Spinoza Autrui

brièvement dire qu'il y a une définition négative de la liberté comme absence de contrainte, d'obstacle, et une définition positive comme capacité à agir par soi-même. Autorité L'autorité désigne le fait d'exercer un certain pouvoir, un ascendant sur autrui. Il ne s'agit pas d'une simple domination car ce pouvoir ne s'exerce pas par la violence, sous la contrainte, mais par respect. S'affranchir S'affranchir de toute autorité serait en ce sens ne plus dépendre du pouvoir de quelqu'un, s'émanciper

juger et condamner. La morale commence en effet par un jugement négatif sur la conduite d’autrui et accessoirement de la sienne par une condamnation. Le précepte évangélique «  Ne jugez point » atteste une propension immémoriale à juger autrui. Le jugement sur autrui implique un préjugé favorable envers soi mm. Juger moralement consiste à se réclamer s’un absolu pr séparer le juste de l’injuste. Cela signifie que l’on s’arroge abusivement la propriété du bien et donc que l’on transforme trop svt

cas de famine, autrui est porteur d'une menace de mort, bouche à nourrir: plus rien pour moi qui risque de mourir. -Pour la 3ème partie, distinguer Nature et condition. Insister sur la liberté, la création de soi par soi, la loi, le pouvoir partagé, l'autonomie? Voir le dialogue avec Pic de la Mirandole: http://www.philagora.net/philo/mirandole.php Lectures: Kant, Vers la paix perpétuelle, G.F Flammarion. =>Pour l'antithèse vous pouvez utiliser ce texte de l'Éthique de Spinoza (Appendice chap

Nous commettons des erreurs au quotidien, plus ou moins grandes, ou plus ou moins importantes, elles ont des conséquences qui s’avèrent la plupart du temps néfastes à nous même et parfois à autrui. L’erreur prend-t-elle racine dans notre méconnaissance du monde, manque de lucidité ou d’expérience, ou encore d’une erreur de jugement ? L’erreur est-elle l’expression de la liberté de l’Homme et de son libre arbitre ou d’une prédétermination de l’être humain ?... Cela nous amène à nous poser la question

s'opposent, mais, à l'intérieur de l'âme, deux sortes de désirs. Les désirs issus de son lien avec le corps et le désir propre de l'âme qui est désir de vérité. Le désir, c'est le moteur de la vie. Bien que porté vers un objet, le désir selon Spinoza est un désir d'être, c'est à dire qu'il est un moyen de conservation. Désirer c'est avant tout exister en tant qu'être unique, conscient de lui-même, et le désir exprime la vitalité d'un être tendu vers ailleurs de lui même. Le désir, en tant que

choix qui le définissent. Puisqu'il est cause absolue de luimême, seule sa raison intervient dans les prises de décision et par conséquent, ses choix sont www.famillefutee.com 1 Dissertation : Qu'est-ce qu'un choix libre ? donc libres. Néanmoins, Spinoza dans la Lettre à Schuller, donne un autre aspect à la liberté. Selon lui s'il on opère des choix et que l'on a des envies, cela ne signifie pas que l'on est libre. En effet, tant que l'on ne connaît pas les causes de ses choix et de ses envies, on

s'opposent à nous. Il s'impose à nous comme une force naturelle qui nous emporte, comme une tyrannie intérieure qui apporte désordre et violence. Par exemple: le fait de se croire intelligent alors qu'on aspire à l'être est une illusion, un mensonge. Spinoza désigne l'illusion comme une liberté pour les hommes car on aspire toujours à être queslqu'un que l'on n'est pas et cette illusion nous permet d'affronter la réalité.L'auteur critique enfin l'illusion fondamentale engendrée par le désir: prendre l'effet

Dans une première partie, nous étudierons le mal comme un acte involontaire, dans une seconde partie, nous développerons le mal comme un volontaire et enfin, dans une dernière partie, nous nous demanderons si le mal est une constante. Selon Spinoza, l’Homme est déterminé de par son environnement et son éducation. Toutes ses actions, toutes ses pensées, sont déterminées par son passé et par son vécu. L’Homme, de par cette notion, serait alors déterminé, condamné à agir sans vraiment choisir.

caractérisent. Cependant, ce refus de la soumission suffit-il à définir la liberté ? Ou encore, surgit-elle brutalement avec la désobéissance ? En un mot, la liberté est-elle la conséquence nécessaire de la libération ? Quand l’homme a cessé d’obéir à autrui, est-il pour autant assuré de n’obéir qu’à lui-même ? Et qu’est ce qu’obéir à soi-même ? C’est le thème de la seconde partie. Très naturellement on peut penser que le refus de toute autorité, de tout ce qui opprime et limite

alors que le manque, c’est-à-dire le désir, est un état de souffrance permanant. Suite à cela, l’homme « s’agite au dehors » afin de combler cette souffrance. C’est alors que rentre en compte pour Pascal, le divertissement. A ce moment là, le monde, autrui, rentrent alors en compte pour le sujet, puisque l’extérieur lui permet de s’échapper de soi, c’est-a-dire de se soulagés. Cependant, si l’homme n’a plus de désir à satisfaire, il finit par se noyer dans ce bonheur, qui finit par n’avoir plus aucun