Tempérance

théologie chrétienne, on distingue notamment les vertus cardinales (courage, justice, prudence et tempérance) et les vertus théologales (foi, espérance et charité). Les secondes doivent leur qualificatif au fait d’être des dons supposés de Dieu, tandis que les premières sont accessibles par les seules forces humaines. Il est toutefois possible de classer différemment ces vertus : la prudence, la tempérance, la foi et l’espérance n’ont de sens que pour le vertueux lui-même, sauf par leur exemplarité ;

principes moraux selon lesquels il se conduit. Rectitude : On l’a choisi pour régler ce délicat problème à cause de sa rectitude morale, il a une qualité de quelqu’un qui est droit et rigoureux. Tempérance : Lorsqu’on que lui doit prendre le volant d’une voiture, il est fortement conseillé d’avoir de la tempérance, de boire avec modération. Tolérance : Lorsqu’une personne communique sa manière de penser, il faut faire preuve de tolérance, respecté ses manières de penser même si on ne les partage pas

théologie chrétienne, on distingue notamment les vertus cardinales (courage, justice, prudence et tempérance) et les vertus théologales (foi, espérance et charité). Les secondes doivent leur qualificatif au fait d’être des dons supposés de Dieu, tandis que les premières sont accessibles par les seules forces humaines. Il est toutefois possible de classer différemment ces vertus : la prudence, la tempérance, la foi et l’espérance n’ont de sens que pour le vertueux lui-même, sauf par leur exemplarité ;

dont il manque, il est insatiable. C - La tempérance  L'intempérance (laisser libre cours à tous ses désirs) et la privation (les refuser tous) sont également critiquables : l'intempérance (ex. Calliclès ) est vouée à l'échec : il est en effet impossible de satisfaire le désir ; le renoncement - l’ascétisme - (ex. jansénisme et bouddhisme) est refus de vivre et, ainsi, d'être heureux.  Le désir a sa logique, qui justifie psychologiquement la tempérance : pour exister il a besoin d'interdits. En

rencontre entre morale antique, notamment aristotélicienne et stoïcienne, et de la sagesse biblique. La théorie s'articule autour de quatre vertus autrefois dites « cardinales ». La "prudence", la " force" (ou le courage) la « justice » et la « tempérance », auxquelles s'ajoute la notion de "l'altruisme" Vertu | Définition philosophique classique | Définition adaptée au management | Contradictions | Altruisme | L’altruisme peut désigner un amour désintéressé d'autrui, c'est-à-dire le souhait

licence Texte de Platon, Gorgias Pour vivre comme il faut, il faut vivre en assouvissant ses désirs c'est la licence : n'imposer aucune limite à ses désirs Plan du texte : *Ligne 1 à 5 : thèse *Ligne 5 à 13 : critique morale commune qui prône la tempérance, la modération du désir *Ligne 13 à 18 : critique des lois qui s'opposent à l'idéal de vie qu'il prône Dans ce dialogue, il est question d'une manière de vivre. La thèse de Callicles est l'anti-thèse complète de celle de Socrate. Callicles est un

prendre le dessus.L'homme injuste n'a pas réalisé ce qu'il y a de plus noble en lui, il ne peut pas être heureux car pour être heureux il faut s'estimer soi même.L'homme juste est gouverné par sa raison il a 3 vertues essentielles : la vertue de tempérance (il est capable de modérer ses désirs, de ne jamais tomber dans l'excès), la vertue de courage (il a la force de résister aux tentations), la vertue de sagesse (il a pleinement développé sa raison et réalisé ce qu'il y a de meilleur en lui).L'homme

maintien de l'ordre que pour des raisons concernant la santé publique. Après la Seconde Guerre mondiale, on glorifie la sobriété. Des lois interdisent le vin dans les cantines, la publicité et la vente d'alcool dans les stades Mais le mouvement de tempérance a perdu de son importance à la fin du XXe siècle. L'idée que «l'alcoolisme est une maladie» s’est également développée au cours du XIXe siècle Aujourd'hui, la consommation excessive d'alcool et l'alcoolisme frappent de nombreux pays notamment

1 LA RÉPUBLIQUE Livres VI et VII LIVRE VI OCRATE. - (504 a) Tu te souviens sans doute qu'après avoir distingué trois parties dans l'âme, nous nous sommes servis de cette distinction pour expliquer la nature de la justice, de la tempérance, du courage et de la prudence. ADIMANTE. - Si je ne m’en souvenais pas, je ne mériterais pas d'entendre ce qui te reste à dire. SOCRATE. - Te rappelles-tu aussi ce que nous avons dit auparavant ? ADIMANTE. – Quoi ? (b) SOCRATE. - Que pour qu'on puisse

et celui d’excès. Prenons par exemple le courage, qui est une vertu à développer pour Aristote. Celui qui est courageux est entre le manque de vertu, le lâche et l’excès de vertu, le téméraire. Cela en va de même pour les autres vertus comme la tempérance et la générosité. Donc, le courageux n’est pas celui qui ne fait aucune expérience de la peur, c’est plutôt celui qui en fait l’expérience, mais dans une juste mesure, à un niveau approprié. Cependant, il ne faut pas voir le juste milieu comme étant