Difference Entre Socrate Et Les Sophistes

1. La figure de Socrate et le mythe de la caverne Socrate est un personnage historique ayant existé, ayant vécu au Vè siècle av JC. Il n’a rien écrit, mais c’était un personnage qui a frappé ses contemporains au point que l’on trouve des situations que soit disant il a vécu. Mais c’est quelqu’un qui avait un immense charisme. On ne risquait pas de ne pas le voir, on ne parlait que de lui. C’était pratiquement le plus célèbre personnage d’Athènes. Il avait un énorme succès auprès des jeunes gens

l'attachement du personnage à la rationnalité , elle nous amène à la question suivante : la rationnalité peut elle se suffire à elle meme ? Déjà les penseurs antiques divergeaient sur ce point : d'une part les sophistes , partisans de la rhétorique et donc du recours à la persuasion et d'autre part Socrate , initiateur de la philosophie , défendant le discours rationnel., mais qu'en est il aujourd'hui ? Nous tenterons donc de répondre , en trois parties, à la question suivante : le discours rationnel peut-il

selon les sophistes, essayer de trouver la vérité est un projet trompeur. Dans le sens que, selon eux, la vérité absolue du monde est inaccessible. Donc, on peut s’induire en erreur en essayant de l’atteindre. Il faut alors se restreindre à l’interpréter. Par contre, cette interprétation ne peut être considérer comme la vérité du monde. Par exemple, un individu qui croit en l’existence de Dieu. Ce dernier assume l’existence de Dieu, mais sait qu’il ne peut le prouver. Par la pensée sophiste, il ne

Document sans titreAnalyse du Ménon de Platon Question 1 : Il y a une articulation logique entre les différents points abordés dans ce texte. D’abord, le texte débute par le questionnement de Ménon autour de la possibilité d’enseigner la vertu. Afin d’y répondre, Socrate se met en position de mathématicien et montre ses compétences géométriques en définissant le terme “figure” par “la limite de tout solide”. La géométrie a ainsi un rôle pédagogique dans cette situation et permet de démontrer de manière

Glaucon est un disciple de Socrate , il assiste à une discussion entre Thrasymaque et Socrate qui s’entretiennent sur la nature de la justice .Pour Thrasymaque ,la justice  « sert les intérêts des plus forts », le juste serait donc un stupide , qui ne sait qu’obéir. Socrate n’est pas d’accord avec cette vision des choses. Glaucon doute. Il propose alors une distinction entre trois catégories de biens , qui doit permettre de mettre en évidence la problématique suivante : La justice, dans quel bien

Théétète est mourant et, à la fin du dialogue, Socrate se dirige vers le tribunal qui le condamnera à mort. Après la mort de Socrate, Platon, selon Diogène Laërce, se réfugiera à Mégare auprès d’Euclide, puis se rendra à Cyrène, auprès de Théodore le géomètre, dont il aurait suivi les leçons (Narcy 307). Théétète fait en quelque sorte le chemin inverse : autrefois élève chez Théodore, il revient mourant à Athènes en passant par Mégare, sans s’y arrêter toutefois.

Travail sur Ménon 1. Étape 1. Formulation de la question : Qu’est-ce que la vertu ? Étape 2. Profession d’ignorance de Socrate : Nous pouvons observer cette étape avec cette citation de Socrate : « Eh, bien moi aussi, Ménon, je suis dans le même cas. En cette matière, je partage la misère de mes concitoyens, et je me blâme moi-même de ne rien savoir, rien du tout, de la vertu». Étape 3.1 Productions d’une réponse par l’interlocuteur : Cette réplique de Ménon est la première de 3 hypothèses de

crainte, et de dire la vérité rien que la vérité » On pense souvent à des questions d’ordre théorique : quel est le type de vérité que revendique tel ou tel type de discours. Comment à l’origine le concept grec d’alétheia faisait ? Distinction entre la vérité et la véracité : pour illustrer cette distinction on peut partir de Kant : « D’un prétendu droit de mentir par humanité ». L’essentiel c’est celle d’un ami qui peut protéger quelqu’un qui vient de se protéger chez lui : se mettre à l’abri

peuvent passer une partie de leur vie ainsi, par exemple le propre de l’enfance est de rester pour un certain temps dans l’ignorance mais le propre d’un enfant c’est aussi le fait de devenir adulte et donc de surmonter cette ignorance. Le point commun entre ces deux motifs humain, c’est la liberté. Les hommes ont besoin de vérité parce qu’elle rend libre. En revanche, l’ignorant n’est pas libre, il est prisonnier de son ignorance dont on peut très facilement abuser. De la même façon, le menteur est prisonnier

définissaient comme « la science des choses divines et humaines ». Le sage – prêtre, prophète ou devin – pouvait ainsi apparaître comme une sorte de mage, capable de déchiffrer les secrets des dieux et les signes qu’ils font parvenir aux mortels. A la différence du sage, le philosophe ne sait aucune science. Il n’est qu’un maître de sagesse, mais un amoureux du vrai, qui ne cherche ni le profit ni la gloire. 2) La raison du philosophe Raison et mythe Le philosophe, qui entend proposer une explication