme normal possède l’âme désirante. De plus nous sommes dominés par ces désirs et celui-ci nous apporte des conséquences individuelles et collectives. Pour ma part, je suis plus d’accord avec Platon puisque la démocratie de nos jours est problématique et ne permet pas de

lecteur » ou « Le moyen d’ennuyer est de vouloir tout dire » a prévenu Voltaire La Fontaine préface de l’édition des Fables de 1668, il écrivait que « l’apologue est composé de deux parties, dont on peut appeler l’une le corps, l’autre l’âme. Le corps est la fable ; l’âme la moralité" Voltaire : "Il faut être très court, un peu salé, sans quoi les ministres et madame de Pompadour, les commis et les femmes de chambre, font des papillotes du livre". Le meilleur moyen de persuader consiste à ne pas