Spinoza Le Pacte Social

naturel et le culturel * Merleau-Ponty : Quelle est la différence entre le naturel et le conventionnel ? * Rousseau : L'homme est naturellement paresseux et sans passio * Rousseau : L'unité de l'homme naturel * Spinoza : Les passions sont naturelles * Spinoza : le droit naturel : agir en vertu de sa puissance Définition Ce qui est produit par la nature seule, par opposition à ce qui a été fait par l’homme, à ce qui est artificiel. Cheveux naturels. Prairie naturelle. Les eaux

VII: tout droit repose sur une première convention; énoncé du contrat social. VIII et IX: conséquences; la naissance du droit. Biographie: [Notice] Né en 1712 à Genève, qui est alors une République indépendante, Rousseau est mort en 1778. Discours sur les sciences et les arts, 1750. Discours sur l'origine de l'inégalité, dit "Second discours", 1755 [étude]. Du contrat social, 1762. La première version du Contrat social est désignée sous le nom de "Manuscrit de Genève" [Texte du livre I].

approfondira. Rousseau affirme d’emblée la sociabilité de l’homme. Si l’homme n’est pas naturellement social, il est fait pour le devenir. Cela ressemble à une affirmation du caractère naturel de la société. Pourtant, nous savons que Rousseau appartient à un courant de pensée politique qui soutient au contraire que l’homme n’est pas naturellement sociable et que la société est le résultat d’un contrat, d’un pacte d’alliance conclu entre les membres d’une société, indépendants et libres, mais aussi exposés

cette légalité entraîne nécessairement la légitimité de cet acte. Nous allons donc étudier dans quelle mesure il peut paraître légitime d’ôter à l’Homme sa Liberté. Pour Rousseau, chaque individu intégrant une société a nécessairement accepté un pacte, un contrat qu’il est contraint et obligé de respecter sous peine d’être privé de sa Liberté ; il doit se soumettre à la volonté générale. Les désirs d’un individu étant moins importants que ceux de la société, il paraît légitime de le priver de sa

des lois particulières (Aristote) 4 3. La philosophie du droit naturel (Locke, Rousseau) 5 4. Les droits de l’homme 6 C. La critique du droit naturel 7 1. La critique des droits de l’homme (Marx) 7 2. Il n’y a pas de justice avant la loi (Epicure, Spinoza, Hobbes, Pascal) 8 3. Le droit naturel est une fiction (Kelsen) 8 Conclusion 9 II. La force des lois 9 A. La structure paradoxale de la loi 9 1. Pas de loi sans force 9 2. La loi est le réglage d’un rapport de force 10 3. L’exception confirme la règle :

pensée antique a vécu sur la conviction, non qu'une science du politique était possible, ce qui est une conviction critique, mais qu'il suffisait de la faire. Et les modernes eux-mêmes ont repris cette thèse, comme on le voit dans Bodin, Hobbes, Spinoza et Grotius. Je veux bien qu'on récuse les Anciens, non pour leur prétention de réfléchir sur le politique, mais pour leur illusion d'en avoir fait la science. Car l'idée qu'ils se faisaient de la science était empruntée de leurs connaissances. Et

accords internationaux pour organiser les territoires. SECTION 1 : L’Etat unitaire Concerne la plupart des Etats (France). Unité est le principe même de l’organisation de l’Etat. La République est indivisible. France est démocratique, laïque et sociale. L’Etat tente de se décentraliser. Paragraphe 1 : L’Etat unitaire centralisé. Etat centralisé : toutes les décisions sont prises par le pouvoir central depuis la capitale. Se caractérise par l’uniformité du pouvoir et du Droit. En Fr, il y’a beaucoup

gouvernent mot pour mot, il faut dire que plusieurs ministres y siègent, et qui s’apparentait parfois a un conseil du cabinet. Le point culminant du pouvoir maçonnique se situe sans doute en 1904, La FM a déjà radicalement changé l’ordre politique et social, un point demeure hors de son champs d’action : l’armée qui est un bastion conservateur (eux radicaux).Le général André, ministre de la guerre, lui aussi frère organise un système de fichage des officiers afin d’identifier les antis républicains,

le bénéfice que retire chaque individu de sa participation à la vie en commun, et de l’autre côté, des sociétés qu’on pourra dire « communautaristes » (à condition de délester ce terme de toutes ses connotations péjoratives), dans lesquels le lien social est premier, précède la définition de ceux qui sont « liés », autrement dit dans lesquels la visée de l’intérêt individuel est subordonnée à celle du bien commun. Si l’on se place à présent du point de vue des théories de la société, on constatera

son application , il ne se prouve qu'en marchant. Le droit n'est par définition jamais extérieur à la conscience humaine, il faut donc le replacer dans son environnement social, idéologique et politique. Il est lié aux valeurs, à l'idéologie de la société qu'il régit. Le droit est conçu comme le moyen, pour une classe sociale, d'asseoir son pouvoir global sur la société en le dissimulant derrière un écran idéologique, donc certains nombres de conséquences. Pensée libérale entend assurer liberté