Spinoza Le Pacte Social

LA VIE POLITIQUE A. LA SOCIETE ET LES ECHANGES 1. UN ANIMAL SOCIAL • L'amitié La vertu et une disposition et un lien entre les cités. Elle s'apprend à mesure qu'on la pratique. Elle se réalise dans l'amitié comme condition naturelle et comme institution et mœurs. L'amitié entre égaux et l'amitié entre le supérieur et l'inférieur se fonde sur la réciprocité. L'amitié civique est la traduction sur le plan affectif de la justice comme proportionnalité entre

politique et de l’Etat” et qui est un lieu de “bien commun” chez Aristote et celui d’hierarchie ou le roi-philosophe regne sur les autres classes chez Platon. Puis on voit l’apparition d’une nouvelle conception de la société civile avec un contrat social en s’opposant a l’état de nature a partir de Hobbes qui vient jusqu’a Rousseau. Mais en fait, la société civile prend surtout son sens moderne a partir de 16ieme siecle avec la naissance de l’Etat moderne et des théoriciens comme Hegel et Marx qui

règles de vie en commun : le contrat social. Cette convention doit s’accorder avec la libre volonté de chacun des individus et viser un bien commun, ils doivent confier à une volonté unique la mission d’établir ce contrat. Cette volonté unique ne peut être qu’une volonté générale : elle ne doit être étrangère à aucun des individus, ne doit pas représenter une majorité, ni une somme des volontés individuelles (ce qui amènerait à un compromis). Le pacte social est l’ensemble des conventions fondamentales

Villes Commerce & Artisanats. Création de BIG CITY. Production énorme, on commencer à exporter. Les gros marchands s’enrichissent => BOURGEOISIE INDUSTRIELLE ET COMMERCIAL. (Mais beaucoup de pauvres !!) Chap. 2 Situation Sociale Intro : Classe sociales se font sous deux facteurs  1–Raison technique & économique. 2- Raison culturelle, intellectuel, idéologique & philosophique. a) Notion d’ordre Notion Juridique : Les ≠ groupes de la société ont un statut & une place

tard les Romains la notion d’état unitaire , il n’y a donc pas d’institutions des idées politiques étatiques , ils connaissent uniquement la cité, ce qu’ils appellent la « polis»  Chez les Grecs, la cité est à la fois une structure politique et sociale mais aussi une entité religieuse . C’est ce que l’on appelle le monisme antique c'est-à-dire que les habitants d’une cité sont également membres d’une communauté religieuse . Chaque cités à ses dieux tutélaires .Ainsi Socrate à été condamné

nos choix et nos actions, rien ne pourrait empêcher que les choses ne se produisent comme elles doivent se produire. Le passe, le présent et le futur sont, alors, nécessaires : ils ne peuvent pas ne pas être ni être d’une autre manière que celui pacte par les déterminismes passes , ou la fatalité stoïcienne. En effet nos décisions et nos choix présents sont ils aussi déjà inscrits. Je fait le bien ,je fait le mal, je tue je vole , je aide , je me sacrifie comme conséquence de déterminismes que

vers les Lumières ; Je ne vais pas m’étendre sur la biographie de ces personnages, ni sur leurs œuvres. Je vais par contre m’efforcer de souligner en quoi ils ont contribué à promouvoir la RAISON  Parlons, pour commencer de Baruch Spinoza. 1632 -1677 ; Spinoza pose les thèmes qui vont bouleverser l’Europe et être à la base de la philosophie du monde des Lumières  soit la liberté du jugement individuel et son expression, la dénonciation de la superstition et de son utilisation par les pouvoirs

par nature soumis à des pulsions, comme les instincts freudiens de vie Eros et de mort Thanatos, à des besoins primaires, et par la Nature car mon corps est condamné à l’anéantissement par l’affreux spectre et sa terrible faucille tranchant ma vie. Spinoza montre très bien dans une célèbre lettre à Schuller l’illusion de la liberté des hommes qui se croient libres car ils sont conscients de leurs désirs et ignorants des causes qui les déterminent. De plus, mon milieu sociohistorique est le vecteur

naturel), et juste ce qu'il faut d'entendement et de mémoire. En revanche, la faculté de penser des idées générales et abstraites, l'imagination et le langage ne sont d'aucune utilité. Donc l'homme naturel est "un animal stupide et borné" (Du contrat social, I, 8). Sur le plan moral, Rousseau dit quelque part que l'homme est naturellement bon. Voltaire se moque de lui sur ce point.[Voir Discours sur l'inégalité] Pourtant, il dit aussi, ce qui semble plus cohérent par rapport à sa théorie, que l'homme

est une liberté. Le droit subjectif n'a de sens et de réalité qu'à travers le droit objectif. A. Les fondements du droit : sur quoi le droit repose-t-il ? D'où viennent les lois ? C'est le droit qui fonde la force, ou l'ordre, bref la réalité sociale. Encore fautil que ce droit soit luimême fondé, c'estàdire qu'il repose sur une autorité indiscutable. Ce fondement en autorité du droit s'appelle légitimité. Il y a trois sources de légitimité possible : Dieu, la nature et le peuple. 1. Fondement