Mimesis

1) L'imitation: Chez Platon, la réflexion sur la poésie s'élabore à travers le terme de la mimésis qu'on traduit par la notion d'« imitation ». la mimésis est considéré comme une notion désignant la relation de l'œuvre à la réalité. Pour Platon, la mimésis est le processus de copie du réel. Gérard Dessons parle de la métaphore du miroir utilisé par Platon dans la République où il explique que la mimésis utilisé par le poète est semblable au peintre qui produit en peinture les choses qui sont réelles

la triple mimesis dans la Poétique d’Aristote. Or le 1er, en s’intéressant à la temporalité n’évoque pas le récit tandis que le second ne confère pas le temps. C’est donc en partant de leur indépendance que Ricœur va s’attacher à effectuer la mise en relation de ces thématiques tout en suggérant que chaque théorie implique l’image inversée de l’autre. - Saint Augustin : L'aporie du temps et la théorie des 3 présents - Aristote : Mise en intrigue et mimesis * La triple mimesis Suite

point de le considérer « comme un objet esthétique indépendamment de la manière dont il est raconté » (Genette, 1979 : 115) – le récit qui le relate pouvant dès lors être jugé selon les critères ancestraux de la bonne ou (plus souvent) de la mauvaise mimésis. Le corollaire du statut ontologique et de la valeur transcendante conférés à l’événement, c’est la transparence de la narration, en quoi consiste la pureté du « récit à l’état pur ». Expérience dangereuse, et quasi-gageure : en voulant purifier son

journalistique) que le sujet ( l auteur) donne un sens et une valeur a sa propre et au monde qui l entoure. 2 concept que p.r qui la introduit a la Aristote : mythos mimésis 17/12/2012 Mimésis……1 et 2 1-Aristote------- imitation 2-Ricœur : il distingue 3 genres de mimésis…….1, 2 et 3 1. Représentation du réel / le quotidien (valeurs commune). 2. La mise en intrigues ( la vision du monde) une vision d’un monde créer par l’auteur

dans la pierre, dans l'os, dans le bois, dans le bronze... Cet homme-artiste a sempiternellement sculpté avec un grand souci de mimésis, jusqu'aux alentours du XXè siècle. l'artiste le plus talentueux a alors toujours été l'artiste dont les œuvres étaient le plus réaliste qu'elles puissent être. En 1979, Dieter Appel rend hommage à cette grande dimensions de la mimésis, fonction première et primitive de l'art au travers son œuvre Membran Objekt, aus & Erinnerungsspur. Face à cette étonnante œuvre

la Grèce antique, il occulte des mimétiques dans le contexte grec en lui attribuant des règles littéraires qui ne cessent d’être valoriser et aujourd’hui étudiées. C’est dans ce contexte que nous nous abordons notre sujet de thèse : Mimésis et Catharsis dans la pensée d’Aristote . Ce sujet est en rapport avec Arts et Antiquité ; Mieux, ayant situé le contexte civique auquel se rapporte notre sujet de thèse, quelle analyse peut-on évoquer au sujet de l’art et comment Aristote

structure toutes les conceptions artistiques européennes jusqu'à nos jours (époque où cette conception est largement contestée ; l'art contemporain est d'ailleurs largement fondé sur ce rejet). L’on traduit habituellement mimesis par « imitation » (de la réalité). Roselyne Dupont-Roc et Jean Lallot proposent, dans leur traduction de La Poétique : «représentation» (de la réalité). En effet il y a différentes

Nous voulons fonder notre démarche sur l’image de la mimèsis présentée par Paul Ricoeur dans Temps et récit1. Les trois aspects de la mimèsis que le philosophe mentionne sont la base analytique d’une théorie narrative qui ne peut ignorer la théorie phénoménologique sur le temps. Ici, il ne s’agit pas exclusivement de la perspective phénoménologique husserlienne, mais aussi des théories selon lesquelles le temps est défini soit en tant que triple présent (Saint Augustin), soit comme être-à-venir

passions génératrices de souffrance : c'est ce qu'on appelle la catharsis (ou purgation des passions). Dans un premier temps nous discuterons le but de la tragédie grecque selon Aristote, ensuite de la tragédie comme art en y introduisant la notion de mimesis. I) La tragédie grecque selon Aristote, 1) LA CATHARSIS : Pour Aristote le but de la tragédie grecque est la catharsis, autrement-dit la purgation des passions. Le spectacle tragique suscite principalement chez le spectateur un sentiment

Rhétorique afin de montrer que le type de discours dans lequel s’insère une figure de style influence sa grammaire d’utilisation. Dans le cas de la tragédie, la métaphore participe au but de katharsis en procurant un plaisir d’apprentissage, et à la mimèsis en favorisant l’élévation du sujet. Dans le cadre d’un discours rhétorique, la métaphore est subordonnée à la persuasion en tirant la signification du langage vers le point revendiqué par l’auteur. Ce travail doit demeurer caché à l’auditeur pour ne