Impératif catégorique

m’enseigne d’agir indépendamment de tout intérêt personnel, de tout désir, ou envie égoïste, c’est à dire finalement, d’agir universellement. Or, cette loi de la raison est appelée loi morale. La loi morale se présente comme un devoir, un impératif catégorique, c'est-à-dire un commandement absolu dicté par la raison qui m’engage à agir de telle sorte que mon action puisse être universable. Etre autonome s’est être soumis à sa propre législation qui doit être universable. Agir pour d’autres motifs

la raison pratique D'une manière générale, on peut dire qu'il s'agit d'une éthique déontologique, en ce que la loi morale, telle que découverte par la raison pure, ne dérive aucunement de l'expérience empirique et s'impose en tant qu'impératif catégorique. Le devoir ou obligation morale par lequel la loi morale se présente à nous, êtres raisonnables finis, ne considère donc pas l'action dans son enchaînement empirique de causes et de conséquences (principal souci d'une éthique conséquentialiste)

lois avec un impératif catégorique. Seuls les être raisonnables peuvent avoir la faculté d'agir d'après la représentation des lois, c'est à dire d'après des lois qui cette fois ci ne possèdent pas d'impératifs catégoriques mais des impératifs hypothétiques. Certaines actions sont guidées par des lois. La raison sert à représenter les lois et par conséquent à dériver les actions des lois. C'est pourquoi la raison est indispensable pour dériver les actions des lois. Les impératifs hypothétiques

en dehors de toute vie sociale ? Et n'est-ce pas le souci de bien s'intégrer à un groupe qui pousse aux efforts nécessaires pour vaincre ses tendances égoïstes ? C'est contre cette fausse évidence qu'écrit Alain. Admettre que les impératifs moraux soient des impératifs sociaux reviendrait en effet à les relativiser : l'intérêt de la société évolue au gré des circonstances, et ce qui paraît louable aujourd'hui deviendrait condamnable demain. alain : Éviter les préjugés, se méfier des opinions communes

pour y parvenir. Ca va de la pomme dans l’arbre, au viol puis au coup d’état * Impératif catégorique de Kant « Agis seulement d'après la maxime grâce à laquelle tu peux vouloir en même temps qu'elle devienne une loi universelle2. » par exemple si tu dois obtenir à manger et que tu dois pour cela voler, tu acceptes que le vol devienne une loi universelle donc finalement c’est contre l’impératif catégorique de Kant et tu ne le fait pas. Conclusion et ouverture.

Métaphysique des moeurs : fondation. Expliquez les 4 exemples de Kant à partir de la formulation de l’impératif catégorique en faisant à chaque fois ressortir la maxime à universaliser. Seul l’impératif catégorique peut être considéré une loi pratique, les autres impératifs peuvent être considérés comme des príncipes de la volonté et non pas comme des lois. Il n’y a qu’un seul impératif catégorique et selon Immanuel Kant, c’est celui-ci: Agis seulement d’après la máxime grâce à laquelle tu peux vouloir

sous forme d'impératifs, appelés encore règles.   B. Différences   a) Différence de finalité A la différence de la règle de droit au service du bien commun la règle morale n'a pas de fonction utilitaire Cf. différence entre impératif catégorique et impératif hypothétique b) Différence de modalité d'application A la différence de la règle de droit - qui suppose un dispositif de mise en oeuvre - la règle morale s'impose d'emblée à la conscience. Cf Kant, Métaphysique des mœurs c) Différence

que l’imagination, c’est quelque chose d’empirique donc de particulier. Elle s’alimente à partir du vécu de l’individu, mais ils ont un vécu différent des autres donc il y a différents bonheurs. Différence entre impératif catégorique et impératif hypothétique L’impératif catégorique fait partir du domaine de la morale et l’impératif hypothétique, du domaine du conseil. Le bonheur est un bien être absolu. Différence entre bonheur, plaisir et joie Le bonheur est un état qui dure contrairement

se demander à présent ce qui dans le comportement d’un être humain « force le respect », comme on dit. Pourquoi respectons-nous certaines personnes plus que d’autres ? Le respect doit maintenant être entendu, non plus comme un devoir, un impératif catégorique, mais comme un sentiment. D’où vient ce sentiment ? Quel objet le provoque et pourquoi ? Kant montre que respecter, ce n’est pas aimer, ni craindre. C’est un sentiment en quelque sorte désintéressé. En cela, il ressemble à de l’admiration,

Sans doute. Toutefois, Kant  propose de résoudre le problème  en considérant que l’origine des lois proviendrait de la raison, la raison étant la même quelle que soit l’époque et quels que soient les individus. Celle-ci nous conduit à l’impératif catégorique. Selon Kant,  la loi que chacun se donne, grâce à sa raison, est universelle : « Agis de telle sorte que la maxime de la volonté puisse toujours valoir en même temps comme principe d’une législation universelle. » Par exemple, puis-je vouloir que