Nom

forme avec un adverbe ou une préposition une locution conjonctive (la décrire). Celle-ci est plus chargée sémantiquement que la conjonction pure qui n’a aucune charge sémantique. Il y a plusieurs modèles de locutions conjonctives : -préposition + nom + que : à condition que, de sorte que, au lieu que -préposition + que : pendant que, dès que -préposition + pronom + que : à ce que, en ce que, pour ce que -préposition + forme verbale + que : en attendant que -adverbe + que : heureusement que

le créateur , ici, désigné deux fois par le il qui lui a fait don. Pour sauver les apparences il ne parle pas de son corps mais de son visage en mettant en valeur le terme de « face » en l'apposant au verbe épancher. Ensuite il ne parle pas en son nom, mais évoque les yeux et les cœurs en général (d'où le pluriel) qui sont surpris et transportés. Ces termes sont fort à l'époque, et le terme « transport » est assez ambigu puisque les transports désignent aussi les pulsions sexuelles, ainsi, sous un

subtil, matois " Positif ? négatif ? cf Roman de Renart l’an prochain. Le Roman de Renart est un recueil de récits médiévaux français des XIIe et XIIIe siècles ayant pour héros des animaux agissant comme des humains. Renard (ou Renart) est un nom de personne d'origine germanique : Raginhard (ragin = conseil + hard = dur). Ne l'oublions pas, le substantif renard est au départ un prénom ; c'est la popularité du goupil prénommé Renart qui en a peu à peu fait un substantif. Personnage dominant

caractéristiques de celle-ci, à savoir : la présentation des différents personnages, le lieu où se déroule l’action ainsi que des explications sur l’intrigue. Le lieu choisi par Bonaventure des Périers n’est pas anodin, en effet, la ville de « Lyon » est connu de nom par tous les lecteurs de son époque et permet ainsi à l’auteur d’ancrer son récit dans le vraisemblable. Nous pouvons aussi noter que cette ville est nommée à plusieurs reprises par l’auteur ce qui n’apporte aucun « exotisme » à son histoire puisqu’il

à la rime (v.21 et 22) ; ces idées sont renforcées par l’assonance en [a] des vers 20 à 22, •La misère humaine : - Dans ce monde essentiellement matériel, l’homme se caractérise par des aspects maladifs liés à la pauvreté : le complément du nom « guenilles » (v.6) (qui annonce les usines) est repris pour les femmes (v.19), - La misère est aussi visible dans les lieux de d’habitation : « rouillés » (adjectif mis en valeur à la césure et qui porte l’accent, v.18) ; la dégradation et la pourriture

romanesque     Le roman commence par "Gervaise", prénom de l’héroïne, pour attirer l’attention du lecteur sur le personnage principal. Zola ne l’appelle que par son prénom pour paraître au lecteur plus familière. Sur la même ligne, on a " Lantier " : le nom est énoncé très vite, ce qui le rend plus familier également. D’emblée, l’héroïne et Lantier nous paraissent comme les personnages importants de l’action, le lecteur entre dans un univers réel, déjà constitué, " in medias res ". Il apparaît une absence

l’antiphrase. (Ex. : les contes philosophiques de Voltaire). Le poète est présent car dans ce poème Verlaine critique son employeur. Verlaine n'est pas un travailleur assidu et ponctuel et tout l'oppose à son employeur. Monsieur Prudhomme qui est un nom propre péjoratif pour "homme prudent" qui donne le titre et le ton au poème, satirique. Trouvez un exemple de caricature de bourgeois réalisee par Daumier. Comment celui-ci s’y prend-il pour se moquer du bourgeois ? [pic] DAUMIER (Honoré),

vers 42 à 44 qui présentent une métaphore nominale filée qui associe la société à un bateau ivre en perdition. Victor Hugo exprime ici le souhait que le poète reste extérieur au conflit qui agite la société. Le vers 2 « Tout entier au dieu que tu nommes », par le complément circonstanciel de manière « tout entier » montre le souhait qu’à Victor Hugo que le poète rejoigne Dieu. On relève au vers 7 l’utilisation d’une métaphore nominale in absentia qui donne un aspect, une dimension sacrée à la poésie

Introduction en effet d'un dialogue avec un autre poète, là encore présenté par une formule non noble : Rimart.v.10 : "En effet" : formule orale du discours direct. Là encore, Marot ns donne réellement à voir, ou du moins à entendre, la scène. Présence du nom du poète qui fait un pas de plus dans la mise en scène de lui même en étant représenté dans le texte de façon plus explicite que par le simple pronom de 1e personne. Implication réelle du poète.v.10-11 : L'interrogation de l'interlocuteur porte sur

Introduction en effet d'un dialogue avec un autre poète, là encore présenté par une formule non noble : Rimart. v.10 : "En effet" : formule orale du discours direct. Là encore, Marot ns donne réellement à voir, ou du moins à entendre, la scène. Présence du nom du poète qui fait un pas de plus dans la mise en scène de lui même en étant représenté dans le texte de façon plus explicite que par le simple pronom de 1e personne. Implication réelle du poète. v.10-11 : L'interrogation de l'interlocuteur porte